Because of you, I will not make the same mistakes that you did. Il en cauchemarde. Il en rêve même par moment. Il ne peut pas continuer dans le silence. C'est beaucoup trop douloureux pour un « enfant ». Il ne peut pas endurer tout ça. Le mensonge éloigne la vérité ;  et blesse beaucoup plus qu'elle ne « soigne ». Il n'y a pas meilleur méthode, qu'éduquer un enfant, en lui disant : « ne ment pas, soit honnête, et dis toujours la vérité. » Le plus étrange c'est que l'adulte ment. Alors, qu'un enfant grandit, en apprenant en imitant les parents. Comment fera-t-elle si son enfant devient violent ? Et si un jour il réagirait de la même façon... par l'abandon ? Il a toujours vu sa mère comme une « héroïne » qui est incroyable. La voir à ce point « faible » le rend distant, et se demande s'il deviendra comme elle quand il sera plus grand. Il ne veut pas y croire cependant, car malgré tout il n'abandonnera pas. Il se serait battu pour que les enfants montent, même aux risques de mourir. Il tenait peut-être de son père après tout. Il aurait voulu les sauver quand il en avait eu le pouvoir. Il s'enfermait dans son bouquin, ou il était protégé du « mensonge » et du monde dans lequel il vit. La méchante reine était devenu soudainement Mary-Ann. Il se disait qu'elle était peut-être « possédée ». Et qu'on peut sûrement la « sauver » maintenant. Comme vouloir pardonner l'impardonnable. Il aimait malgré tout sa maman, car elle était la seule à se préoccuper autant de lui. Il lui doit énormément.

I will not break, the way you did, you felt so hard Il commençait à ranger les vêtements, et également ses bouquins. Il voulait rester avec son paternel, pendant un moment même s'il aimait être avec sa sœur. Il s'en veut de la laisser, mais il reviendra uniquement pour elle. Le mal a été fait, et il aura toujours du mal de la regarder. Il verra la femme qu'elle est devenue, et non celle qu'il a connu auparavant. Il prit son sac quand soudainement la porte se mit à s'ouvrir lentement. Il comprit vu la lenteur que c'était Mary-Ann qui est venu pour essayer de communiquer. Il n'y a qu'une solution, parlons du sujet principale maintenant. Et ne mentons pas sur le plus important. Le mal risque de briser l'enfant, et le mensonge de perdre le peu de « confiance » qu'il a encore de son parent. Le regard neutre, il ne dit aucun mots, et attend que le moment soit propice pour commencer : « Je ne veux pas te parler. » Il avait toujours du mal. Il avait le cœur brisé, et il ne pourra pas grandir comme un garçon normal. Le brundinet aurait voulu mourir normalement, comme ça même s'il aurait eu peur, et que leur mère essayait de les réconforter. Il serait qu'elle aurait son possible pour les protéger, et les rassurer comme d'habitude. Là elle n'a fait qu'abandonner, lâchement, en enchaînant sur le mensonge. Il baissa la tête doucement, en laissant couler une larme discrète, qu'il essuya rapidement : « Tu m'as brisé. » Il mit un peu de temps avant de reprendre « Tu étais mon héroïne. Je voulais devenir comme toi. Tu as tout gâché.. » Il n'en pouvait plus de se retenir depuis longtemps. Il savait que maintenant tout serait différent, et quand son paternel apprendra. Il risque d'avoir des tensions, et de se retrouver seul, sans même ses « enfants » qu'elle disait tant aimer.

I watched you die, I heard you cry every night in your sleep. Il voulait régler ça maintenant. Il leva le regard sur son parent. Il avait peur d'entendre son discours, surtout le « pour vous protéger ». Il en avait marre de l'entendre, surtout d'une « menteuse » qui se dissimule derrière un masque. Il serra ses poings, en fronçant le regard : « Pourquoi ? » Il répliqua directement pour rajouter : « Et ne dit pas pour nous protéger. Car, on ne tue pas les personnes qu'on aime.. même pour les protéger. » Il lui en voulait à tel point, que ses mains étaient venu s’agripper à la robe. Il la secouait du peu de force qu'il avait, de plus il portait son sac quasiment plein. La mère de famille avait réussi à rendre malheureux son enfant, et de le briser entièrement. Il déposa son tempe sur la robe, en murmurant des pourquoi en plein poumon. Que ça peut briser le cœur de n'importe quel homme ! Il était devenu ce garçon « flemmard » comme dit Lily-Rose. A cause de sa mère surtout, si elle aurait essayer de les sauver. Ou même de mourir ensemble, sans les tuer forcément, il aurait réagir différemment que maintenant. Il ne pouvait compter que sur son paternel, ou même sa sœur surtout. Et même si elle ne croyait pas que leur parent était méchante, vu qu'elle a causé leur mort. Elle ne se rendait pas compte qu'ils étaient mort, et que maintenant ils sont obligés d'errer comme des morts. Et ne pas réaliser leur rêve comme tout le monde. Il rajouta quelque chose qu'il a oublié de rajouter : « Je vais rester avec papa. Et tu m'en empêcheras pas. »

