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 Seuls les imbéciles ne changent jamais (d'avis).

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MessageSujet: Seuls les imbéciles ne changent jamais (d'avis).   Seuls les imbéciles ne changent jamais (d'avis). EmptyVen 5 Avr - 21:14

And those who follow the path of the righteous shall have their reward. And if they fall as Lucifer fell, the flame, the sword !
votre gaité est triste comme la nuit...
La roue tourne. Les choses changent. Le monde change. En fait, rien n’est jamais fixé, rien n’est jamais éternel. Sauf peut-être la mort. Mais qui sait ? Ils sont bien revenus, ceux qui n’étaient pas morts ici… Alors finalement, tout change. Tout est illusoire, illusion. Tout est masque, tout est mensonge. Même toi tu es un mensonge. Tu le sais bien. Et voilà à quoi mentir t’a conduit. Bravo Nathanaël. Tu es fier de toi ? Tu es fier de ce masque de mensonge que tu as porté ? A moins que ce ne soit l’inverse ? Et si c’était toi le masque, pour ce mensonge ? Satan, Lucifer, Belzebuth ? Monstre. Tu es un monstre. Tu es le diable… Tu es sa marionnette, son masque. Qu’est-ce que tu dis ? Tu es bête. Tu te crois si important que ça ? Tu n’es rien. Même le diable s’il existe se rit de toi ! C’est inutile. Tout est vide, tout est creux, tout est silencieux. Tu es seul. Plus personne ne croit en toi. Plus personne n’a confiance en toi. Plus jamais. Voilà. Ton éternité va être longue. Tu vas la passer comme ça ? Est-ce que tu penses pouvoir tenir ? Il y aura leurs regards pour te juger, ils ne parleront pas, ou peu, ils ne croiront jamais, ils ne t’aideront jamais. Tu as eu des amis ? Oublie-les. Et Elsa… La petite Elsa… Ta fille chérie… Même sa candeur enfantine disparaîtra avec le temps. Elle verra sous le masque que tu portes. Une vapeur infecte et nauséabonde, une fumée qui se dissipera bien vite. Tu es du vent. On ne t’aimera jamais. Elle ne t’aimera jamais. Personne ne peut te connaître et t’aimer à la fois. Tu es du vent. Tu es un air putride qui s’évapore et que l’on oublie. Tu ne seras jamais rien d’autre.


Non ! C’est faux ! Je peux changer ! Je peux changer ! Je peux ! J’ai besoin d’une chance, d’une seconde chance…


Qui te la donnera ?





QUI TE LA DONNERA ?!


...


Je vais te le dire : personne.


Personne…

***

Quand il y pensait, personne, cela faisait tout de même très peu. Pourtant c’était vrai. Il était seul. Seul face à l’adversité. Seul avec ce qu’il ne voulait plus être. Et il se débattait, tout seul. Et personne ne pouvait en témoigner, personne ne pouvait l’encourager, personne ne pouvait lui tendre la main. Où était-il ? Caché, enfermé dans les entrailles du Titanic, se monstre qui les avaient tous avalés pour toujours. Recroquevillé sur lui-même, se parlant des heures entières, fou, folie, bêtise, bête, animal. Depuis combien de temps était-il là ? Longtemps. Trop longtemps. Des rumeurs lui revenaient aux oreilles. Il savait des choses. Mais il essayait d’être oublié. Ses rares sorties se faisaient la nuit, à pas de loup, quand Morphée serrait déjà tout le monde dans ses bras. Il regardait l’océan sans fin devant lui. C’était sa vie, c’était sa mort, c’était son enfer personnel.

