Sujet: Re: Je trace les heures qui nous séparent Lun 13 Aoû - 18:53
Je trace les heures qui nous séparent Ft. Frédéric A. Luciano
La confiance était la chose la plus précieuse qu'un personne pouvais m'offrir c'est un cadeau inestimable et je sais parfaitement en reconnaitre la valeur. Jamais je n'aurais le culot de malmener quelqu'un qui m'a offert sa confiance car il faut souvent plusieurs année voir un vie entière pour obtenir la confiance d'une personne c'est toujours difficile. Moi-même je sais qu'il est très dur d'obtenir ma confiance car celle-ci à déjà été trahie en plus par la personne à qui j'avais donné mon coeur pour la première fois. Il est donc évident que désormais je me protège de ce genre de chose. Pourtant je dois dire que mon mur de protection s'effondre totalement lorsqu'il s'agit de Frédéric ce jeune homme était différent. Dès la seconde ou je l'ai vu entré dans la cabine télégraphique j'ai su qu'avec lui j'aurais une relation étrange, basée sur la confiance. C'est bizarre j'ai pensé cela avant même de lui avoir parlé, comme quoi y a des gens qui nous font un sacrée impression des le début. C'est tout de même bizarre je trouve mais c'est plus fort que moi j'ai su dès le premier regard qu'entre lui et moi se serait particulier. Car j'ai senti dès le premier instant que ce jeune homme, bien que plus riche que moi était comme moi il croyait aux même valeurs morale que moi. Je l'ai senti c'était une évidence !
Cependant, le jeune Frédéric semble lâcher quelques peu ses valeurs morales en s'approchant de mon corps faussement endormis il fait exactement ce que j'espérais qu'il fasse il s'approche, s'assoit tout doucement afin de ne pas me réveiller, cela me ferais presque sourire, mais si je souris, je serais automatiquement démasqué c'est pour cela que je ne réagis pas. Il m'effleure avec douceur, que c'est agréable mon corps frissonne, cela ne ne peu l'empêcher. Cependant comme toujours je reste stoïque et ne bouge pas un cil. mais je dois reconnaitre, que lorsqu'il m'embrasse sur le coin des lèvre je ne peux m'empêcher de tourner doucement mais rapidement là tête afin que nos lèvre se rencontrent pour la première fois et lé je cois qu'il comprend que c'était un mascarade, que je ne dormais absolument pas que c'était juste pour le tester et il l'avait réussit cette évaluation avec brio et les félicitations du jury. Il était tout bonnement parfait. Lorsqu'il se rend compte que nos lèvres sont scellées il panique et s'éloigne les joues écarlates.
Nous nous regardons pendant un instant les yeux dans les yeux les mots sont inutiles de plus il prend l'initiative de m'embrasser à nouveau de façon tendre et délicates. Je ferme doucement les yeux alors que sa main cherche la mienne descendant e long de mon torse pour l'attendre au niveau de mon ventre. Il entremêle nos doigt avec aisance. Je prolonge le baiser avec une certaine passion sans pour autant approfondir l'étreinte. Chaque chose en son temps. « Excuse moi... Mais... j'en avais envie depuis tellement longtemps, je n'ai pas pu résister... Quand je dessinais tes lèvres, je n'avais qu'une obsession, c'était de connaître à quel point elles avaient l'air douce... » De légères rougeurs apparaissent sur mes joues. J'ai un petit sourire gêné alors que nos main étaient toujours accrochées l'une à l'autre. Je ne sais que dire sur le moment je suis flatté vraiment très flatté un instant passe en silence. « J'espère qu'elles étaient à la hauteur de tes attentes cela m'ennuierait de te décevoir » Dis-je finalement en souriant doucement tout en restant allongé et lui assit au dessus de moi. « Cela peut paraitre très enfantin comme je me suis joué de toi mais je... enfin je ne savais vraiment pas comment savoir si je t'intéressais sans te le demander de vive voix et le faire ainsi ce n'ai pas trop ma tasse de thé je suis plutôt timide » Avouais-je en baissant le regard me sentant assez mal à l'aise de ce que j'ai fait c'était terriblement immature même si cela avait fonctionné cela restait très enfantin comme réaction.
Sujet: Re: Je trace les heures qui nous séparent Lun 13 Aoû - 22:50
Liam&Frédéric– Les heures qui nous séparent
Pour moi, l'embrasser pendant son sommeil ne veut pas dire que je trahis mes valeurs morales, non pas vraiment. Déjà c'était pas vraiment un baiser, puisque je ne l'ai pas volontairement embrassé sur les lèvres la première fois. Ces baisers inoffensifs au coin des lèvres et sur le front étaient juste de la tendresse pure et simple. J'ai trop d'amour à donner, il faut que je le donne à ceux que j'apprécie et qui semblent en avoir grandement besoin. J'étais certes quelqu'un de tactile et tendre, mais je savais quand même me maîtriser, dans la mesure du possible. Il y a des fois où on a beau essayer de se contrôler, notre envie prend quand même le dessus et l'on n'y peut rien. On a beau résister, bâtir des murs, l'envie, les sentiments et même l'amour fendent les armures et balayent tout sur leur passage. Néanmoins, je ne peux me cacher que ce petit test imposé par Liam me plaît bien. Il était difficile certes car je me faisais quand même fureur pour ne pas céder et rester sage, mais l'instinct est parfois plus fort que nous. Et quand il prend le dessus, il n'y a plus rien d'autre à faire que de se laisser aller et suivre cet instinct, quoiqu'il nous dise de faire. Aller à son encontre cela serait comme dire à un homme d'arrêter de fuir une meute de loup enragés et affamés.