It's been written in the scars on our hearts. We're not broken just bent. And we can learn to love again Il ne voulait revoir ses cauchemars. La voir tous les soirs l'étouffant, se réveillant sur sursaut, ayant des « sueurs nocturnes ». Il en avait à personne, car il savait qu'aucun mots, ou remède ne pouvait le soulager. Il faudrait vraiment un « miracle ». Et malheureusement cela était complètement impossible. Il vivait avec la crainte que le soir, son parent vient dans les étouffer, comme si c'était en « boucle ». Il voulait recommencer, et ne plus revoir ce cauchemar qui montrait que le mauvais côté de son parent. Il voulait croire qu'il y a encore du bon, et qu'ils pourront de nouveau tout recommencer. La vie serait plus paisible, et ils pourront avoir une grande famille « recomposé ». Le rêve du garçon qui pour le moment, avait du mal à pardonner, ou même à se reconstruire, en apprenant qu'il ne pourra pas grandir. Il regarda le bouquin de son parent un moment, qu'il gardait toujours comme le plus précieux des « cadeaux ». Il démontrait aussi combien il aimait son parent, pour tenir beaucoup à cet objet uniquement. Il le prit rapidement, avant de tourner les pages doucement quand il entendit : « Harrison… Arrêtes de mettre tes affaires dans cette valise. Je sais que tu me vois comme le pire des montres. Mais oublies-tu toutes ces années durant lesquelles je vous ais protégé ? Je vous ais élevé seule avec ta sœur, pendant que ton père était loin de nous. J’ai fait des erreurs, comme la nuit de ce naufrage. J’ai craqué, je n’ai pas pu me battre jusqu’au bout et ça du fond de mon cœur je le regretterai toute ma vie. » Il continua de ranger, tout en feuilletant le bouquin, qu'il regardait se projetant dans le monde des « contes » comme celui de Peter Pan. Ou seul les enfants malheureux peuvent entendre le « pipeau » et suivent doucement pour pénétrer dans le « monde imaginaire ». Il aurait aimé vivre dans ce conte pour vivre éternellement sans adulte, menteur, et qui nous abandonne brutalement. Il la voyait comme la méchante reine de son bouquin, de plus physiquement c'était presque ça, Il n'oublie pas cependant, il la voit comme une autre « femme », et non son parent dont il avait ses souvenirs auparavant. Il était au courant, même s'il aurait voulu qu'il soit présent. Là il pouvait se racheter, et il allait lui apprendre à « draguer » et également à fumer, et « boire ». La mère serait sûrement contre vu l'âge, cependant il ne pourra pas grandir alors pourquoi se priver ? Les mots n'allaient pas remplacer la douleur. Il fallait réfléchir avant de les tuer bêtement.

I let you see the parts of me.That weren't all that pretty. And with every touch you fixed them Il lui montra exactement qui elle ressemblait. Le personnage de la « méchante reine » la méchante sorcière qui veut prendre le cœur de Blanche-Neige. La tuer par jalousie, ou seulement par vengeance également. Là il voyait qu'elle était possédé par elle, pour vouloir se débarrasser de lui pour pouvoir gouverner sur le monde. Il fronça des sourcils, en expliquant : « Je ne te vois pas comme un monstre. Tu es la « méchante reine » de Blanche-Neige. Tu as changé, tu n'es plus celle d'auparavant. Il est revenu cependant, et il m'a promis qu'il m'apprendrait beaucoup.. Et c'est le plus important pour moi. » Il allait pouvoir apprendre beaucoup, et devenir un grand garçon. Il pourrait voir la fille qu'il a rencontré, et qui ressemblait beaucoup à sa maman inconsciemment les enfants tombent amoureux de quelqu'un qui ressemble quelque part à leur proche car ça les rassurent quelque part. Il écouta la fin de ce qu'elle venait de répondre, avant de rajouter : « Tu as trouvé que nous tuer était la meilleur façon. J'aurai pu accepté de mourir noyer.. il aurait suffit simplement que tu me rassures, comme d'habitude.. Et on aurait pu être sauver si tu aurais joué la « comédienne » pour avoir un canot.. » Il voyait qu'elle n'avait pas le cran, même ayant vécu beaucoup. Il ne la comprenait pas cependant. Il rangea rapidement son bouquin. Il devait rejoindre son père rapidement pour qu'il lui apprend, et qu'il s'amuse ensemble comme une famille qu'il aurait pu avoir auparavant. Il était tellement heureux de l'avoir retrouver. Il avait des points communs, et lui raconter ses aventures, comme il aimait entendre toutes les « aventures » de son parent. Il se mit à sourire, en pensant à ce qu'il pourrait faire en ce moment. Il lui racontera sûrement un conte pour le plonger dans un sommeil, et ne pas repenser à son cauchemar. Il se demandait comment elle ne pouvait pas entendre les nuits, en train de pleurer ou même d'appeler « au secours » en sueur. Il était discret, mais une mère ressent en général quand son enfant est malheureux non ? Il mit son sac sur ses épaules, avant de prendre sa peluche qui l'aidait à combattre les « cauchemars ». Il était aussi mal qu'elle, car il appréciait la voir jouer, ou même qu'elle lui raconte un conte, encore voir quand elle le rassurait quand il cauchemardait. Il aimerait revenir en arrière pour empêcher cet accident. Il avoua cependant : « Je ne dormais pas ce soir là. J'avais peur.. Et j'aurai voulu que tu me rassures cependant.. J'ai cru que tu voulais dormir avec nous, même en sachant que nous allons mourir ensemble.. »