Nathanaël essayait par moment de se convaincre que cela était inutile de continuer à se morfondre. Sa conscience ne s’éteindrait pas s’il restait dans le noir. Au contraire, elle faisait par moment briller une étincelle de folie dans ses yeux, et quand il croisait son image dans ces moments-là, il prenait peur. Qu’était-il devenu ? La vie continuait sans lui. Pas la sienne, mais celle des autres. Il n’était pas le héros de l’histoire, pas même le méchant. Juste un personnage secondaire que l’on pouvait mettre au placard et ressortir quasi inchangé peu de temps après. C’était pourtant injuste ! Il était humain lui aussi. Il avait le droit à sa part du gâteau. Pourquoi ne pouvait-il plus être le héros de son histoire, le héros de sa fille et de sa femme ? Avait-il vraiment besoin de plus ? Avant peut-être… Avant cette étincelle.

Morphée est capricieuse. Elle prend et repousse les êtres. L’instant précédent, Nathanaël était seul face aux étoiles, se racontant à lui-même des bêtises sans-nom. Mais il entendit distinctement les bruits des pas de la personne que se rapprochait. Et sa tentative de s’enfouir dans le mur et de fermer les yeux, pour ne pas voir et ne pas être vu était vaine. Les pas s’arrêtèrent juste devant lui.

Quand il ouvrit les yeux, l’étincelle l’embrasa.



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MessageSujet: Re: Seuls les imbéciles ne changent jamais (d'avis).   Seuls les imbéciles ne changent jamais (d'avis). EmptySam 6 Avr - 21:39


Seuls les imbéciles ne changent jamais


Tu ne savais pas pourquoi tes pas t'avaient entraînés jusque là, sur ce pont de promenade, en pleine nuit. Pourquoi tu n'avais pas pu rester dans les bras de Morphée, dans un sommeil enfantin. Pourquoi tu avais réussi à sortir seulement vêtu de ta chemise de nuit et d'un fin gilet qui faisait plus penser à une cape, alors qu'une froide brise balayait l'extérieur, refroidissant ainsi les cœurs les plus démunis. Oui...tu te posais de nombreuses questions et ceux, depuis ta plus tendre enfance. Nous pouvons dire que c'était là, ta malédiction : ne pas pouvoir ne serait-ce que l'espace d'un instant avoir la tête reposée, froide, vidé de toutes ces interrogations. Mais cette malédiction, n'avait rien à voir comparé avec certaines de ses sœurs. Tu n'avais de loin pas eu la pire, ce dont tu te rendais souvent compte et dont tu allais bientôt en avoir un aperçu. Tu t'approchas de la rambarde, regardant en contre bas l'eau claquant contre le paquebot, et tu ne pus t'empêcher de penser à cette nuit atroce où tu avais perdu la vie. Cette nuit où ton destin, ainsi que celui de bons nombres de passager avait basculé. Cette nuit qui avait permis au Titanic de t'emprisonner à tout jamais en son sein, ne te donnant aucun moyen de le quitter, aucun moyen d'échapper aux souffrances infâmes qu'il infligeait aux passagers, même si ces souffrances étaient voilées. Tu poussas un long soupir en passant ta main dans tes cheveux qui, avec la brise qui soufflait doucement sur le pont, ne cessaient d'aller dans tous les sens, indiscipliné. Enfin, tu t'éloignas du bord, ne parvenant pas à regarder l'océan sans penser inévitablement au naufrage, tout du moins, en pleine nuit, car c'était lorsque la lune était haute dans le ciel en compagnie de ses suivantes les étoiles, qu'avait eu le naufrage et non durant le jour. Tu te remis alors en marche sur le pont de promenade. Sans but précis et sans la moindre idée de ce qui t'attendait un peu plus loin. Ton esprit vagabonda de plus belle, tandis que tes pas te portait sur une personne qui comme toi n'avait pas sommeil. Tu ne remarquas tout d'abord pas, l'homme qui était recroquevillé sur le sol, ni les paroles incompréhensibles qui s'échappaient de ses lèvres. Et lorsqu'en fin tes yeux parvinrent à découvrir que tu n'étais pas seul, ton cœur se sera, et ton esprit se demanda ce qui avait bien pu arriver à cet homme là, pour qu'il soit dans un tel état. Tu t'approchas lentement de lui, ne voulant guère l'effrayer, puis lorsque tu fus assez près, tu t'abaissas, posant délicatement ta main sur son épaule. « Monsieur... allez-vous bien ? Avez-vous besoin d'aide ? » Tu avais prononcé cette phrase avec une voix qui était des plus tendres, il ne valait mieux pas le brusquer. Lorsque tu découvris les traits de l'homme qui se tenait près de toi, tu fus légèrement surprise. Lui qui avant le naufrage paraissait si sur de lui, si séducteur, se trouvait maintenant dans un état des plus lamentable. Bien que cet homme...Nathanaël ne soit pas la personne la plus respectable du paquebot et qu'il n'ait guère une bonne réputation, tu restas près de lui, attendant patiemment qu'il veuille bien te parler ou au contraire te rejeter.


