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| De plume et d'épée - Adrian Ryder | |
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Invité Invité
> PROFIL RPG | Sujet: De plume et d'épée - Adrian Ryder Lun 14 Avr - 13:18 | |
| Adrian Paul Ryder
Questions pour un Fantôme
Que pensez-vous de cette île mystérieuse? Soyons lucides deux secondes voulez-vous : si cette île est là, ce n'est pas un hasard. Il faut voir la vérité en face, les occupants d'un navire naufragé qui reviennent hanter les mers alors qu'ils sont tous censés avoir trouvé la mort, plus le retour de ceux qui ont pourtant survécu, ça n'a rien de normal. Il se trame quelque chose sur ce navire, et après tous les événements étranges qui s'y sont produits, je me suis convaincu que rien n'arrivait par hasard sur ce paquebot. Et soudain, alors que la moitié des passagers sont prêts à devenir cinglés à force d'être enfermés ici, une île déserte sort de nulle part ? Alors que ça fait aussi longtemps qu'on dérive sans croiser le moindre signe de terre ou de vie ? Je passe peut-être pour un sceptique ou un rabat-joie, mais pour moi, tout ça ne présage rien de bon. Et je vais ouvrir l'oeil, même si je dois être le seul à le faire.
Comment avez-vous réagis en voyant que vous étiez de retour sur le Titanic, alors que celui-ci est au fond de l'océan? Quand je me suis réveillé sur le Titanic, trois ans après le naufrage, j'ai d'abord cru que j'étais en train de mourir et que j'étais en train de délirer. Après tout, quelques instants avant, j'étais en train d'agoniser dans une tranchée, trois balles dans l'abdomen, le coeur, et la tête. Puis j'ai bien du accepter l'évidence : d'une manière ou d'une autre, j'étais de retour sur ce maudit bateau. Je suis un rationnel, un réaliste. J'ai mis du temps à l'accepter, mais j'ai fini par me faire à l'idée qu'effectivement, nous étions bel et bien morts, quand j'ai revu, bien debout et bien vivante, cette personne dont j'avais pourtant constaté la mort lors du naufrage. Je ne sais pas ce qu'il se passe, mais je compte bien essayer de le découvrir. En attendant, tout ce qu'on peut faire, c'est attendre en essayant de ne pas perdre la boule. Ca m'a sacrément désarçonné tout ça, de quoi bousculer les convictions d'un cartésien athée comme moi... Mais il y a une explication quelque part, j'en suis sûr, et je suis sûr qu'on la trouvera sur ce bateau.
Que pensez-vous du Capitaine? Est-il une menace pour vous ou une personne fascinante? Je n'ai pas encore eu la "chance" de croiser notre bien-aimé capitaine, et je m'en réjouis. De ce que j'en entend ce type n'est qu'un psychopathe capricieux qui s'est auto-investi des pleins pouvoirs sur le navire et estime pouvoir faire de nous ce qu'il veut selon ses envies. Hors de question que je joue les pantins pour ce fou ou que je laisse mon destin entre ses mains, et si je trouve le moyen de me libérer pour de bon de son emprise, je le ferai vous pouvez en être sûrs !
Si tu avez la possibilité de quitter le Titanic ou l'île pour réellement mourir, le feriez-vous? Pourquoi? Je pense qu'il y a encore beaucoup trop de mystères à élucider sur ce sacré paquebot. Nous n'avons probablement pas été ramenés pour rien, et il y a encore beaucoup de questions sans réponses. Les gens sont perdus, se demandent ce qu'il va advenir d'eux, il faut bien que quelques têtes froides s'occupent d'éclaircir tout ça. Et je suis bien trop curieux et casse-cou pour laisser passer une aubaine pareille. Donc non, si on m'en offrait la possibilité, je refuserais de mourir ; et puis, j'aime beaucoup trop la vie pour dire non quand elle m'est rendue, même dans des circonstances aussi bizarres !