Just give me a reason. Just a little bit's enough. Just a second we're not broken just bent. And we can learn to love again. Il s'apprêtait à quitter la chambre, quand soudain : « Tu laisserais ta sœur ? Lily-Rose t’aime, tu ne peux pas l’abandonner, elle a déjà peur de tout ce qui se passe dans notre famille. Tu ne peux pas nous abandonner. On réglera nos problèmes ensemble, je t’aime tellement Harrison, je ne veux pas te perdre. » Il ne l'abandonnera pas. Il viendra la voir tout le temps, seulement il dormirait avec son parent. Il se sentira plus rassuré, et ne sera pas obligé de vivre avec « la méchante reine ». Il est vrai qu'il avait promis de faire des efforts, mais il avait besoin de temps pour recommencer. Le fait est qu'il ne pouvait pas revenir auparavant, et annulait sa « promesse ». Il ne se permettrait pas de la quitter, comme leur parent avait fait auparavant en les tuant ensemble. Et même si elle ne voulait pas l'admettre leur parent était véritablement méchante. « Je ne l'abandonnerai pas. Je ne suis pas comme toi. Je viendrais tout le temps avec elle. Je ne dors qu'avec papa seulement. » Il pouvait abandonner, mais pas sa sœur. Il ne pouvait pas oublier mais seulement pardonner. Il avait encore du mal, cependant il aimait sa maman, même si elle disait qu'elle avait changer. Il se trompait, il le savait bien néanmoins il voulait croire qu'elle était possédée seulement. Comment voulait-elle régler le problème « tu nous as tué » ? Ce qui est fait, et fait non ? Il n'est pas possible de revenir auparavant. Il est possiblement seulement, de recommencer comme auparavant, seulement il faudrait qu'elle « soigne » son cœur. Il aimait aussi, même s'il ne l'avouera pas, car il a beaucoup eu mal. Il soupira doucement, en voyant qu'elle se mit à pleurer. Il se mit sur la pointe des pieds, et essuya sa larme comme un grand. Il réfléchit un moment, avant de rajouter : « Je te laisse une chance de me récupérer.. Il te suffit de me donner une raison.. » Une raison de le récupérer. Une raison de soigner son cœur. Une raison de montrer qu'elle était comme auparavant. Et qu'elle pouvait tout recommencer « ensemble ». Il précisa seulement : « ..une seule raison. Et il sera peut-être possible de recommencer.. Tu n'as qu'une chance cependant, et si tu échoue, tu devras essayer de récupérer les morceaux de mon cœur.. » Il afficha un bref sourire cependant, pour montrer qu'il aimait. Et qu'elle ne devait pas abandonner, comme auparavant. Il y a toujours une possibilité de retourner auparavant. Il faut seulement bien s'y prendre.

When you walk away. I count the steps that you take. Do you see how much I need you right now. La reine ne voyait pas le mal. Le seul vœu est de « récupérer » son fils. Elle ne remarqua pas qu’il la protège. Il dit « ce n’est pas maman la meurtrière, mais la méchante reine qui nous a tué. » Il peut comme ça l’aimer. Il y a un homme qui lui a expliqué le « principe » de la peur de l’enfant. Il veut croire que son parent est « innocent ». Il aime plus que tout, et ne veut pas la perdre subitement. Il la voyait agressive dans ses rapports ; avait-elle oublié qu’il n’est qu’un enfant ? Il savait que c’était son parent. Il fallait qu’elle se demande seulement « si une mère tuerait ses enfants ? ». La réponse est « non » bien entendu. « Je ne suis pas la méchante reine Harrison, cesse d’avoir cette idée, je suis ta mère, celle qui a toujours été là depuis ta naissance. » Il fronça son sourcil, pour montrer son désaccord. Il faut savoir qu’un enfant voit son parent comme un « dieu ». Il cherchait seulement à prouver que leur parent était « gentil ». Il aimait énormément, cependant il souffrait de la « nuit du naufrage ». Elle ne se rendait pas compte. Il souffla un moment, en repensant à « son cauchemar » qui le plonge directement. Il se rapprocha de son parent, ayant peur des « représailles » du cauchemar. Il plongea son regard, se mordant doucement : « Demande-toi.. si une mère tuerait ses enfants ? » Il commençait à paniquer, en reprenant la « parole » : « Je-Je fais des cauchemars.. tous les soirs, maman.. Je revois en boucle la nuit du « naufrage »… et cette ombre.. qui vient me tuer… elle me répète que tout va bien.. en souriant machiavéliquement.. » Il comprendra pourquoi « la méchante reine » et aussi pourquoi il veut la protéger de « son cauchemar ». Il avait les mains serrer, en commençant à pleurer, en rajoutant : « J’ai peur, maman.. » Il a dit « maman » comme auparavant. Il a besoin de son parent. Il n’a que dix ans, et a besoin d’être constamment « rassurer » surtout maintenant. Il expliquait le lien par rapport à son paternel, et que le plus important c’était qu’il soit « revenu » et qu’il allait beaucoup lui apprendre, comme un parent aurait fait « normalement ». Il était sur que sans ce « naufrage » il n’aurait pas pu le rencontrer, comme il était un « revenant » du paquebot. Il y a un point un avantage, mais il aurait voulu « mourir » normalement. « En ce qui concerne ton père, il peut t’apprendre tout ce qu’il souhaite, c’est son rôle et il est temps qu’il l’assume enfin auprès de vous. Tu peux le voir autant que tu veux Harrison, si la mort nous a réuni tous les quatre ici, c’est bien pour cette raison. » Il allait s’amuser à voir si elle allait se comporter comme auparavant. Les maman désapprouve que leur enfant « boit » ou « fume ». Ils ne veulent pas voir leur enfant « souffrir » seulement. Là, elle gagnait un point de pouvoir le voir quand il veut, comme s’il était une famille « recomposée ». Il était du même point de vue par rapport au « naufrage » ensemble. Il aurait voulu le voir autrement, mais il y a une question « existentiel » qui le torturait depuis un moment : « Il a dit qu’il m’apprendra à boire, et aussi à fumer une cigarette comme les « hommes ». » Il avala sa salive, avant de répondre en hésitant depuis un long moment. Il avait peur de la réponse : « Il ne peut pas sortir du paquebot, papa ? Il est obligé de rester dedans tout le temps ? Je ne veux pas qu’il soit tout seul. » Il ne voulait pas qu’il soit seul. Il savait qu’il pouvait sortir dehors pour voir « cette île ». Il se demandait s’il le pouvait également. Il resterait dedans pour s’amuser avec « son paternel ». Il ne veut pas l’abandonner.