Ses baisers sont tellement doux … Je fonds littéralement d'affection pour lui, j'ai envie de lui donner tout l'amour que j'ai, toute ma tendresse, tout ce que j'ai pour le rendre heureux. Je veux..l'aimer ? C'est tellement étrange de se dire ça, moi qui n'ait jamais aimé personne d'un véritable amour, moi qui ne connais rien de ces sentiments que l'on dit plus forts que la mort. Et ça me fait un peu peur quelque part, parce que je ne veux pas confondre ces sentiments avec autre chose et faire du mal à Liam. Alors comment est-ce que je peux savoir si c'est de l'amour ou juste une très forte amitié, une affection quasi fraternelle pour lui ? Je ne veux pas me tromper, lui donner peut-être de faux espoirs. Je veux être juste et honnête avec lui. Alors quand ces baisers sages me font me sentir si bien en moi, je me pose quand même quelques questions. Quand je le vois rougir à mes mots, je ne peux que sourire et passer ma main libre sur son visage. « J'espère qu'elles étaient à la hauteur de tes attentes cela m'ennuierait de te décevoir. Cela peut paraitre très enfantin comme je me suis joué de toi mais je... enfin je ne savais vraiment pas comment savoir si je t'intéressais sans te le demander de vive voix et le faire ainsi ce n'ai pas trop ma tasse de thé je suis plutôt timide » Je souris d'une façon très tendre en approchant un peu plus mon visage du sien, osant m'installer un peu plus sur le lit, en restant au dessus de lui. Mon nez frôle le sien et je trouve ce geste plutôt mignon, mais il baisse la tête, très gêné, les joues rouges. J'ai un petit rire et lui relève le visage face au mien en lui souriant et parlant doucement, comme si c'était un secret. « Tes lèvres ne m'ont pas déçues. J'ai même été très surpris car je les ai trouvées plus douces et chaudes que ce que je pensais. Et j'ai aimé t'embrasser Liam. J'ai aussi trouvé ce petit test très mignon. Et tu n'as pas à avoir honte, car chacun d'entre nous a sa propre manière d'aborder les choses... C'est très enfantin comme tour, certes, mais si c'est ta façon de faire alors n'en est pas honte... » Je souris et ma main caresse l'ovale de son visage avant d'aller caresser ses doux cheveux et prendre son autre main, emmêlant là aussi nos doigts. Les miens câlinent alors avec douceur les siens, dans des mouvements lents de aériens. « Et puis tu sais, je crois que comparé à moi, tu n'as rien à envier à ma façon de faire... Car je suis un peu plus direct, dirais je. Et parfois cela ne plaît pas vraiment. Mais j'aime être honnête et ne rien cacher. Voilà un peu ce que cela donne pour moi. » Soufflais je tout doucement avant de l'embrasser sur le nez, puis fermant les yeux pour l'embrasser encore une fois. Je ne peux décidément plus me passer de sa bouche, j'ai l'impression de retrouver mon souffle quand je l'embrasse. Pourquoi est-ce si bon ? Pourquoi est-ce meilleur qu'avec tant d'autres filles que j'ai pu embrasser et serrer dans mes bras ? Pourquoi il y a ce petit plus qui fait chauffer mon ventre et battre mon cœur de la plus agréable des façons ? Je n'en sais rien, je me le demande, mais je profite aussi de tout ce que cela m'apporte. Ma main sur son ventre, dont mes doigts sont emmêlés aux siens, se détache doucement de la sienne et lentement je la glisse dans son cou, puis dans sa nuque que je caresse toujours avec cette même douceur. Je cherche à lentement rendre le baiser plus profond, plus intense. J'ose glisser timidement le bout de ma langue contre ses lèvres chaudes, testant la réaction de mon beau modèle.
B-NET
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Sujet: Re: Je trace les heures qui nous séparent Mar 14 Aoû - 0:54
Je trace les heures qui nous séparent Ft. Frédéric A. Luciano
Ah la tentation fléau ultime Adam a succombé à la pomme d'Eve et il paraît que c'est de la que nous viens tous les malheurs, personnellement je n'y crois pas cependant la tentation reste un fléau elle prends plusieurs forme d'ailleurs l'envie... la jalousie ce sont des formes de tentations. Mais la tentation à laquelle personne ne résiste c'est le désir de l'autre et j'en sais quelque chose car je ne peux résister aux avance de Frédéric bien que la bible m'interdise cela je serais condamné au purgatoire selon l'évangile mais sincèrement dieu... qu'il aille se faire voir parce que putain l'amour je sais ce que c'est et là je tombe droit dans la marmite remplie de passion, de tendresse, de fougue, d'embrassade et de caresses Eh oui l'amour c'est ça je suis en train de tomber amoureux d'un homme et vus savez quoi ça me conviens bien parce que Frédéric il à tout ce que je recherche.
Cela dit je m'emballe peut être un pu car il est tout a fait possible que je mélange mes sentiment maintenant que j'ai retrouvé Alexander et que je fuis mon ex j'avoue que j'ai parfois de la peine à dicerner avec exactitude les sentiments que je ressens ce qui est certain c'est que les sentiments que j'éprouve pour le jeune franco-italien sont terriblement forts. Ses baisers, désormais je ne pourrais plus jamais m'en passé comme s'ils devenait un drogue, mon opium c'est ses lèvres je ne saurais plus vivre sans elle sans leur goût unique et leur douceur enivrante. Nos doigts entremêlés cette proximité soudaine c'est si nouveau mais c'est si bon en même temps mon coeur bat très vite et un douce chaleur envahis mon corps entier. Il approche doucement sa tête de la mienne et murmure alors, tel un secret quelques phrase qui firent bondir mon cœur de bonheur. « Tes lèvres ne m'ont pas déçues. J'ai même été très surpris car je les ai trouvées plus douces et chaudes que ce que je pensais. Et j'ai aimé t'embrasser Liam. J'ai aussi trouvé ce petit test très mignon. Et tu n'as pas à avoir honte, car chacun d'entre nous a sa propre manière d'aborder les choses... C'est très enfantin comme tour, certes, mais si c'est ta façon de faire alors n'en est pas honte... » Mon sourire s’agrandis en étendant ses parole si sincères. Je le regarde avec tendresse alors qu’il caresse mon visage j’aime tant cette douce sensation de chaleur lorsqu’il me touche c’est si agréable. Je ferme d’ailleurs les yeux pou mieux profiter de cet instant que je sais éphémère. Puis doucement, lâchât mon visage le jeune homme prends à nouveau mes main pour entremêler nos doigts avec douceur il caresse alors mes articulations cela peut sembler ridicule mais ses petits mouvement sont des plu apaisant. Là encore je savais que ses caresse ne durerait pas c’est pourquoi j’essayais de dégusté chaque millième de secondes de cet instant qui se trouve être magique pour moi.