Dernière édition par Adrian P. Ryder le Mer 16 Avr - 21:25, édité 3 fois |
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Invité Invité
> PROFIL RPG | Sujet: Re: De plume et d'épée - Adrian Ryder Lun 14 Avr - 13:19 | |
| Ton Histoire
Dans la famille Ryder, Adrian aurait pu faire office de mouton noir, ou de vilain petit canard. Aurait pu, disons-nous bien, car il n’en fut finalement rien et le jeune homme a eu la chance de naître dans une de ces familles éclairées et libérales de la bourgeoisie de la fin du XIXème siècle. Né à Londres en 1880, troisième fils d’Allan et Virginia Ryder, il a toujours été un enfant choyé, aussi bien par ses parents que par ses frères et sa sœur aînés. Né sur la tard alors que Virginia pensait ne plus pouvoir concevoir, l’arrivée d’Adrian a été une joie pour toute la famille qui, fortunée et respectée, n’avait aucune difficulté à nourrir une bouche supplémentaire. Allan Ryder était à la tête d’une importante usine dans la fabrication de pièces de chemin de fer, un élément vital dans le boom industriel que connaissait alors encore l’Angleterre, et son fils aîné, William, reprendrait un jour le flambeau en compagnie de son benjamin, Eric. La troisième née, Helena, se marierait à l’âge de dix-huit ans avec l’un des plus jeunes et plus prometteurs collaborateurs d’Allan, assurant ainsi un trio indissociable entre les deux fils et le gendre pour prendre la relève lorsqu’Allan se retirerait des affaires. En conséquence, Adrian a eu toute sa jeunesse une paix royale… Et tant mieux, car les affaires des chemins de fer ne l’intéressaient pas du tout !
Jeune garçon énergique et curieux de tout, il fit preuve très tôt de certaines prédispositions intellectuelles, qui poussèrent ses parents à l’encourager dans la voie des études. Un encouragement qu’Adrian acceptait bien volontiers : dès qu’il avait su parler il n’avait cessé de poser des questions à tout son entourage, sur tout et rien, en particulier aux gouvernantes ou à sa sœur Helena, elle aussi un esprit brillant et cultivé. C’est d’ailleurs elle la première, avant même l’école privée d’Eton, qui l’initia aux joies de la lecture. Dès qu’il maîtrisa suffisamment la lecture, Adrian passa ses journées à faire des allers-retours entre la bibliothèque bien fournie d’Helena et le jardin, où il préférait lire plutôt que de rester à l’intérieur. Petit rat de bibliothèque, oui, mais il ne restait pas enfermé pour autant ! L’idée même d’enfermement devait d’ailleurs devenir, une fois adulte, l’une de ses principales hantises, et la quête de la liberté physique et intellectuelle, sa principale quête. Partir à l’internat d’Eton comme tout fils de bonne famille fut d’ailleurs comme une punition pour ce gamin dynamique et très attaché à sa famille et sa maison. L’autorité des professeurs, la discipline stricte, ne lui convenaient pas. Heureusement, il aimait assez les études pour travailler et rester un très bon élève malgré quelques turbulences dans la salle de classe.
Il a dix-sept ans lorsque sa mère meurt, victime d’une épidémie de grippe. C’est une grosse perte pour toute la famille, et Adrian lui-même, s’il fait de son mieux pour contenir son chagrin, en gardera pour toujours une marque au fond de lui, d’autant plus que malgré son énergie il a hérité de la santé fragile de sa mère et se retrouve souvent malade, une santé fragile qui le poursuivra jusque dans la mort. Migraines, affaiblissements, fatigue étaient des symptômes réguliers de cette constitution bancale, mais Adrian compensait par énormément d’exercice mental et intellectuel. Lecteur toujours aussi assidû, il dévora tout ce qu’il pouvait trouver sur la philosophie, la littérature, l’histoire, s’intéressa même aux sciences et à l’histoire des sciences en particulier. Trouvant dans la philosophie et la réflexion un véritable moteur, il se mit en tête dès l’adolescence qu’un jour, lui aussi ferait partie de ces penseurs qui marqueront l’Histoire. Ambitieux, le jeune homme ? Certainement, mais comment lui en vouloir ? Observateur et l’esprit aiguisé, il commença dès son entrée à l’université de Cambridge à s’intéresser au monde qui l’entourait