The words I need to hear to always get me through the day and make it ok. I miss you. Il y a des choses qu’un enfant ignore complètement. Et qui pourtant sont d’une importante « capitale ». Les choses qu’un adulte est important, pour un enfant ça sera complètement différent. Il en faut peu pour qu’un enfant porte son attention sur un « détail » quel qu’il soit. Il se peut qu’un élément que doute l’adulte, soit d’une important pour l’enfant. « Je vous ai accompagné Harrison. Je suis restée près de vous cette nuit-là… » Il ne comprenait pas. Il ne voyait pas comment elle aurait pu les accompagner. Ils étaient morts. Ou à moins de se « suicider », il était beaucoup trop jeune. Il fit une moue d’incompréhension, pour qu’elle développe en détail ce qu’elle veut dire par « accompagner ». Il alla dans ces bras pour la consoler, que même si c’était « douloureux ». Il avait besoin de comprendre, pour se reconstruire doucement. Il repassa sa main sur son visage, en l’écoutant attentivement : « Je me suis allongée à côté de vous après que vous soyez partis. Je vous ai chanté cette berceuse que je vous chantais quand vous étiez enfants. Je l’ai chanté jusqu’à ce que l’eau entre dans la cabine. A cet instant je vous ai serré contre moi, j’ai déposé un baiser sur vos fronts et j’ai fermé les yeux, attendant ma propre mort. J’ai toujours été là et cela jusqu’à la fin. » Il remarqua que c’était la même « maman ». Il prit beaucoup à cœur cette « histoire », car pour lui c’était important. Il venait d’apprendre qu’elle ne les avait pas « quitter » après les avoir étouffer. Il avait compris qu’elle gagnait « un point » important. Il murmurait « pourquoi » incessamment. Les larmes dévalaient son visage, comme auparavant par cet « aveu ». Il sentit son cœur doucement, qui commençait à aimer de nouveau. « mamaaaan.. » ce sont les seuls mots qu’il put sortir. Il ne lui avait pas pardonné. Il commençait seulement. Il lui faudra du temps, beaucoup de temps, cependant.. tout recommencera comme auparavant. Il aimerait pouvoir empêcher son parent. Il aimerait former une « famille ». Il ne put s’empêcher de culpabiliser qu’il aurait pu stopper son « acte ». Il murmura assez fort pour qu’on entend : « J’aurai du t’en empêcher. J’aurai du me lever.. et essayer de te « rassurer » comme tu as fait pour moi. Je suis après tout « l’homme » de la famille, non ? Je n’ai pas eu le courage… » Il se sentait un peu responsable. Il était éveillé, et il aurait pu réagir. Il n’a rien fait, ou même dit pour réveiller son « attention ». Il aurait pu mourir sur le paquebot. Il aurait pu mourir normalement. Il ne lui en voudrait pas. Il aurait eu la vie comme auparavant. Il avait vu pleurer, et avait donner une « chance » de se faire comme on dirait « pardonner ». Il fallait les bons mots pour parler à Harrison. Autrement, elle devra se contenter de se débrouiller. Et il ne l’aidera pas à tout recommencer, elle devra d’elle-même, pour récupérer son « amour ». Il va de soit qu’elle regagnera sa « confiance ». Là voilà désarmé maintenant, et ne trouvait plus les mots pour atteindre son enfant. Et pourtant elle est « artiste » comment cela pouvait être envisageable ? « Je vous aime tellement toi et ta sœur, vous êtes tout pour moi et j’ai préféré que vous mouriez de ma propre main, plutôt qu’à cause de cette eau glaciale. Je n’aurais pas supporté de vous voir attendre la mort avec moi… »