. « Et puis tu sais, je crois que comparé à moi, tu n'as rien à envier à ma façon de faire... Car je suis un peu plus direct, dirais je. Et parfois cela ne plaît pas vraiment. Mais j'aime être honnête et ne rien cacher. Voilà un peu ce que cela donne pour moi. » Je suis impatient de découvrir la méthode que le beau jeune homme aurait utilisé pour me séduire et je l’avoue c’est beaucoup plus directe que ce que je n’ai fait. Il embrasse mon nez, je frissonne doucement et ai un très léger sursaut en sentant ses lèvre se coller sur le mienne j’émet un faible gémissement montrant mon contentement. Le baiser était plus appuyé et plus profond que les précédent c’est agréable j’adore cela. Doucement il lâche mes mains pour les glisser dans mon cou. J’enroule alors tendrement mes bras autours du sien pour le rapprocher de moi. Et je le sens alors timidement tenter de franchir la barrière de mes lèvres avec sa langue encore toute craintive. Je souris alors contre sa bouche et entre ouvre doucement le portail permettant é son muscle buccal de pénétrer avec rapidité dans ma bouche c’est si passionné comme échange. Je descends mes main dans le bas de son dos pour tiré sa chemise de son pantalon afin de caresser sa chut de rein. J’avoue que ses bretelle s sont un peu gênant mais peu importe tant que je peux toucher sa peau ça va.
Le baiser dur, dur c’est si bon je suis totalement enivrer et tous mes sens sont en éveille. Lorsque finalement ses lèvres s’arrachent aux miennes je souris « J’adore ta manière aussi… directe et tout aussi efficace » dis-je avec un petit sourire, retirant mes main de sa chut de rein pour les faire revenir devant afin de détacher deux trois boutons pour qu’il soit plus à l’aise .
Sujet: Re: Je trace les heures qui nous séparent Mer 15 Aoû - 3:25
Liam&Frédéric– Les heures qui nous séparent
Je pourrais parler des heures durant de toutes les sensations que je ressens en embrassant Liam comme je le fais à cet instant même. Les baisers restes sages, chastes, prudents, mais ils sont intenses. Si nous restons si sages et prudents dans ces premiers baisers, c'est certainement parce que, ni lui ni moi, nous ne savons où cela pourrait nous mener, et je ne veux pas faire de faux pas avec lui, je veux que tout se passe au mieux pour avoir une chance de conquérir plus que ses lèvres. Je veux son corps, son cœur, son âme, je veux tout de lui, absolument tout. Aucune exception ne sera faite, car je suis quelqu'un de très capricieux par moment, alors quand je veux quelque chose je finis par l'avoir. Bon je ne vais pas non plus me mettre à faire comme les enfants, c'est à dire pleurer en tapant des pieds sur le sol et en criant que je veux à tout prix que Liam devienne mon amant. Premièrement cela serait complètement ridicule venant de ma part. Et deuxièmement … Je ne veux pas que Liam soit mon amant, j'aimerais, au fond de moi, qu'il devienne bien plus que cela. Si seulement je pouvais passer l'éternité dans ses bras, le serrant contre moi... Mais seul l'avenir nous le dira.
Cet instant est unique pour moi, j'ai l'impression de vivre un rêve, mon plus beau rêve, c'est à dire embrasser, câliner et peut-être plus, mon cher télégraphe qui a su m'envoûter dès le premier regard, quand nos yeux se sont croisés pour la toute première fois quand je suis entré dans cette foutue cabine de transmission... Si je n'y avais jamais mis les pieds, aurais je rencontré cet être beau à damner ? Nos chemins se seraient-ils, par la suite, croisés d'une autre façon toute aussi envoûtante ? Je n'ai hélas pas de réponse à mes questions. Mais à quoi bon me les poser ? Puisque je le tiens là, dans mes bras, tout contre moi, tous deux allongés sur le lit de ma chambre de seconde classe. Le Titanic peut bien être en ce moment le pire cauchemar de tous les autres passagers et membres d'équipage, pour moi il est, à cet instant précis, le plus beau et doux des paradis. Et je ne peux retenir un soupire de plaisir, confirmant ce que je pense lorsque, durant un nouveau baiser plus appuyé de ma part, j'entends Liam gémir légèrement contre mes lèvres. Et bon dieu c'est un gémissement de plaisir. Je frissonne dans mon corps tout entier à ce son si délicieux à entendre. Et je ne suis pas au bout de mes surprises...
M'enhardissant, je glisse lentement ma langue, de façon timide aussi, contre ses lèvres qui me sont encore closes. Je veux prolonger notre étreinte buccale, mais quel sera son avis ? Ses bras autour de mon cou me font me sentir plus à l'aise. Et je sens que lui aussi est plus détendu. A ma grande surprise, oui, il me laisse approfondir le baiser. C'est à mon tour de gémir doucement de plaisir quand je sens l'air chaud de sa bouche butter contre mes lèvres. Je gagne un peu plus d'assurance encore, le baiser devient passionné et langoureux, c'est encore plus délicieux. Jamais je n'aurais pensé qu'une telle chose arriverait un jour et maintenant, j'ai du mal à y croire. Aussi j'en profite à chaque seconde qui passe. L'atmosphère de la chambre devient plus chaud, plus sensuel, plus intime encore lorsque je sens ses mains descendre le long de mon dos. Et je les sens passer sous ma chemise et caresser le creux de mon dos. Ce n'est pas mon point le plus sensible, mais c'est l'un de ceux que je préfère qu'on me caresse, j'y suis un peu plus sensible. Ce qui explique mes longs soupirs de bien-être et le fait que je presse un peu plus mon corps contre le sien, finissant de m'allonger presque complètement sur lui. J'ai ce besoin vital de le sentir sous moi... Ses mains font des caresses douces sur ma peau, j'aime ça... Puis ses mains quittent le creux de mon dos, m'arrachant un dernier faible gémissement, un peu déçu. « J’adore ta manière aussi… directe et tout aussi efficace »
Je ris doucement à son aveu en le regardant défaire les premiers boutons de ma chemise. Mon cœur s'emballe alors un peu plus et l'ambiance devient décidément plus intime et chaude, ce qui est loin de me déplaire. Je lève alors mon regard vers Liam et l'embrasse sur le bout du nez, j'adore faire ça car quand je le fais, il ferme les yeux d'une façon que je trouve absolument adorable. Puis je me redresse pour pouvoir retirer mes chaussures, car sur un lit ce n'est ni très pratique, ni confortable, et c'est vraiment pas propre. Je suis peut-être désordonné, mais mon petit bazar reste toujours propre, j'aime quand c'est propre, même si ce n'est pas forcément rangé. Puis, une fois débarrassé de ceci, je détache mes bretelles attachées à mon pantalon, celui ci étant légèrement trop grand pour moi. Mon père avait beau dire que l'homme qui me l'avait fabriqué était le meilleur tailleur de la ville, il avait tout de même trouvé le moyen de me faire un pantalon trop grand et je n'avais hélas pas eu le temps d'aller faire de nouveau prendre mes mesures pour en refaire faire un autre. Quand je me rallonge sur Liam, son regard se voile légèrement d'inquiétude. Je souris et l'embrasse une nouvelle fois ( j'avais bien dit que je ne pouvais plus m'en passer ! ) avant de lui murmurer avec toujours mon sourire le plus rassurant possible.