Dernière édition par Victoria Y. Lockwood le Lun 12 Aoû - 13:32, édité 1 fois
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MessageSujet: Re: Seuls les imbéciles ne changent jamais (d'avis).   Seuls les imbéciles ne changent jamais (d'avis). EmptyLun 29 Juil - 22:14

And those who follow the path of the righteous shall have their reward. And if they fall as Lucifer fell, the flame, the sword !
votre gaité est triste comme la nuit...
Blond. Cette couleur venait et revenait sans cesse dans la vie de Nathanaël. Cette couleur avait d’une certaine façon causée son malheur jusqu’à ce jour. C’était la bêtise et l’imbécilité de sa mère qui l’avait rendu si méprisant des êtres comme lui. Une mère qui n’avait été choisie par son père que parce qu’elle était blonde. Et puis, il y avait eu sa femme, blonde aussi. Risible, aveugle, et pleine d’espoir. Navrant. Une femme qui avait poussé son dégout des autres femmes à l’extrême, d’une certaine façon. Les seules femmes qu’il avait aimé, réellement aimé, Elsa et Calypso, étaient brunes. Pourtant… Toutes deux voyaient sa véritable nature, pas de la même façon, mais elles étaient lucides. Qu’elles l’aiment ou le haïssent, elles savaient. Face à elles, il n’avait aucune chance. Les seules femmes qui lui avaient avaient voulu croire en lui malgré tout : malgré la haine, malgré le mépris, malgré le mensonge et la tromperie à peine dissimulés, étaient blondes. Elles avaient voulu l’aimer envers et contre tout, elles l’avaient adoré, elles l’avaient pardonné. Et comme seul remerciement, il avait été un monstre… Entre blondes et brunes, les seules femmes de sa vie qui pourraient peut-être un jour accepter ce qu’il voulait devenir, et lui donner une chance – une vraie, sans hésitation et sans peur qu’il ne retourne sa veste, sans doute et sans sourcil qui se fronce – étaient blondes.

Comme il aimait les blondes tout d’un coup.

Un éclair de lumière. Quelque chose de lumineux. Un ange. Toutes les blondes étaient des anges à leur façon. Voilà ce qui marqua les yeux vert du libertin repenti quand il ouvrit ses paupières. Une lumière aveuglante au milieu de la nuit, qui le transperçait jusqu’au cœur. Une chance… Un mince sourire étira les lèvres du banquier. Mais pas un de ses sourires triomphant auxquels il avait habitué le monde. Le sourire d’un homme humble, blessé, qui a traversé une nuit sans fin, et à qui on tend enfin une main blanche. « Vous êtes mon ange gardien ? » C’était fou. Il savait bien que non. Mais quand même. Il voulait espérer. Il voulait à son compte cette blondeur, cette douceur naïve qui se posait sur un cheveu d’enfant pour ne jamais le quitter, et qui le colorait de la lumière du soleil.