Bip bip ! Il aurait fallut s’y prendre autrement. Il ne comprend pas son « acte » donc il ne peut pas comprendre. Il aurait entendu quelque chose, qui correspond à ses « sentiments ». Il a entendu des mensonges, comme les « Je t’aime ». Il aurait voulu certainement de « l’originalité ». Il était déçu malgré qu’elle avait « un point » cependant. Il était donc indécis, et ne comptait pas « rester ». Il reviendrait sûrement les voir pour parler. Il se recula doucement : « Je suis désolé.. Il me faut du temps… » Il s’essuie les yeux doucement, avant de reprendre : « .. mais rien n’est perdu, maman.. c’est promis.. » Il lui a dit qu’elle a « une chance » de récupérer son cœur. Il se met à sourire doucement, en se retournant devant la porte de leur chambre. Il avait besoin de parler avec son paternel. Ils étaient mieux pour communiquer. Il était en même temps son confident. Lorsqu’une demoiselle se pointa devant la porte timidement. Elle ressemblait beaucoup à Mary-Ann, physiquement. Les enfants tombent amoureux d’enfants qui ressemblent à leur « parent » car ça les rassure beaucoup. Le fait est devant les yeux du parent, qui montrait que tout de même : il aimait beaucoup. La petite s’inclina poliment, en se présentant : « Bonjour Mme Fleming. Je m’appelle Lauwrence Weiss. Je suis une amie de votre fils. » Il lui sourit grand, quand il prit la main de « son amie » amoureuse du moment.

Ohh I'm sorry for blaming you. For everything I just couldn't do. And I've hurt myself by hurting you. Il avait gardé ça depuis tellement longtemps. Il en souffrait énormément. Le soir il prenait du temps à bouquiner. Il espérait que ce « cauchemar » disparaît. Il comprit qu'il disparaîtrait au moment ou tout « recommencera ». Il devra continuer à cauchemarder. Le seul moyen était de « pardonner ». Il va lui falloir beaucoup de temps, même énormément. Mais elle doit savoir qu'il n'oubliera pas le « naufrage ». Le naufrage est un moment de son vie auparavant. Il est dit « ce qui nous tue pas, nous rend plus fort. ». Si seulement c'était réel, et qu'on pourrait devenir « fort ». Il se sentait comme son parent, affaibli par le malheur, et lâche pour abandonner quelqu'un. Il avait décidé de lui avouer son cauchemar, uniquement pour lui montrer le « résultat ». Et surtout pour être « rassurer ». Il en avait besoin comme tous les moments. Il écouta la question de son parent : « Harrison, pourquoi me dis-tu tout cela que maintenant… » Il aurait pu lui dire auparavant. Harrison ne voulait avoir aucune « approche » avec Mary-Ann. Il a donc éviter de lui en parler, tout simplement. Il se rend compte aujourd'hui de son « erreur ». Il souffrait beaucoup les nuits sur le paquebot. Il ne voulait inquiéter personne. Il avait donc décidé de dormir, même s'il avait impression de « mourir ». Il aurait du mal à l'avouer, néanmoins c'était la solution pour lui montrer : qu'il avait toujours besoin de sa « maman ». Il est sûr à dit son amoureuse : il s'en voudra de rater autant de moment, quand elle voudra rejoindre le « paradis ». Il aura perdu tellement de temps. Il ne se rend pas compte, qu'elle pourrait demander à « partir » quand tout le monde la rejettera soudainement. Il était le seul à la rassurer et la soutenir. « Je-Je.. ne voulais pas vous inquiéter.. » Il commençait à parler, néanmoins il se stoppa soudainement. Il avait vraiment du mal à parler à son parent. Il ne voulait pas son parent d'auparavant. Il pensait beaucoup trop au « naufrage ». Il faudrait qu'il oublie le naufrage. « J'ai voulu.. dormir avec toi.. pour trouver du réconfort.. » Il n'avait pas oser aller dormir auprès de son parent. Il savait qu'elle allait se poser des questions, ou même qu'elle lui dirait : « ce n'est qu'un cauchemar rendort-toi » comme dit beaucoup de parent. Il avait besoin d'être rassurer constamment. Il voulait changer de chambre, surtout pour voir si quelque chose également aller « changer ». Le cauchemar allait-il disparaître ? Il savait que c'était une autre chambre. Et qu'il adorait passer du temps à son parent. Il lui a même parler de son amoureuse. Il voulait le rejoindre pour ça également, comme pour lui porter compagnie. Il avoua avec beaucoup de difficulté : « Je me suis rendu compte.. que j'ai.. surtout besoin.. de ma.. maman. » Le paternel ne pourrait pas remplacer son parent. Il savait que personne ne pourrait la remplacer. Il aimait beaucoup, même s'il ne le montrait pas. Il lui en voulait seulement, et donc il avait du mal à comprendre. Et surtout à réparer le mal qu'elle avait fait pendant le « naufrage ».