« Ne te fais pas de soucis, j'enlève juste mes bretelles pour le moment, je pense les avoir trop resserrées ce matin.. Donc pour l'instant je me débarrasse juste de ça. » Je finis ma phrase sur un petit clin d'oeil. Je voudrais tant qu'il se sente à l'aise et détendu avec moi... Je ne veux que son bien. Et puis après tout, peut-être que plus tard il voudra me retirer ma chemise ? Puis mon pantalon ? Oh dieu et pourquoi pas mon... Non, je dois m'arrêter là, je ne dois pas me faire trop d'illusions tout de même, sinon je tomberais de haut et je risquerais d'avoir du mal à m'en remettre totalement. Ayant pris un peu plus d'assurance, je décide de tenter quelque chose d'autre avec lui. Ma main retourne s'emmêler à la sienne, l'autre caresse son flanc dans de lentes et douces caresses. Puis, de ma bouche, je viens déposer quelques baisers légers et aériens dans son cou, effleurant sa peau chaude du bout des lèvres. Je veux tester jusque où il semble prêt à aller avec moi maintenant. Je saurais me retenir et faire preuve de patience s'il le faut.
B-NET
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Sujet: Re: Je trace les heures qui nous séparent Mer 15 Aoû - 20:47
Je trace les heures qui nous séparent Ft. Frédéric A. Luciano
Sa langue était si timide au début il avait peur le pauvre je le ressentait il angoissais comme un fou mais pourtant il n'as pas à me craindre je rêve de ce baiser. Je suis sien pour le moment il pouvais me faire ce qu'il voulait je suis tant une espèce de transe obsessionnelle et quoi qu'il fasse je serais en quelque sorte comblé tant qu'il veille sur moi et uniquement sur moi. Ah, oui j'avais omis de vous dire que j'étais très posséssif s'en était presque une malade chez moi. Bon je ne le connait pas vraiment mais si ça va plus loin il ne va pas falloir qu'il s'intéresse même avec les yeux à d'autres individus, féminins ou masculins car je pense que sinon je le passerais pas dessus bord sans ménagement. De toute façon il revivra se sera juste une sorte de punition pour m'avoir blessé dans mon orgueil, car je suis terriblement orgueilleux également. J'avoue que j'ai un énorme égo malheureusement et mon orgueil est à la taille de mon égo ! Mais son baiser, était des plus parfait mon ex n'a qu'a aller se rhabiller car maintenant que j'ai goûté à la perfection plus jamais je ne me contenterais d'un baiser de moindre qualité !
Le lien qui nous unissais désormais était des plus forts et des plus précieux Lorsqu'il se détache de moi je retire lentement mes main d'ou elles étaient nichées c'est à dire dans sa chut de rein et ne peux m'empêcher de remonter mes caresses sur son torse afin de déboutonner les trois premier bouton de sa chemise de coton histoire de le mettre lui aussi plus à son aise. Il viens alors me faire un bisou sur le nez et je fais un petit moue d'enfant en fermant fort les yeux et en retroussant mon nez. Cependant il décide d'enlever ses chaussure es balançant au fond de sa cabine toujours en désordre et de retirer ses bretelles et je ne me rends pas vraiment compte de la têt que je fais à cet instant mais il semblerais que j'ai eus l'air un peu paniqué vu le sourire qu'il me fait, comme pour me rassurer, revenant sur moi et s'allongeant carrément sur moi. J'adorais l'avoir sur moi c'était la meilleure des couvertures. « Ne te fais pas de soucis, j'enlève juste mes bretelles pour le moment, je pense les avoir trop resserrées ce matin.. Donc pour l'instant je me débarrasse juste de ça. » Un sourire détendu nait alors sur mon visage et j'embrasse doucement son front « Je ne m'inquiète pas et puis au moins comme ça je peux retourner câliner ton dos » Répondis-je avec un sourire alors que mes mains retournaient doucement cajoler ta chute de rein.
Il va alors niche sa tête dans ma nuque commençant a me faire des baisers aériens dans le cou je ferme les yeux, soufflant un peu pus fort et plus vite. Dieu que c'est bon mes caresse s'accentue dans son dos mes mains remontent sous sa chemise puis redescendent effleurant son sous-vêtement, son pantalon semble un peu trop large on dirait ça me facilite pas tache cela dit. ça me permet d'aller découvre son corps plus facilement. « J'aime être avec toi » Chuchottais-je contre son oreille avant d'embrasser sa tempe avec tendresse. Il me rend totalement fou !
