Sujet: LIBRE ✦ « Death and alive I become mad ! » Ven 15 Mar - 22:15
Death and alive I become mad ! Ft. libre
J'ignore depuis combien de temps je suis ici, réveillée pas la houle du Titanic, j'ignore combien de temps s'est déroulée entre ma mort au Plaza Hotel de New York et mon retour ici. Je ne sais pas, je ne sais plus rien tout ce en quoi j'ai crus durant ma vie, tout est balayé. Je suis totalement perdue. Tout est à refaire, un vie entière, j'ai tout perdu, mon empire, mes amis, mes amants Je me retrouve dans la peu d'une jeune femme qui n'a que ses rêve pour avancer. Pas d'argent, pas de rang social juste beaucoup de culot et une langue bien pendue. Mais pourquoi ? Je ne comprends pas, à nouveau, cela n'a aucun sens pourquoi me faire revenir sur embarcation qui m'a forcé à clore le chapitre le plus important de ma vie, ma famille. De plus La mort m'a prise, alors pourquoi ma peau est-elle chaude et que je ressens les choses ? Suis-je une fantôme ? Logiquement pas je peux touché les objet sans les transpercer je suis faite de chair et d'os, comme avant...
Je tourne en rond comme un lion dans sa cage, cherchant désespérément à quitter cet endroit ou tout du moins à comprendre. Essayant de en pas me faire submerger par la peur est la panique je décide de m'assoir sur le lit respirant un bon coup alors que mes yeux s'humidifient. Bien, tentons de faire le vide. La dernière chose dont je me rappelle était le plafond de l'hôtel ou je vivais. J'avais très mal au dos et de la peine à respirer et je pensais que le lendemain il fallait que je travaille sur la nouvelle collection, celle d'hiver 1971-1972 et que règle les détails du défilé de printemps 1971. Ensuite, je me réveille, en pleine forme, sans aucun problème de vue ni maux de dos. je suis vêtue de la chemise de nuit que je portais étant âgée mais elle était un peu grande. Mes cheveux bruns tombaient en cascade dans mon dos et sur mon visage. Lorsque je me vis dans le miroir je suis que nous étions dans les années 1910. Ensuite je reconnu aisément ma cabine dans laquelle j'ai vécue avec Gabrielle durant quatre jours. mais Gabrielle n'étais pas là j'étais totalement seule et... à nouveau la panique s'empare de moi, cela n'a vraiment ni queue ni tête et je déteste ne pas comprendre ! Je respire vite et mon cœur s'emballe, j'étouffe ici. Je souffle plus fort m'approchant de la seule source de lumière naturelle, le hublot. Je tape contre celui-ci violemment les larmes commençant à roulé sur mes joues avant de me laisser lentement glisser sur le sol. Je haïssais cette endroit et pour moi j'étais entre la vie et la mort donc j'étais encore séparée de ma Gabrielle, qui elle devais surement être au paradis et ce depuis si longtemps. Je n'aspirait qu'a une chose en mourant, la retrouver ! Ainsi que retrouver mes soeurs et Thomas Laisser mon entreprise, ce pourquoi je me suis tant battu après le Titanic, laisser ma fortune sans héritier direct, j'ai tout abandonné pour ceux que j'aimais je n'en pouvais plus. J'ai vécu et très bien vécu j'ai tenté de vivre pour eux tous. Mais j'en étais arrivé à un stade ou le manque était si grand qu'il me fallait lâcher prise pour simplement les retrouver. Et puis non, voilà que j'étais coincée, perdue et affolée sur ce maudit Titanic ! je devais avoir l'air tellement pitoyable, ainsi vêtue dans un coin de cette cabine insalubre à pleuré comme une collégienne. Ou était passé "la grande, la magnifique la formidable Mademoiselle Longchamps, la créatrice de génie qui à sut révolutionné la mode américaine grâce à son style très français." - Je le l'ignore je la cherche, j'aimerais bien la retrouver... L'assurant qu'elle dérageait m'aiderais bien en ce moment... « »