I would hold you in my arms. I would take the pain away. Thank you for all you've done. Forgive all your mistakes. Il se demandait si les revenants pouvaient quitter le paquebot. Il avait peur pour son paternel. Il avait retrouvé, il ne voulait pas le « perdre » également. Il ferait quoi si son parent rejoint la « lumière » et que son paternel soit seul sur le paquebot. Il serait donc abandonner. Il devra choisir entre la lumière, ou l’errance sur le paquebot. Il serait départager. Il voudrait autant avoir ses deux parents, qu'un seul qu'il regrettera son parent ou son paternel. Il avait évoqué également ce que son paternel aurait voulu lui apprendre. Et la réaction de sa maman l'amusait, comme il semblait retrouver « sa maman » qu'il adorait. Il avait habitude de la voir le parent qui les avait tué, se retrouvant « faible » devant lui. Il avait connu cette mère qui avait tout donné pour les élever, et qui n'avait pas abandonner. « Pour la cigarette et l’alcool, il devra m’en parler avant. » Il se mit à bouder comme un garçon qui reprochait à son parent. De l'empêcher d'imiter son « paternel » pour devenir un homme. Il lui apprendrait même draguer, même si son amoureuse lui en veut un moment de bouder son parent pour son « erreur ». Il savait qu'elle avait perdu sa maman, cependant il avait besoin de temps également. Il faut apprendre à renaître doucement. « maieu.. maman, je ne suis plus un petit garçon.. » La réaction typique d'un enfant, qui a le mal de ne pas grandir. Il veut faire comme les adultes, pour montrer qu'il peut être l'homme de la famille pendant que son paternel est « absent ». La mère de famille ne lui laissait pas beaucoup de corde à son « arc ». Il sait que c'est pour le protéger, et qu'il n'est aucun mal après. Cependant, il aimerait tellement « grandir ». « Bien sûr qu’il peut sortir, pourquoi ne le pourrait-il pas ? » Il avait peur qu'il soit bloqué, et qu'il devra choisir tout bêtement. Et vu qu'il en veut à sa maman, il se pourrait qu'il penche pour son paternel. Il tordit la bouche un moment, avec un air faussement réfléchi. Il voulait lui demander quelque chose, cependant il avait peur également de la réponse. Il avait peur de poser beaucoup pour retomber sur du « négatif ». Il aimerait savoir s'il pourrait former une « vrai famille ». Il veut dire avec deux parents. Il aimera toujours plus son parent, que son paternel. Il n'y en a même pas à lui demander. Il venait même contre son gré parler ou même demander du réconfort à son parent. « Il est revenant.. J'ai eu peur qu'il ne peut errer uniquement sur le paquebot.. Je ne voudrais pas choisir entre toi, et papa.. » Il repensa à ce qu'il voulait demander, avant de le demander timidement : « Est-ce que.. tu crois qu'on pourra reformer une famille tous les quatre ? » Il savait que as maman était moins heureuse, sans son paternel.

Some days I feel broke inside. But I won't admit. Sometimes I just wanna hide 'cause it's you I miss. And it's so hard to say goodbye. When it comes to these rules. Il voulait tout recommencer. Il avait de son parent également. Il ne pouvait simplement pas, les cauchemars, les souvenirs, le besoin constamment de réfléchir. Il voulait parler avec son paternel comme son confident. Il pouvait tout lui dire, et parler uniquement qu'avec des « hommes » comme il dit souvent. Il reviendra, ce n'est que pour quelque temps uniquement. Il allait retrouver cette femme « affaibli » qui intervient, quand elle a peur d'être abandonner. Il n'a pas dit qu'il partait tout le temps, seulement qu'il comptait dormir avec son paternel pour un moment. Il aurait besoin de retrouver la chambre d'auparavant, pour pouvoir dormir avec son parent, ou même s'amuser avec Lily-Rose avant de dormir. Il se retourna quand il entendit : « Harrison, tu ne peux pas… » Il la voit pleurer comme auparavant. La mère croyait qu'il allait toujours « rester » avec son paternel. Il avait du mal s'exprimer alors. Il voulait profiter de son paternel, et également de lui parler par rapport à sa « relation » avec son parent. Il savait qu'il le comprenait. Et même s'il ne croyait pas pour leur « meurtre » dans leur chambre. L'amour rend véritablement « aveugle ». Il avait rendu aveugle son paternel. « J'ai besoin de temps.. » Il voulait continuer, cependant son amoureuse vint les « interrompre » soudainement. La jolie demoiselle se présenta poliment, même si la mère s'en moquait. Il reporta son attention sur la demoiselle, qui lui murmura doucement à son oreille : « ne fait pas les mêmes erreurs que moi. » Il eut comme une nœud au ventre à ce moment. Il savait qu'elle avait raison, qu'on a une seule maman, et qu'un moment, elle rejoint les « anges ». Il sera à ce moment seul au monde, sans avoir dit ce qu'il aimait, et qu'il s'en voulait tellement. Il se faisait mal à lui-même, en faisant du mal à son parent. Il quitta la main de sa compagne, pour rejoindre son parent . Le temps d'un câlin pour lui dire la « vérité » et de là la rassurer également : « Je vais revenir maman.. J'ai besoin de réfléchir.. et me retrouver seul avec papa.. » Il sentait que sur le regard profond de son amie. Il n'avait pas tout dit clairement, comme la rassurer sur ses « sentiments » malgré tout. Il savait que c'était important, mais ça ne voulait pourtant pas « sortir » de sa bouche. Il était comme bloqué, cependant il sentait qu'il devait la « rassurer » sur ce point : « Je t'aime maman, quoiqu'il arrive.. »