Cette femme devant lui était la première femme depuis longtemps dont il ne se souciait nullement du genre. D’ailleurs, elle n’était plus une femme. Les anges sont asexués. Elle était juste là, elle demandait doucement dans la nuit s’il avait besoin d’aide. Une étoile qui brillait plus fort que les autres, une étincelle de vie dans la mort. Etait-elle vraiment là pour lui ? Il regarda derrière lui, soudain très inquiet. Mais il n’y avait que le bateau fantôme. « J’ai traversé l’enfer… » Oui, oui il avait besoin d’aide, il ne voulait plus être seul face à ce qu’il ne voulait pas chez lui, il ne voulait plus se débattre avec une ombre, un cauchemar. Pourtant, cette blonde, cet ange, il fallait le repousser. Il ne fallait pas laisser sa lucidité, pas laisser ce qu’il y avait de sale, de laid, de noir en lui couler sur elle. Pas une goutte. Après la folie, après l’espoir, après la peur, la tristesse revenait. « Je ne mérite pas d’aide. »

Il n’avait pas mérité l’amour d’une mère douce auquel il avait eu droit, il ne méritait le dévouement, la tendresse d’Aurore, il ne méritait pas la confiance, le calme, le pardon. Il avait tout gâché. « Va-t’en ! »

Il s’était soudain levé. Son visage était blanc, mais la seule haine dans sa voix était pour lui-même. Il retomba en arrière, affligé. « Pitié mon dieu… »

Dieu n’écoute pas les démons. Il n’écoute que les anges. Nathanaël était loin d’être un ange. Il n’était pas même blond…



HRP : Encore désolée pour le retard. Je suis un peu partie dans un délire, donc si tu veux que je modifie, n'hésite pas à me le dire.

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MessageSujet: Re: Seuls les imbéciles ne changent jamais (d'avis).   Seuls les imbéciles ne changent jamais (d'avis). EmptyLun 12 Aoû - 13:31


Seuls les imbéciles ne changent jamais


La lune, douce et majestueuse, éclairait la scène qui se déroulait sous ses yeux emplit d’étoiles. Une scène qui pouvait paraitre ô combien anodine. Un homme. Une femme. Qui au lieu de se trouver au fond de leur lit dans les bras de Morphée, restaient à l’extérieur, laissant leur corps être la proie du délicat souffle du vent. Oui, la scène pouvait paraître anodine, vécu d’innombrable fois, par d’innombrables personnes et pourtant, ce n’était guère le cas. Cette scène dépeignait l’espoir. L’espoir d’une vie meilleure pour une personne qui avait toujours fait les mauvais choix pour s’enfoncer de plus en plus dans l’obscurité et laisser la part d’ombre en lui prendre totalement possession de son âme. Cette scène représentait le démon blessé qui désirait retrouver ses ailes et ainsi voler de plus belles aux côtés des anges, et l’ange qui étrangement désirait l’aider. Un homme. Une femme. Un démon. Un ange. Mais plus que tout. Le pardon. La rédemption. Un avenir meilleur. Et cet avenir la délicate femme qui venait de le rejoindre désirait le lui offrir, car pour elle, toutes personnes avaient le droit à une seconde chance et même une personne aussi dépourvue de morale qu’était, ou avait été, Nathanaël, ce démon brisé, complètement blessé qui ne désirait qu’une chose, le regard du Ciel, ne serait-ce qu’une fois.