et à ses contemporains, en particulier grâce à son ami Leonard Woolf, un de ses camarades de promotion. Leonard Woolf, qui avait le même âge que lui, lui avait à l’époque proposé de rejoindre la société secrète universitaire The Cambridge Apostles, une société d’intellectuels qui se réunissaient secrètement pour discuter et débattre sur des sujets divers. A la sortie de l’université, en 1901, Adrian et Leonard regagnèrent tous les deux Londres, mais Leonard partit presque aussitôt pour le Sri Lanka, n’oubliant jamais pour autant d’écrire régulièrement à son ami. Adrian, pour sa part, avait brillamment décroché son diplôme de philosophie et culture classique et fut embauché dans une petite maison d’édition spécialisée dans les essais politiques et philosophiques, et qui cherchait alors à se développer. Adrian vit là l’occasion de sa vie, et se jeta corps et âme dans son travail pour contribuer à développer cette petite maison d’édition qui lui tenait tant à cœur. Il grimpa rapidement les échelons, et fit bientôt partie du comité de gestion de la petite entreprise, qui évolua alors assez rapidement et commença à faire parler d’elle dans les milieux intellectuels. Adrian, toujours prêt à s’engager quelque part pour quelque cause juste, se fit aussi un nom dans le journalisme, publiant régulièrement des articles souvent polémiques dans le Strand ou le Daily Telegraph ou encore le Politic Society. La maison d’édition où il travaillait, MacKay Press, publia aussi plusieurs de ses essais, notamment sur l’éducation des femmes et leur absence des universités comme Oxford et Cambridge, ou encore sur les conditions pénitentiaires, une enquête pour laquelle il effectua d’ailleurs volontairement un séjour de trois mois en prison dans les mêmes conditions que les prisonniers. C’est ce reportage, ainsi que son soutien affiché aux suffragettes et ses attaques répétées contre l’antisémitisme, ainsi que ses positions quelque peu socialistes, voire anarchistes, qui lui attirèrent de nombreux ennemis dans les hautes sphères de l’establishment londonien. Insolent, terriblement franc, vindicatif et enflammé, Adrian ne reculait devant aucun combat et ne donnait pas dans la langue de bois. Apolitique, il ne cherchait nullement à se faire des amis dans les hautes classes, et prenait un certain plaisir à se faire régulièrement incendier dans les colonnes d’autres journaux, par d’autres journalistes au parti pris !
Travailleur acharné, guettant toujours le prochain sujet pour lequel se révolter ou le prochain auteur à faire décoller, Adrian ne songeait absolument pas à se marier, et malgré une tentative presque réussie avec une jeune femme rencontrée grâce à Helena, les fiançailles avortèrent et Adrian resta seul jusqu’à son voyage en Amérique. Il avait trente-deux ans en 1912 quand il s’embarqua sur le Titanic avec pour projet d’aller découvrir les Etats-Unis. Le rêve américain, les légendes d’égalité et d’opulence que l’on racontait sur New York et les autres grandes villes, le jeune homme voulait aller constater ça de ses propres yeux et faire un reportage sur les systèmes novateurs dont l’Angleterre devrait s’inspirer pour se dépoussiérer et se remettre au niveau des Etats-Unis, afin de ne pas voir tous ses habitants immigrer vers de meilleurs horizons ! Hélas, comme nous le savons, les choses ne se passèrent pas comme prévu : cinq jours après l’embarquement, le paquebot heurta un iceberg, et en l’espace de quelques heures, coula dans un naufrage qui tua plus de mille personnes. Lors de la collision, Adrian était dans les cabines de troisième classe, à recueillir des témoignages de voyageurs qui voulaient aller tenter leur chance en Amérique. Il ne sait pas exactement pas quel miracle il réussit à regagner le pont, mais toujours est-il qu’il y parvint. Il réussit à embarquer sur un canot de sauvetage en aidant une femme et son enfant à monter ; la jeune femme refusait de se détacher de son bras, elle venait de perdre son mari qui avait glissé sur le pont et avait heurté un angle mortel, et refusait de se retrouver seule. Adrian fut donc accepté sur le canot, et échappa très certainement à la mort.