Noire la misère, les hommes et la guerre qui croient tenir les rênes du temps. Pays d'amour n'a pas de frontière pour ceux qui ont un cœur d'enfant. Il ne le pouvait pas. Il avait peur d'inquiéter son parent. Il avait des sueurs nocturnes, des tremblements aux membres, et l'impression de mourir. Il lui en voulait également. Tout ça l'empêchait de lui apporter les « informations ». Il s'en voulait maintenant, car il aurait pu soulager la douleur, en dormant auprès de quelqu'un. Il avait décidé de dormir auprès de son paternel, comme pour s'éloigner du cauchemar, et prendre du recul par rapport au naufrage. Le garçon avait vraiment besoin de temps. Il ne pouvait pas sachant que le « monstre » le poursuivit n'importe ou dans leur « chambre ». La fuite était le seul moyen de vivre normalement. Il pourrait récupérer et moins dormir pendant les après-midi. Il était aussi un moyen de s'échapper de ce monde, ou il craignait son parent, et qu'il voulait s'en éloigner le maximum, pour ne plus « souffrir ». Il ne voulait plus entendre les mensonges, comme si elle ne savait que mentir. Il écouta alors ce qu'elle avait à répondre : « Je suis ta mère Harrison, ne t’ai-je pas dis que tu devais tout me dire. » Il voulait simplement les protéger. Il savait qu'elle souffrirait en apprenant son malheur. Il revoit la femme « faible » qui a peur de se « battre » pour récupérer ses enfants. Il devra lui dire si elle voulait le récupérer complètement, et retourner comme auparavant. Il avait même demandé après pour redevenir une « famille » normal. Il savait qu'il serait prêt à tuer pour protéger son entourage. Il était peut-être comme sa maman, cependant tuer pour protéger de la noyade. Il n'y pensait même pas, il aurait tout fait pour sauver son entourage, même à se donner complètement. Il soupira alors pour tout lui avouer, comme sa maman voulait décidément entendre la « vérité » en détail : « Je vais te le dire alors.. Je fais des sueurs nocturnes, et des tremblements, manquant de suffoquer... » Il détourna le regard, en se disant qu'il allait répondre exactement ce que son parent lui a dit par rapport à la « noyade ». « J'ai voulu te protéger de souffrir.. ne pouvant rien changer, vu que tu es la « raison » du cauchemar... » Il était clair qu'elle était la « raison » de son malheur. Il fallait sauver la situation pour récupérer le garçon. Et sauver leur amour fraternel, sachant qu'il faudra se « battre » pour récupérer ce qu'on a perdu. On a rien sans effort. Il ne faudra pas abandonner, sinon tout espoir est perdu « à jamais ». Il n'y a pas d'autre chemin, si elle veut le récupérer il faudra se « battre » définitivement. « Je suis là pour ça, c’est mon rôle. J’ai toujours été là pendant toutes ces années pour m’occuper de vous, même quand j’étais en tournage on a toujours été ensemble. »

Moi je ne suis qu'un garçon de l'ombre qui voit briller l'étoile du soir. Toi mon étoile qui tisse ma ronde. Viens allumer mon soleil noir. Il est vrai que c'était son rôle. Il aurait pu se comporter comme d'habitude. Il ne faisait qu'engendrer de la douleur. Il s'en voulait beaucoup, cependant comme elle il a voulu simplement la « protéger ». Là elle pouvait comprendre la « douleur » de vouloir protéger quelqu'un. Il en avait souffert beaucoup plus cependant, il n'avait tuer personne, seulement protéger de sa douleur. Il soupira de nouveau avant de lui répondre : « Tu vois ce que ça fait de souffrir quand quelqu'un veut vous protéger. » Il veut lui faire comprendre la douleur qu'il ressent en ce moment. Il a impression de ne plus reconnaître la personne, ou de l'avoir complètement perdu. Il ne voulait pas la faire souffrir, il voulait seulement la protéger comme elle aurait voulu les protéger. Il ne voulait inquiéter personne, cependant cela avait beaucoup fait mal. Il demanda une dernière chose, s'il pouvait redevenir une « famille » comme auparavant. Il aimerait que tout soit possible, seulement il a toujours un « mais.. ». Il avait peur qu'il passe en « second » et qu'il passe moins de temps ensemble. Il entendit la réponse de son parent avec une moue inquiète : « Oui on peut former une famille, mais avant il faut qu’on règle beaucoup de chose avec ton père. » Il n'y a pas qu'avec lui également. Il devait également se retrouver mère et enfant. Il ne pourra pas reformer leur famille, s'il n'y a que son paternel qui revient auprès de leur parent. Il fallait que les enfants apprennent la « vérité » et qu'il accepte, sinon cela n'est qu'un couple reformé uniquement. Il répondit alors : « Il n'y a pas qu'avec lui, ou tu ne comptais pas te battre pour me récupérer ?! » Il lui disait formellement qu'il va falloir qu'elle redevienne la mère « forte » pour se « battre » pour récupérer son enfant. Il se touche les mains nerveusement, avant de dire ça un peu à la volet pour montrer « faussement » qu'il s'en foutait royalement de ce qu'il allait prochainement répondre : « Papa va nous remplacer, n'est-ce pas ? Il va être le passer premier dans ton cœur.. et tu passeras moins de temps avec « tes enfants » ? » Il n'était pas jaloux, seulement inquiet de plus récupérer sa « place » dans leur famille, comme celle qu'aura sa sœur qu'il aimait autant. Il supporterait qu'il soit second, cependant il ne voulait pas que sa sœur « souffre ». Il s'apprêtait à partir quand son amie vint interrompre pour lui demander de partir ensemble. Il devait présenter son amoureuse à son paternel. Il entendit le « Non. » de son parent, comme pour l'empêcher de partir. Il se retourna alors, oubliant de l'avertir du « spectacle des enfants ». Il se retourna avant rajouter : « Tu es invité au spectacle.. Si tu veux commencer à te racheter.. C'est le moment. J'ai décidé d’interpréter « ta rencontre » avec papa.. »