Sujet: Re: LIBRE ✦ « Death and alive I become mad ! » Mer 5 Juin - 17:31
Rêveuse. Pensive. Dans mon monde. Je marchais le long du quai, je revenais de la salle des machines. J’avais pris le temps de refaire mon chignon même si une mèche restée rebelle, et tombée dans mon cou. J’avais pris le temps de me laver les mains, et remettre ma robe couleur gris souris en état. Sur le nez, je portais des grosses lunettes si bien que je ressemblais à une mouche avec. Mouche, oui mais une mouche intelligente, et surdouée. J’avais quelques tâches noires sur moi, mais rien de trop grave – cela restait très discret. Qu’est-ce-que je faisais dans la salle des machines ? Laissez… vous ne comprendriez pas. Je cherchais à comprendre le pourquoi du comment, comment nous étions ici ? Etions-nous des fantômes ? Pouvions-nous revivre ? De nombreuses questions tourbillonnaient dans ma tête, ensorcelante et ensorcelée par ce flot de mystères. Le Titanic était une légende vivante. Un navire immortel, voguant sur les flots pour l’éternité. Pour certain l’éternité peut paraitre longue, monotone et ennuyeuse ce n’était pas mon cas pour moi une nouvelle aventure commençait ici, c’était tellement bien d’être un fantôme. Nous étions tous morts, et pourtant nous étions là ! En chair et en os. Beaucoup parlaient d’une malédiction, étions-nous véritablement tous maudits ? Et les revenants alors ? Etrange phénomène que voilà, des gens qui reviennent du monde réel pour refranchir les limites de cette prison dorée comme s’ils ne l’avaient jamais quitté. Historienne, curieuse et ouverte sur le monde j’était l’une des personnes aptes à trouver le pourquoi et le comment de toute cette affaire. Détective Sherlock Holmes et Docteur Watson. Petit carnet de notes pour noter mes observations, il n’en ressortait rien de bon dans tous les cas, je n’avais trouvé aucunes portes de sorties, aucunes failles. Nous étions au fond de l’eau ? L’illusion était parfaite. Des oiseaux, des dauphins, la vie continuait ici comme si rien ne s’était arrêté. Nous voyagions dans un voyage sans fin, sur une mer infini, sur un océan à perte de vue.
J’étais complètement dans mes pensées, si bien qu’en arpentant le couloir du dortoir de troisième classe, au lieu d’ouvrir la cabine E08 que je partageais avec Héloïse de Neuveille. Je tournais, et ouvrais la porte sans vraiment faire attention de la cabine E21, bien loin de la mienne mais je ne fis guère attention à mes gestes. Cabine ouverte. Dans un premier temps, je pensais qu’on m’avait cambriolée, une voleuse volée. Je n’étais pas une voleuse, mais il m’arrivait d’aller dans la soute à bagage et dérober des objets précieux qui m’avaient tapé dans l’œil. Objets oubliés, non réclamés que personne ne voulait, objets de vivants pas encore revenants. Effroi. Stupeur. Surprise. Cela ne ressemblait guère à ma cabine, surtout qu’une dame s’y trouvait déjà. La porte mi close, mes yeux grands écarquillés, je me sentais rougir de honte. Peut-être l’avais-je dérangée ? Mais quelle maladroite ! Ceci n’était pas ma cabine.
« Je ne suis pas dans la cabine E08 n’est-ce-pas ? » Je la regardais l’air suspicieux, la jeune femme n’avait pas l’air trop dans son assiette. Rencontre étrange, inattendue, je la dévisageais, un peu mal à l’aise. Je me penchais par la porte pour voir si je reconnaissais cet endroit mais non visiblement ce n’était pas ma cabine. Hum… Quelle étourdie. Heureusement que je ne l’avais pas dérangée dans une tenue trop compromettante ou que sais-je encore…