Sujet: Re: Je trace les heures qui nous séparent Ven 17 Aoû - 1:37
Liam&Frédéric– Les heures qui nous séparent
Sa petite moue d'enfant, quand je lui embrasse le nez, est terriblement craquante, je ne résiste pas. J'aimerais pouvoir lui faire ce genre de bisous toute ma vie durant, des centaines de fois par jour, juste pour voir ses yeux se fermer de cette façon et son nez qui se retrousse légèrement. Cela me fait doucement rire et battre mon cœur plus vite devant cet être tout simplement à croquer. J'aimerais tellement le faire sourire pour le reste de nos existences, être celui qui lui procure ses plus belles joies, ses plus grands fou rire, ses plus doux sourires. Je veux le rendre heureux... Bon dieu c'est ça aimer ? C'est vouloir le meilleur pour l'autre ? Sentir son cœur faire des bons immenses dans sa poitrine au moindre sourire de l'autre ? Oh mon Dieu, c'est tellement bon tout ça.. Chaud et doux. Comme sa peau sous mes doigts et sous mes lèvres. Alors, quand après avoir retiré mes bretelles et mes chaussures, je vois son regard se voiler de crainte, mon cœur se serre de façon douloureuse. Je veux tout mais pas l'effrayer. Je m'empresse de le rassurer d'un sourire et d'un baiser, en ajoutant quelques mots pour l'apaiser un peu plus. Et je ne peux m'empêcher de rire doucement quand il me répond simplement qu'il pourra caresser un peu plus facilement mon dos. Et bien sûr, quand ses mains retournent caresser ma peau sous ma chemise, je ne peux que le laisser faire. Il a des doigts de fée, c'est tout ce que j'ai à dire.
Les quelques baisers que je dépose avec douceur dans son cou semblent lui faire plus d'effet que ce que je ne pensais. Jamais je n'aurais même osé imaginer que je pourrais lui plaire ne serait-ce qu'un petit peu. Les réactions que je lui provoque par mes baisers et mes caresses sont au delà de toutes mes espérances, et je n'en suis que plus heureux. C'est donc avec plaisir que je continue de lui « infiger » ces caresses et baisers. Je sentais doucement que quelque chose était en tain de naître entre nous, de se créer. Un lien ? Oh oui. Un lien fort, du moins il serait fort, je le sentais. Mais un lien d'une forte amitié ? D'une forte tendresse ? Ou d'un amour invincible ? Je ne saurais pas trop laquelle de ces trois options je dois choisir. Peut-être que cela sera simplement une forte complicité qui nous liera simplement. Du genre quelques regards au détour des couloirs, des sourires amusés... Non, je ne pourrais pas m'en satisfaire. J'ai besoin de sentir la chaleur de son corps contre moi, j'ai besoin de le serrer dans mes bras, de sentir son parfum si envoûtant, de sentir son regard sur moi, de pouvoir embrasser ses lèvres avec tendresse, et fougue j'éspère un jour. Maintenant que je sais comment je me sens quand je suis près de lui, je ne pense pas pouvoir m'en passer. J'en ai besoin c'est comme ça et pas autrement.
Alors que je sens ses mains effleurer le haut de mon sous-vêtement, il vient me murmurer d'une voix douce à l'oreille qu'il aime être avec moi. Douce confidence suivie d'un baiser léger sur ma tempe. Je ne peux m'empêcher de sourire contre sa peau, y laissant quelques baisers plus appuyés. Je lève alors la tête et le regarde en souriant, lui volant une chaste et court baiser. « J'ai souvent rêvé de ce moment … Je me demande encore si je ne suis pas en train de faire le plus beau des rêves. Mais c'est bien trop réel et j'ai envie de croire que tu es bien là contre moi. Je donnerais n'importe quoi pour passer encore des heures entières ici avec toi... » Je l'embrasse alors avec tendresse et douceur, ma main allant caresser sa nuque et ma langue n'hésitant pas cette fois à aller à la rencontre de la sienne. J'ai pris en assurance.
Je sens que lui aussi prend un peu plus d'assurance, et de ce fait de plus en plus confiance en lui et peut-être même en moi. Car ses mains s'amusent avec le bord de mon sous-vêtement. Cela me fait doucement sourire et légèrement rire dans le baiser. Je le regarde et lui fait un petit clin d'oeil coquin. « Dis moi Liam, tes mains ne seraient-elles pas en train de se faire baladeuses par pur hasard ? » Je soulève légèrement mes fesses pour les appuyer contre ses mains et je ris doucement de voir ses joues prendre une teinte carmine. Il est adorable dans sa gêne. Mais je ne peux m'empêcher de me mordre la lèvre en pensant à un détail. Je remarque que nos bassins sont l'un au dessus de l'autre, et que si je me recouche sur lui, mon bassin sera totalement contre le sien, dans un alignement quasi parfait. Et si cela arrive, je risque d'avoir un petit problème d'excitation. Et si j'ai ce problème, Liam ne va-t-il pas s'enfuir en courant ? Oh dieu, je le comprendrais si il me fuyait en me sentant particulièrement réveillé à cet endroit... Actuellement, je ne suis pas encore excité, du moins j'arrive à me maîtriser. Mais comme je ne pourrais pas rester indéfiniement les fesses légèrement relevées comme ça, faudra bien que mon bassin entre en contact avec le sien et là je ne donne pas cher de ma peau...
B-NET
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Sujet: Re: Je trace les heures qui nous séparent Sam 18 Aoû - 17:14
Je trace les heures qui nous séparent Ft. Frédéric A. Luciano
Ses baisers sont si tendres, si légers si... aériens je ne saurais réellement les décrire tant ils sont agréables. je souhaite qu'il m'en fasse durant toute mon éternité je me sens tellement à l'aise contre lui la chaleur se son coeur se mélange à la mienne c'est si... sensuelle cela pourrais presque m'exciter. Pour être honnête j'avoue que s'il continue à embrasser ainsi mon cou et ma clavicule ne ne tarderais pas à grimper au rideau car il réchauffe mon corps et je me sens tout chose il est si.... Mon dieu ce n'ai pas explicable je ne parviens pas à décrire avec précision ce que je ressens c'est tellement unique. Alors certes il me chauffe et mon bas ventre et doucement en train de s'enflammer mais c'était encore... plus agréable qu'avec une femme car je ressent un truc au fond du coeur qui le fait battre plus vite quelque chose que je n'ai encore jamais ressenti. Enfin ne jamais l'avoir ressenti serait mentir car cette petit flamme je l'ai déjà ressenti mais là j'ai l'impression que c'est carrément un feu de joie. « J'ai souvent rêvé de ce moment … Je me demande encore si je ne suis pas en train de faire le plus beau des rêves. Mais c'est bien trop réel et j'ai envie de croire que tu es bien là contre moi. Je donnerais n'importe quoi pour passer encore des heures entières ici avec toi... » Je souris alors bêtement et caresse sa joue tendrement comme pour le rassurer, nous nous rassurions mutuellement c'était des plus charmant. « Je n'ai pas l'intention de quitter cette chambre tu risque de devoir me mettre dehors lorsque tu en auras marre » Répondis-je avec douceur, effleurant ses lèvres des miennes.