Il n'y a pas quarante solution. Il fallait qu'elle se bat pour le « récupérer ». Il comptait sur elle, car il a vraiment besoin de son parent. Il en souffrait beaucoup. Le fait de dire ce qu'il ressentait pendant les « cauchemars ». Il avait le sentiment qu'il parlait à son parent d'auparavant. Il espérait vraiment la retrouver. La seule à pouvoir le changer, c'était uniquement Mary-Ann. Il était certain qu'en abandonnant. Le garçon lui en voudrait beaucoup. Il entendit son parent alors répondre : « Harrison, je t’aime tellement si tu savais à quel point. Je ne veux pas te perdre. » Il soupira en répétant ce qu'il avait dit auparavant, comme pour lui montrer qu'il voulait récupérer son parent. Et qu'il fallait vraiment qu'elle se « bat » même si c'était compliqué. Il baissa le regard avant de répondre : « Si tu m'aimes vraiment. Bats-toi pour me récupérer.. Il n'y a que comme ça que je te reviendrai.. » Il releva son regard avant de souffler doucement, en murmurant  : « ..j'ai besoin de ma maman, donc bats-toi.. » Il lui demanda ensuite par rapport à son paternel. Le petit se disait sûrement qu'elle allait les abandonner, pour récupérer le temps avec son « paternel ». Il voulait avoir le même temps qu'il avait auparavant. Certes, elle était beaucoup occupée, cependant quand elle était « disponible ». Il avait rien que pour eux. Et c'était ça le réel bonheur. Il voulait que ce temps revient rapidement. Il ne supportait pas de devoir être éloigner de quelqu'un. « Ton père ne vous remplacera jamais. Et rien ne pourra changer ses dix années d’absence auprès de nous. Cela ne me dérange pas que vous apprenez à le connaître, mais en ce qui me concerne, il doit arrêter de mentir et me dire pourquoi il m’a abandonné. » Il eut un sourire au bord des lèvres. Il savait que s'il formait une famille ensemble, leur maman serait comme d'habitude. Il voulait le connaître, et bien plus que ça reprendre sa place de parent. Il ne savait pas les secrets bien entendu. Ça ne l'empêchera pas à aimer son paternel. Il avait tant voulu le connaître, et savoir s'il avait des « points communs » ensemble. Il fut ravis de voir que oui, et qu'il tenait beaucoup de son paternel, pour vouloir devenir « aventurier ». Il ne voulait pas perdre ce lien. C'était tout ce qu'il le tenait debout pour le moment.

Il haussa les sourcils quand elle racontait de lui « mentir ». Il ne comprenait pas. Il ira sûrement parler à son parent. Il baissa les yeux quand il attendait le mots abandonné. Il se demandait si il allait les abandonner de nouveau. Il ne put s'empêcher de le demander malgré tout : « Mentir sur quoi ? » Il commença par le début, avant de revenir au sujet de « l'abandon » : « Tu crois que papa va nous abandonner encore ? » Ca l'inquiétait vraiment, et ça pouvait se voir sur son visage. Il ne voulait plus qu'il part, sa maman allait souffrir, tout comme les deux  « enfants ». Il pensa alors à ce qu'elle avait dit auparavant pour rajouter un : « Il ne savait pas la chance qu'il a sûrement.. » Il sourit, avant d'entendre la porte s'ouvrir et de rejoindre son amie. La mère voulait empêcher de partir, cependant il comptait vraiment rejoindre son paternel. Il lui avait dit que c'était seulement pour un temps et qu'il reviendrait. Il avait même fait un effort de dire ce qu'il avait sur le « cœur » malgré la douleur. Il avait ensuite inviter pour le spectacle, même si sa sœur avait déjà la prévenir. Il put s'empêcher de sourire, avant d'entendre : « Je viendrais. » Il sut lire sur le visage qu'elle ne comptait pas venir peut-être. Il se força pour être gentil, et montrer qu'il voulait vraiment qu'elle vient. Il lâcha la main de sa amie, lui demandant de rejoindre la chambre de son parent, qu'il la rejoint rapidement. Il revint auprès de sa mère un moment, en la regardant des yeux, essuyant ses larmes, avant de rajouter : « Je compte vraiment sur toi, maman.. » Il embrassa sur la joue doucement, avant de courir pour rejoindre sa camarade. Il la regarda une dernière fois, en déposant un dessin qu'il mit au sol de la chambre ou il avait dessiné sa maman et lui, main dans la main comme la « première fois » avec un sourire au bord des lèvres...