Bouleversé par cette catastrophe, Adrian en écrivit le récit dès son arrivée à New York. En l’espace d’une semaine il écrivit tout ce dont il se souvenait avoir été le témoin, et envoya aussitôt le manuscrit à Londres où il laissa Leonard Woolf, qui avait regagné la capitale anglaise, s’occuper de la publication. Et Adrian commença son tour des Etats-Unis, escorté d’un correspondant américain d’un des journaux pour lesquels il écrivait. S’il fut conquis par le nord (et faillit une nouvelle fois se marier avant que les fiançailles ne soient rompues lorsqu’on découvrit qu’elle était enceinte avant le mariage d’un autre qu’Adrian) le racisme toujours latent du sud et son traditionalisme lui offrirent de nouveaux sujets de polémique, et la discrimination raciale devint l’un de ses nouveaux chevaux de bataille. Repéré par le Klu Klux Klan, il faillit y laisser la peau lorsqu’un groupe d’encagoulés mirent une nuit le feu à son hôtel. Heureusement, il parvint à s’échapper à temps, ainsi que son compère. Deux mois plus tard, après un long périple, il embarqua de nouveau rentra en Angleterre, cette fois sans dommage. Son voyage avait duré un an, et en 1913, nous étions à la veille de la première guerre mondiale. Il renoua aussitôt avec Leonard Woolf et fit la connaissance de son épouse, Virginia Woolf, qui le sensibilisa plus encore à la condition des femmes et le motiva de nouveau à prendre la plume pour défendre les droits des anglaises, en particulier sur la question de l’éducation, du mariage, et de l’indépendance financière. Il intégra le Bloomsbury Group, ce cercle d’intellectuels fondé par les Woolf dans leur appartement de Bloomsbury, et collabora sans relâche avec les époux Woolf, Strachey, Bell, Greene, et bon nombres d’autres auteurs sur des essais et recueils collaboratifs. Malheureusement, le début de la guerre en 1914 mit fin à cette fructueuse collaboration, quand Adrian fut mobilisé pour partir sur le front. Patriote, il s’était certes engagé lui-même, de son propre chef, mais lorsqu’il découvrit la réalité des tranchées en France, son âme pacifiste et rebelle reprit le dessus, et pendant les longues heures d’inaction dans la boue et la pluie de Verdun et ses consoeurs, il se mit à écrire et envoyer de nouveaux articles au Bloomsbury Group. La guerre la plus inutile de l’histoire de Grande Bretagne, voilà comment il appelait la Grande Guerre, critiquant sans cesse les ordres de ses supérieurs, les conditions de vie dans lesquelles lui et ses camarades évoluaient, le manque de rationnement, l’hygiène déplorable… Ses articles, acerbes et virulents, firent grand bruit à Londres, où les Etats-Majors commencèrent à s’inquiéter de l’impact de ces écrits sur le moral des troupes et du pays. Qui exactement donna l’ordre de faire taire Adrian Ryder ? L’ordre fut-il d’ailleurs clairement formulé, ou s’agissait-il d’un subalterne qui avait mal compris, ou décidé de faire du zèle ? Personne ne le saurait jamais. Toujours est-il qu’en 1917, lors d’une offensive contre les allemands, alors qu’il était déjà malade depuis plus de deux semaines, un anglais dont il ne put voir le visage lui logea trois balles dans le corps. Personne ne vit rien sur le champ de bataille, sous la pluie des balles et des obus, et Adrian mourut sur le coup dans l’indifférence générale. A son père, ses frères, sa sœur et ses amis, l’on raconta qu’il avait été fauché par un obus allemand, et c’en fut fini de l’affaire Ryder.
