Sujet: Jeux sur le pont [PV Apolline] Sam 22 Fév - 21:29
Le soleil étincelait, bien que je me demandai souvent s’il était réel. Cette nouvelle vie avait quelque chose de mystérieux et souvent, je m’imaginais en train de rêver. Il fallait l’avouer, c’était une situation quelque peu étrange que nous vivions tous depuis le naufrage. Cependant, cela ne me dérangeait aucunement, au contraire. C’était la liberté, malgré le fait d’être « condamné » à vivre sur le Titanic et à agir en fonction de lui. Certains voyaient en cela une malédiction et une prison mais pour moi, cela en était tout autre. Peut-être que je m’en lasserais. Peut-être qu’un jour, j’en aurais assez de cette vie et je finirais à passer mes journées à marmonner dans mon coin, à pester contre la terre entière. Mais en attendant, je profitais. J’essayais de profiter malgré la situation tendue de mon couple. J’étais jeune et je ne voulais pas me laisser aller de la sorte. J’avais tant à découvrir et à apprendre. Etre morte ne signifiait pas de rester au point mort, non.
Je portais une robe légère avec un châle assortit ce jour-là. J’étais assez calme et sereine, surtout parce que mon époux était sur l’île en ce moment même. Je pouvais respirer et penser à autre chose. L’île était belle à voir depuis le paquebot. Nous pourrions penser être en simple croisière et que d’ici quelques jours, nous retournerions à la civilisation. Je m’appuyai sur le rebord avant d’entendre des enfants jouer et courir sur le pont. Autant dire que rien ne les perturbait. Ils s’amusaient comme si le voyage continuait. Cela me donna le sourire même si je me mis à penser à l’enfant que j’avais perdu. J’aurai pu être avec lui, il aurait pu faire ce…non. Ce voyage n’aurait jamais eu lieu et nous serions restés à Paris. Mais c’était ainsi. Ces enfants qui s’amusaient donnaient de la joie, de la fraicheur et je me plaisais à les regarder, et à les surveiller. Ils étaient suffisamment malins pour s’éclipser, laissant ainsi des parents angoissés et les cherchant partout.
Ils étaient trois à courir sur le pont, riant aux éclats avant que l’un d’eux ne percute un homme. Furieux, il attrapa la petite fille par le bras, sans doute dans l’optique de lui faire peur mais c’était un comportement que je n’appréciais pas. Les deux autres enfants avaient fui, laissant seule leur camarade de jeux. D’ailleurs, je la connaissais cette petite. Elle s’appelait Apolline était en 1ère Classe aussi. Très adorable comme enfant. D’un pas rapide et sans hésitation, je m’approchai de cet individu afin de lui faire comprendre ma façon de penser.
-Est-ce une façon de traiter une enfant ? Je vous demanderai de la lâcher Monsieur, fis-je d’une voix calme mais ferme.
-Quand on bouscule une personne, la moindre des choses est de s’excuser.
-Elle jouait, cela n’était pas fait exprès et vous lui faîtes peur, normal qu’elle ne dise rien.
Les hommes n’aimaient pas quand les femmes leur tiennent tête, ils ne le supportaient pas pour la plupart. Cependant, quand il s’agissait d’enfant, ils avaient rarement le dernier mot, avec moi en tout cas. L’instinct de protection était plus fort que l’obéissance et le fait que les hommes avaient tous les droits.
-Elle est votre fille ?
-Oui.
-Alors apprenez-lui les bonnes manières, répliqua-t-il avant de la lâcher et de partir.
Pourquoi avoir mentir ? J’avais craint qu’il ne décide de l’emmener afin de la ramener à sa mère, et je n’avais surtout pas envie de voir Apolline se faire traîner sur tout le paquebot en compagnie de cet inconnu. Prudence oblige. Puis, je me penchai vers elle.
-Tu vas bien ? Il ne t’a pas fait mal ?
Invité
Invité
>
PROFIL
RPG
Sujet: Re: Jeux sur le pont [PV Apolline] Lun 3 Mar - 16:46
]
Promene sur le pont
Apolline & Céleste
Il fait vraiment beau dehors ma gouvernante m’avais habillé d’une robe simple mauve. Puis elle avait remonté mes cheveux avec un ruban de la même couleur. Une chance qu’elle était là cette dame pour m'aider à m’habiller et faire ma toilette. Parfois je me demandais pourquoi mère ne passais pas beaucoup de temps avec moi. Ca fais me vraiment mal de ne pas pouvoir passer beaucoup de temps avec elle, je savais qu’elle avait une vie sur le bateau. Mais je ne pouvais rien faire devais juste vivre avec. Quand elle finit de me coiffer et m’habiller je partie vers le pont..
Je me fis un amie et je courrais dans tous les sens avec cet enfant. Il était rare les enfants sur le bateaux encore. La plupart étaient partis dans un autre monde ou je ne pouvais pas être. Je jouais donc avec cet enfant. Nous crions et courrions dans tous les sens. Quand un inconnue me pris par le bras et me serra fort. Je me mis a pleuré ça me faisait vraiment peur . Je regardais l’homme en essayant de me débattre. Mais il sort encore plus. Je mis a pleuré plus fort. Je me disais que quelqu’un finirais bien par me voir. Je regardais l’homme.’’ Lâche-moi vous me faites mal.’’ L’homme ne me lâche pas pourtant. J’étais encore la personne ne venais. Je me demandais si j’allais pleure..
Une dame aux cheveux blonde arriva et elle commença à parler a l’homme. Pendant je ne la reconnaissais pas sur le champ. Puis elle continua de prendre ma défense contre cet homme. Il finit par me lâcher je me plaçai derrière vraiment sur le choc. J’avais vraiment mal à mon bras. Quand elle dit que j’étais sa fille je souris. J’avais la bonne manière c’est comme si cet homme était entrain dire que je ne pouvais pas m'amuser comment les autres femmes. Je la regardais dans les yeux en tendis les bras
Merci Céleste vous m'avez sauvé la vie. Dis-je lui monte mon bras.
Mon bras étais rouge à force qu’il m'avait serre vraiment. J’étais sous le choc mère n’avais jamais fait du mal. Elle n’avait jamais serre le bras ou quelque chose du genre. Elle avait toujours utilisait les mots mais rien de lui. Je tremblais de peur puis elle me prit dans ses bras. Et je la serrais contre moi.
J’ai peur Céleste. Il m'a fait vraiment mal. Ne me laisse pas seule
Je la serra fort dans mes bras. Être dans ses bras me faisais vraiment du bien. C’est fou comme les bras d’une personne puissent faire du bien à quelqu’un. Je lui caressais les cheveux comme je faisais avec mère