Je continue de doucement caresser sa chut de rein du bout de mes doigts sa peau était si douce j'en était fou. Mes main finissent pas lentement s'aventurer au niveau de son sou vêtement, passant ainsi sous son pantalon qui était trop large. Quel imbécile de tailleur à oser lui proposer cela pour un seconde classe en plus non mais il y a vraiment des incapable sur cette terre. Comme ceux qu'on on fabriqué ce paquebot d'ailleurs, de véritables imbéciles incapable d'utilisé des rivets et des écrous de bonne qualité et nous voilà, errant pour l'éternité sur un paquebot fantôme que personne ne voit. Il m'arrive souvent de me demander que qu'aurait été ma vie sir le Titanic était arrivé à New York comme prévu. Je n'aurais sans doute jamais pus parler à Frédéric et mon frère ne m'aurait peut être a retrouvé donc en fin de compte le fait que nous soyons coincé ici ne m'as pas encore réellement porté préjudice alors pourquoi est-ce que je me plein ?!
Le geste de Frédéric me sort immédiatement de mes pensées en effet il venait de se cambrer de telle manière à ce que mes main se retrouve coincée entre son postérieur et le tissu de son pantalon. Et je me rend compte alors à quel point je suis descendu bas ! Le rouge me monte alors aux joues, je ne sais plus du tout ou me mettre! « Dis moi Liam, tes mains ne seraient-elles pas en train de se faire baladeuses par pur hasard ? » Je le regarde alors qu'il me fait un clin d'oeil plutôt coquin, je frissonne légèrement sentant quelque chose se réveiller en moi, très légèrement évidemment mais je le sentais. C'était ce clin d'oeil il m'a fait perdre la tête ! « Je dirais plutôt exploratrices et non baladeuses car tu sais en Ecosse, quand était enfant j'adorais explorer les collines désertes je crois que ça m'est rester. Et je dois dire que le point de u depuis les "jumelles" est incroyable » Les "jumelles" étant bien entendu ses fesses qu'il gardais sur élevée et je crois comprendre pourquoi. J'avoue que cela me va pour l'instant car lorsqu'il redescendra je crains de ne plus savoir ou me mettre.
Mais évidemment cela ne dure pas et lorsqu'il abaisse à nouveau son bassin j'ai vraiment peur sauf que je me rends petit à petit peu compte qu'il est aussi gêner que moi.
Sujet: Re: Je trace les heures qui nous séparent Lun 20 Aoû - 22:43
Liam&Frédéric– Les heures qui nous séparent
Le virer de ma chambre quand j'en aurais marre ? Est-ce qu'une telle chose pourrait arriver ? Oh non, loin de moi l'idée de lui demander de quitter les lieux ! Si je pouvais, je pense bien que je le retiendrais prisonnier ici pour l'éternité qu'il nous reste à vivre. Je ne veux pas être seul sans lui, je veux le garder près de moi toujours. « Je n'ai pas l'intention de quitter cette chambre tu risque de devoir me mettre dehors lorsque tu en auras marre » Je frissonne sous la caresse de sa main sur ma joue, et je tourne la tête pour embrasser la paume de sa main. « Si c'est moi qui dois te mettre dehors, alors tu risques de ne jamais sortir de cette chambre... Et de rester rien qu'avec moi. » Et là je me demande... A-t-il de la famille ? Des gens qui l'auraient accompagné sur ce maudit rafiot ? Et si...je n'étais pas le seul dans sa vie ? Et si il avait quelqu'un d'autre qui l'attendait ? Une femme peut-être, après tout de nos jours les hommes n'ont le droit d'épouser et d'avoir des relations qu'avec des femmes. L'homosexualité est condamnée par l'Eglise. Et Dieu seul sait que tout le monde ici croit en ce bonhomme caché dans les nuages. Mais moi je préfère encore dire « qui est-il pour se permettre de dire ce qui est le bien et ce qui est le mal », car pour moi, aimer un homme n'a rien de satanique ou que sais-je encore. Et une femme peut tout aussi bien aimer une autre femme ! Après tout, c'est de l'amour non ? N'est-ce pas le principal ?
Tout ça pour dire que je me sentirais extrêmement jaloux si Liam avait déjà quelqu'un dans son cœur. Certainement qu'au fond, je l'aime plus que bien et que je veux qu'il m'appartienne ? C'est tellement égoïste et si..si amoureux ? Non, j'ai jamais été amoureux, pourquoi le serais je maintenant ? Ma vie est foutue, je ne vis plus, je suis mort et condamné à errer sur un bateau pour le restant de...de quoi en faite ? De l'éternité. Pourquoi l'amour me tomberait dessus comme ça ? Bon dieu ce gars, là, sous moi, a le don de me rendre totalement fou. D'ailleurs fou, mon corps l'est totalement si j'en crois l'érection plus que naissante dont je suis victime. J'ai les joues rouges quand il s'amuse en disant que ses mains apprécient l'exploration de mes « jumelles ». Bon sang, je ne vais pas tenir encore longtemps avec ses petits sous entendus, certes prononcés d'une voix quasi innocente, mais tellement coquins... Evidemment, je n'ai pas des abdos de bétons, et je ne tiens pas plus longtemps en ayant le bassin relevé. J'essaie de me coucher de sorte à ce qu'il ne sente pas le problème dans mon pantalon, mais visiblement c'est loupé. Nous sommes tous les deux rouges au possible. Il est gêné, moi aussi, nous sommes tous les deux dans la même situation. Je sens que physiquement, il a le même problème que moi. Bon j'avoue que le sien est moins réveillé que le mien, mais tout de même, ça reste le même problème. L'envie. Le désir. C'est exactement ce qui coule dans mes veines par litres. Mais je n'ose rien faire de peur de le voir fuir. Alors, que dois-je faire ? Me lever, m'excuser et lui dire de se rhabiller ? Non...je ne veux pas qu'il s'en aille déjà. C'est comme si sa présence était devenue mon oxygène.