Lorsqu’Adrian se réveilla sur le Titanic, il crut d’abord halluciner. Puis il fut, comme les autres, forcé de se rendre à l’évidence, surtout lorsqu’il croisa sur le navire une jeune femme qu’il reconnut aussitôt pour l’avoir vue mourir dans ses bras lors du naufrage alors qu’il remontait des troisième classes jusque sur le pont. Réaliste et sceptique de nature, Adrian fut déboussolé un certain temps, mais son esprit débrouillard le força à s’adapter à la situation, et s’il ne comprend toujours pas ce qu’il se passe et s’en agace, il a réussi à trouver un certain équilibre en retrouvant sa cabine, en discutant avec d’autres passagers, en liant connaissance, et surtout en s’improvisant un emploi de précepteur pour soulager tous les parents qu’il voyait paniquer avec leurs enfants à charge alors qu’eux-mêmes étaient complètement perdus. Si au moins Adrian pouvait se rendre utile, rendre service à d’autres, et en plus communiquer à des enfants (avec qui il avait toujours eu des affinités) sa passion du savoir, que demander de plus ? Cette initiative lui permit d’ailleurs de rencontrer d’autres passagers, notamment la charmante Esther. Une gouvernante, une toute jeune femme qui avait entendu parler de sa démarche et était aussitôt venue l’encourager, n’hésitant pas à le soutenir et l’aider du mieux qu’elle pouvait en le mettant en relation avec certaines familles, ou en l’aidant à s’occuper de certains enfants, établir des activités… Bref, toute l’aide dont Adrian pouvait avoir besoin. Et pour ne rien gâcher, elle était vive et intelligente, et Adrian prenait un plaisir particulier à converser et débattre avec elle, lui qui ne pourrait maintenant certainement jamais regagner Londres et le Bloomsbury Group… Alors pourquoi refuser la compagnie d’une jeune femme aussi mystérieuse qu’attachante, aux yeux d’Adrian qui avait toujours eu le goût pour les mystères et les gens qui dégageaient quelque chose de singulier ? Cela faisait maintenant plus d’un an que le Titanic fantôme était à la dérive, et la découverte de cette île allait changer bien des choses pour tout le monde… Restait à voir qui réussirait à en sortit indemne.
Dernière édition par Adrian P. Ryder le Mer 16 Avr - 21:25, édité 1 fois |
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Invité Invité
> PROFIL RPG | Sujet: Re: De plume et d'épée - Adrian Ryder Lun 14 Avr - 13:38 | |
| Bienvenue Bonne chance pour ta fiche Si tu as le moindre soucis, n'hésites pas à nous envoyer un MP |
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Invité Invité
> PROFIL RPG | Sujet: Re: De plume et d'épée - Adrian Ryder Lun 14 Avr - 13:50 | |
| Bienvenue parmi nous ♥ Wow ! Sexy vava moi je dis ** Bon courage pour ta fiche ♥ |
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Invité Invité
> PROFIL RPG | Sujet: Re: De plume et d'épée - Adrian Ryder Lun 14 Avr - 14:38 | |
| Bienvenue parmi nous !!! Bon courage pour ta fiche!! Quel magnifique avatar !!! <3 Nous sommes a ta disposition pour toutes questions |
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Invité Invité
> PROFIL RPG | Sujet: Re: De plume et d'épée - Adrian Ryder Lun 14 Avr - 14:53 | |
| Merci vous tous quelle surprise de voir que Matthew Goode plaît, d'habitude les gens sur les forums ne le connaissent pas trop, c'est cool |
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L. Georgiana O'Hara ADMIN SADIQUE ♌ The body of a woman, but the heart of a lion.
> PROFIL♌ Double Compte : Esther Delmas, Mary-Ann Fleming & Scarlett Hamilton ♌ Prénom ou Pseudo : Mari-Jane♌ Signaux de Détresse : 8567♌ Points : 20♌ Jour d'embarquement : 16/07/2011♌ Age du Personnage : 23 ans ♌ Profession : Couturière & Danseuse à ses heures perdues ♌ Crédits : Mari-Jane♌ Photo : RPGJournal d'un fantôme♌ Numéro de Cabine : E10♌ Situation Amoureuse : Amoureuse de Joseph Earnshaw♌ Présentation: | Sujet: Re: De plume et d'épée - Adrian Ryder Lun 14 Avr - 15:04 | |
| Ohhhh je suis contente de te voir Je ne pensais pas que ça serait si vite Bienvenue officiellement sur GOTA Si tu as des questions surtout n'hésites pas Bon courage pour la rédaction de ta fiche |
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Invité Invité
> PROFIL RPG | Sujet: Re: De plume et d'épée - Adrian Ryder Lun 14 Avr - 15:44 | |
| Bienvenue parmi nous !! J'adore ton prénom, et ton avatar... bref j'aime tout ! En tout cas bon courage pour le restant de ta fiche et si tu as la moindre question, n'hésite pas à nous contacter dans le Staff |
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Invité Invité
> PROFIL RPG | Sujet: Re: De plume et d'épée - Adrian Ryder Lun 14 Avr - 16:30 | |
| Moi, c'est pas mon genre d'homme... Bienvenuuuuuuuuuuuue! |
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L. Georgiana O'Hara ADMIN SADIQUE ♌ The body of a woman, but the heart of a lion.