Lentement elle s'était approchée de lui, craignant de l'effrayer, de le perturber plus qu'il ne l'était, de le sentir se fermer à tout jamais. Avec la délicatesse d'une personne aimante elle avait posé sa main sur son épaule en lui demandant s'il avait besoin d'elle. Non parce qu'elle éprouvait des sentiments pour lui, mais parce qu'elle sentait en son fort intérieur que c'était là, la meilleure chose à faire face à une personne aussi brisé que lui. Les premiers mots qui sortirent des lèvres de l'homme n'étaient autres que la demande s'il s'agissait de son ange gardien. Peut-être était-ce le cas. Peut-être ses pas l'avaient portés là, car elle avait su que c'était l'endroit où elle devait se trouver pour cette nuit. Peut-être...En effet, mais rien ne pouvait véritablement le confirmer. Alors elle ne répondit rien, attendant en silence, sous la nuit étoilée qu'il réponde à sa question. Qu'il affirme qu'il avait besoin d'aide et que peut-être la jeune femme blonde pouvait l'aider. « J'ai traversé l'enfer... » Voilà les paroles qui s'échappèrent de ses lèvres et qui furent portés aux oreilles de Victoria. Elle désirait l'aider. Vraiment l'aider. Lui montrer que l'enfer était désormais terminé et qu'il lui fallait songer à une voie meilleure que celle-là. Celle qu'il avait arpentée depuis bien trop longtemps. « Oui, vous l'avez traversé, mais c'était peut-être pour mieux vous entrainer vers une sorte de Paradis. » Ses propos ne pouvaient guère être totalement clairs. Après tout, que connaissait-elle de l'avenir de cet homme ? Que connaissait-elle de la volonté divine à son égard ? Rien. Absolument rien. Et pourtant, les mots coulaient en elle telle une source sans fin, emplissant le silence avec tendresse.

Durant l'espace d'un instant, elle crut qu'il allait accepter son aide. Qu'il tenterait à ses côtés de faire disparaître cette noirceur, mais son visage changea d'expression. La tristesse s'était venue s'implanter dans ses traits. Pareil à du poison il coulait sous sa peau et Victoria su qu'il fallait d'abord chasser cette tristesse pour parvenir à un chemin plus joyeux. Plus heureux. Les mots qui sortirent de ses lèvres exprimaient ce que ses yeux avaient daignés montrer à la jeune femme. Le fait qu'il ne méritait pas d'aide. Dans le même ton calme et posée, Victoria lui rétorqua ces propos. « Tout le monde mérite de l'aide. Tout le monde mérite une seconde chance. Même vous... » Sans vraiment prendre conscience de ses gestes, la jeune femme avait approché sa main de sa joue, comme pour lui montrer qu'il y avait toujours de la lumière au bout du tunnel. Ce geste n'était en rien celui d'une amante, mais celui emplit de douceur qu'une mère pouvait avoir envers son enfant. En effet, c'était étrange. Trop étrange en vérité qu'une femme agisse ainsi face à un homme qu'elle vient de rencontrer, mais Victoria savait que ce qui devait le plus manquer à ce dit homme, n'était autre qu'une marque d'affection. De tendresse.

Soudainement, il se leva, forçant Victoria à s'écarter précipitamment si elle ne désirait pas se retrouver bousculer par ce dernier et ainsi tomber. Il lui hurla de s'en aller, mais elle resta sur place, gardant ses yeux rivés dans les siens, jusqu'à ce qu'ils disparaissent de sa vue lorsqu'il tomba en arrière, complètement perdu. Même si les mots qu'il prononça à la suite de sa chute ne s'adressaient guère à elle, mais à cette entité au-dessus de tous êtres, elle se rapprocha de lui, avec sur le visage une expression aussi bien compatissante que tendre. Comme tantôt elle se remit à genoux près de l'homme, sa longue robe faisant comme une sorte de demi-cercle derrière elle. « Je n'ai pas la prétention de me prendre pour dieu ou de penser pour lui, mais sachez que vous avez ma pitié et que j’espère vraiment vous aider à avancer dans la meilleure des directions. » Au fond d'elle, Victoria craignait qu'il ne la rejette à nouveau. Non pas parce que cela la blesserait dans son amour-propre, mais parce qu'il avait vraiment besoin d'aide et que s'il en refusait une amicale, il ne sombre un peu plus dans la folie et dans la désolation. La première classe était désormais ont ne peut plus déterminer concernant l'homme. Et la détermination peut faire bien des choses...

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