Je finis par rire de façon très gênée et passant une main dans ma nuque. Je baisse les yeux ou plutôt les tourne dans une autre direction. « Je...désolé c'est la première fois que j'ai ce genre de réaction avec un modèle... Je t'assure ça m'est jamais arrivé auparavant, je n'ai même jamais eu d'aventure avec les gens que je dessine... Mais avec toi c'est juste... différent ? Enfin je veux c'est que... il y a des trucs en plus et … et j'arrive pas à contrôler ça c'est tellement étrange... Mais je dois avouer que c'est loin d'être désagréable. » Avouais je finalement les joues rouges et osant de nouveau regarder Liam avec un petit sourire pour le rassurer un peu quand même. Je voulais vraiment pas l'effrayer, je voulais pas faire de faux pas, je voulais qu'il reste, même si nous étions tous les deux dans des situations délicates.
Finalement, je reprends encore un peu d'assurance et le regarde avec un sourire, appuyant chacune de mes mains de chaque côté de son visage. Je rapproche mon visage du sien, mélangeant nos souffles et frôlant nos lèvres. « Pour être honnête... Je crois que je te désire Liam... Je crois que j'ai envie de toi... »
B-NET
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Sujet: Re: Je trace les heures qui nous séparent Mer 22 Aoû - 22:47
Je trace les heures qui nous séparent Ft. Frédéric A. Luciano
C'était tellement bien tout nu dans son lit , soyons honnête c'est agréable et je n'ai pas du tout envie de partir. Cela dis mon devoir parental va bientôt m'y forcer il ne faut pas trop que je tarde avant d'aller récupérer Benji chez sa nounou. Déjà qu'elle le fait gratuitement je ne vais pas en plus venir le chercher en retard. J'adore mon fils, c'est certain mais là j'ai envie que d'une chose, ne pas être papa ou en tout cas ne pas en avoir la garde complète car mine de rien c'est astreignant et le plus frustrant c'est que ça le sera pour toujours vu que ce petit monsieur ne va pas grandir « Si c'est moi qui dois te mettre dehors, alors tu risques de ne jamais sortir de cette chambre... Et de rester rien qu'avec moi. » J'ai un petit sourire ça me faisais mal au coeur j'avais pas envie de le quitter mais je n'ai pas le choix malheureusement. « Crois moi si je pouvais j'élirais domicile dans ce lit » Répondis-je avec un petit clin d'oeil. Et mes lèvres viennent embrasser sa tempe
Lorsqu'il remonte ses jolies fesse je rougis vu que mes mains étaient en plein dessus mais putain ce que j'aime les toucher. Même à travers un sous-vêtements, pour être honnête je ne l'ai jamais vraiment fait. J'ai toujours été très ouvert d'esprit et une relation avec un homme ne m'effrayais pas mais cela dit je n'en ai eus qu'une sur le paquebot et la première relation homosexuelle date de mes quatorze ans Autant dire que je ne suis pas réellement habitué et il n'y a jamais eus autant de caresse et de tendresse c'est pourquoi je me sens tout de même un peu mal à l'aise mais en même temps c'est si agréable. Je... je crois que je l'aime de plus en plus fort et, oui ça aussi ça fait peur de tels sentiments si rapides ! Je ne sais que penser et.. Alex lui qui est si protecteur avec moi depuis que Anastasia m'a laisser tombé. Je me demande bien ce qu'il pensera de tout ça. Peut- être ne devrais-je pas lui en parler, en tout cas pas tout de suite. Car sinon je pense qu'il serait capable de foutre cette magnifique créature par dessus bord juste pour me protéger. Mais je sors à nouveau brutalement de mes pensées e sentant quelque j'ose de dur contre ma cuisse. Bon dieu lui aussi. Mon coeur accélère et je ne sais pas pourquoi exactement mais mes main se pressent sur ses fesse afin qu'il se colle contre moi en me mordant la lèvre inférieur. J'étais aussi gêné mais cette gêne se mêlait au désir.
« Je...désolé c'est la première fois que j'ai ce genre de réaction avec un modèle... Je t'assure ça m'est jamais arrivé auparavant, je n'ai même jamais eu d'aventure avec les gens que je dessine... Mais avec toi c'est juste... différent ? Enfin je veux c'est que... il y a des trucs en plus et … et j'arrive pas à contrôler ça c'est tellement étrange... Mais je dois avouer que c'est loin d'être désagréable. » Je ris alors de bon coeur, évidemment je ne me moquais nullement mais disons que sa gêne était des plus touchante. Mais ce qu'il ne comprend pas c'est que pour moi son excitation était la plus douce preuve de son attachement et de son désir. « Shtt, shtt calme toi c'est... pas grave je suis touché d'être quelqu'un à part pour toi parce que tu... es tellement différent pour moi... je ne saurais ou alors n'oserais dire exactement ce que je ressens mais c'est si doux Frédéric. J'aime cette chaleur » Murmurais-je à son oreille avant de remonter mes main dans son dos pour l'embrasser avec la plus grande tendresse.
Doucement main doigts habiles passent sur son torse et je défait sa chemise entièrement, la faisant alors glisser le long de ses bras fins. Je profite pour embrasse sa clavicule et son épaule avec délicatesse. Mais je le sens à nouveau reprendre le dessus sur ses sentiments de peur. Car il se détend. « Pour être honnête... Je crois que je te désire Liam... Je crois que j'ai envie de toi... » Mes baisers remontent alors dans son coup et ma main caresse sa nuque dégagée. « J'ai envie de toi Frédéric, cependant et bien que cela ne me pause aucun problème de m'offrir à toi nous ne devrions pas brusquer trop les choses mais rien ne nous empêche de nous découvrir....» Chuchotais-je alors que mes main descendaient afin de défaire son pantalon.