> PROFIL♌ Double Compte : Esther Delmas, Mary-Ann Fleming & Scarlett Hamilton ♌ Prénom ou Pseudo : Mari-Jane♌ Signaux de Détresse : 8567♌ Points : 20♌ Jour d'embarquement : 16/07/2011♌ Age du Personnage : 23 ans ♌ Profession : Couturière & Danseuse à ses heures perdues ♌ Crédits : Mari-Jane♌ Photo : RPGJournal d'un fantôme♌ Numéro de Cabine : E10♌ Situation Amoureuse : Amoureuse de Joseph Earnshaw♌ Présentation: | Sujet: Re: De plume et d'épée - Adrian Ryder Lun 14 Avr - 16:53 | |
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Invité Invité
> PROFIL RPG | Sujet: Re: De plume et d'épée - Adrian Ryder Lun 14 Avr - 17:09 | |
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Invité Invité
> PROFIL RPG | Sujet: Re: De plume et d'épée - Adrian Ryder Lun 14 Avr - 17:43 | |
| Merciiiiiiiii tout le monde j'vous kiffe déjà tiens (t'inquiète poulette Charles, t'es pas mon style non plus ) Han Nina, Lana en avatar, c'est rare, j'aime |
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Invité Invité
> PROFIL RPG | Sujet: Re: De plume et d'épée - Adrian Ryder Lun 14 Avr - 17:46 | |
| haha, merciii !! (je n'ai jamais vraiment vu Matthew Goode non plus ) |
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Invité Invité
> PROFIL RPG | Sujet: Re: De plume et d'épée - Adrian Ryder Lun 14 Avr - 20:08 | |
| Matthew Goode, quel super choix ! Même si il m'a fait flipper dans Stoker Et j'adore ton prénom Bref, bienvenue parmi nous, et bon courage pour ta fiche ! |
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Invité Invité
> PROFIL RPG | Sujet: Re: De plume et d'épée - Adrian Ryder Lun 14 Avr - 20:44 | |
| Merci Laviniaaaaaaa quel joli prénom, et Jessica en plus au plaisir de te croiser en rp et sur le fofo ! |
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Invité Invité
> PROFIL RPG | Sujet: Re: De plume et d'épée - Adrian Ryder Mer 16 Avr - 22:07 | |
| Bienvenue |
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Invité Invité
> PROFIL RPG | Sujet: Re: De plume et d'épée - Adrian Ryder Mer 16 Avr - 22:29 | |
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Vraiment c'était une superbe fiche ! J'aime beaucoup ton style de rédaction et puis quelle connaissance sur l'époque ! bref, c'était super Je te valide donc Et voilà, tu es validé et pour toi une longue aventure commence, pour commencer à faire la fête parmi nous, il va falloir travailler un peu et faire votre fiche de lien (ICI), comme ça tu auras le grand bonheur de te faire harceler par les membres du forum Pour RP aussi, rien ne vaut une fiche de RP, cela sera beaucoup plus simple pour les membres de venir t'en réclamer (ICI). Par (LA), tu peux aussi faire une demande de rang et de cabine, bah oui être SDF, c'est pas toujours drôle Si tu veux, tu peux créer un ou des scénarii, pour faire une famille, des amis, un compagnon ou une compagne, ça se passe par (LA)!
Pour bien commencer à RP, notre (EVENT) est pour toi Il vient tout juste de commencer alors n'hésite pas à te lancer
Après tout pour bien commencer sur le forum, tu peux tout aussi bien passer par le flood et les jeux, c'est la meilleure porte à prendre pour une meilleure intégration (ICI) en route vers le flood en grand !
Et voilà, maintenant tu sais tout sur tout et ton aventure à bord peut parfaitement commencer
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> PROFIL RPG | Sujet: Re: De plume et d'épée - Adrian Ryder | |
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| | | | De plume et d'épée - Adrian Ryder | |
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