Sujet: Re: Je trace les heures qui nous séparent Dim 16 Sep - 22:12
Liam&Frédéric– Les heures qui nous séparent
Sentir son corps sous le mien était quelque chose de terriblement bon. Ca faisait doucement chauffer mon ventre, de la façon la plus délicieuse et agréable qu'il soit. Je n'avais jamais ressentit quelque chose d'aussi fort avec d'autres partenaires. En parlant de ça justement, j'ai eu très peu d'homme dans ma vie. Vraiment très peu. Alors évidemment, j'étais vraiment gêné d'avoir une telle réaction. C'était vraiment pas ... Professionnel. Bon d'accord, je dois avouer qu'être nu dans mon propre lit avec mon modèle, c'est pas non plus très professionnel. C'est même très loin de l'être. Encore plus si c'est un homme. Bon passons, je n'ai pas envie de redevenir totalement froid. Alors là, je pense que ce serait vraiment ... la catastrophe. J'ai peur d'effrayer Liam, et Dieu seul sait à quel point je voudrais garder ce beau jeune homme tout contre moi pour toute mon éternité, dormir en le tenant dans mes bras, me réveiller et l'observer finir sa nuit contre moi paisiblement. Est-ce que cela pourrait se réaliser un jour ? Est-ce que j'ai le droit d'éspérer de pouvoir vivre à ses côtés ? Oh je l'éspère de tout mon coeur. Et je me donne ce droit d'éspérer, de croire en cette chance. Parce qu'il est le seul à me rendre ainsi, à me faire me sentir étrange à l'intérieur. Alors il était hors de question que je le laisse me glisser entre les doigts. Et il était donc évident que, lorsqu'il sentit mon envie se presser contre sa jambe, j'ai eu vraiment très peur qu'il ne s'en aille, ne veuille plus jamais me voir, me parler. J'ai un peu paniqué on va dire. En faite, j'étais totalement paralysé de peur à l'intérieur, mais je ne voulais pas laisser paraître tout ça, de peur de l'effrayer encore plus. Mais sa voix a résonné de façon tendre à mon oreille. Son souffle chaud a parcouru ma peau, me faisant frissonner jusqu'au plus profond de moi même. Et pendant qu'il parlait, j'ai fermé les yeux. Pour laisser le son de sa voix m'envoûter, me faire basculer dans un autre monde totalement différent. Un monde de chaleur, de douceur, de touchers câjoleurs, de paroles tendres et envoûtantes, où des couleurs chaleureuses s'entremêlent, comme nos jambes le font déjà un peu. Un monde où nous ne serions que tous les deux. « Shtt, shtt calme toi c'est... pas grave je suis touché d'être quelqu'un à part pour toi parce que tu... es tellement différent pour moi... je ne saurais ou alors n'oserais dire exactement ce que je ressens mais c'est si doux Frédéric. J'aime cette chaleur »
Le baiser qui a suivi ces quelques mots a finit de me détendre et de faire taire les démons dans mon coeur qui me hurlaient que si je continuais, je perdrais Liam. Je n'arrive pas à croire ce que je ressens. J'ai déjà tellement peur de le perdre à cause de mes gestes, mes sentiments si forts pour lui. C'est étrange de sentir à quel point le coeur développe des sentiments pour une personne, et c'est encore plus troublant quand tout va si vite. Mais cela procure une délicieuse sensation de sécurité, d'amour. Je réponds à son baiser avec une certaine passion, mes lèvres jouant contre les siennes, ma langue caressant la sienne de la plus tendre des manières. Ses mains dans ma nuque m'apaisent. Je trouve le courage qu'il me manquait pour lui avouer mon désir, et surtout pour oser glisser mes mains le long de son corps que j'ai admiré durant des heures, un corps que je connais maintenant dans les moindres détails. Ma chemise quitte mon corps, et je ne peux m'empêcher de soupirer de soulagement. Elle était devenue d'un coup bien gênante, et sentir enfin le tissu glisser le long de mes bras pour finir par terre me fait beaucoup de bien. Je me suis bien plus à l'aise, si ce n'est le pantalon qu'il me reste qui m'étouffe encore un peu.
« J'ai envie de toi Frédéric, cependant et bien que cela ne me pause aucun problème de m'offrir à toi nous ne devrions pas brusquer trop les choses mais rien ne nous empêche de nous découvrir....» Et sur ces mots, je sens sa main à la peau douce et chaude, descendre dans ce fameux pantalon qui ne me laisse pas trop à mon aise. Ma respiration accélère et devient plus saccadée quand sa main se rapproche de ce qui fait de moi un homme. Bon dieu je crois que jamais je n'ai ressenti du plaisir à un effleurement si minime. Car, il faut dire les choses comme elles sont, sa main ne touche pas ma virilité, encore emprisonnée dans mon sous-vêtement, et je suis déjà dans un état de transe avancé. Je pense bien que ce sont les sentiments que je ressens pour lui qui décuplent chaque sensation. Je me cambre alors sous sa caresse, allant cacher mon visage dans son cou, respirant son odeur ennivrante. Je parviens alors à lever mon regard vers le sien, bien que mes yeux soient déjà à moitié clos par ce doux plaisir qui brûle dans mes veines. « Je veux te découvrir Liam ... Je veux découvrir ton corps, connaître le moindre détail ... Même si visuellement je le connais déjà et pourrais le retracer un millions de fois, je veux..je veux le toucher... Je veux te toucher, te caresser, et goûter ta peau couleur de miel ... Je veux tout connaître de toi, vraiment tout. » Soufflais je avant de capturer ses lèvres de nouveau entre les miennes. Mais je n'ai pas le temps de m'attarder dessus, car je dois les lâcher pour reprendre mon souffle quand la main coquine de Liam s'aventure entre un peu plus bas, touchant du bout des doigts la partie la plus sensible et la plus réceptive de mon corps à ce moment même. Je penche la tête en arrière, lâchant un très faible gémissement à son attouchement qui m'a bien pris au dépourvu. J'ouvre les yeux et le regarde avant de sourire de façon tout aussi coquine. Sans un mot, je plonge sur son cou que je mordille avec douceur. Mes mains s'activent sur sa peau douce comme la soie la plus précieuse et glissent le long de son torse. J'aime sentir la légère sueur sur sa peau, ça le rend plus désirable encore à mes yeux. J'arrête mes mains sur ses hanches, l'enfonçant un peu plus dans le matelas, et descendant ma bouche sur son torse que je câjole de baisers aventureux. Je n'ai jamais fait ça à un homme, c'est la première fois, et je me sens fier que ce soit avec lui et pas un autre.
B-NET
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Sujet: Re: Je trace les heures qui nous séparent Jeu 4 Oct - 22:36
La luxure est une évidence.
Une idylle presque parfaite, sans anicroche, deux hommes dans des positions suggestives, l’un dessinant l’autre. Hummm, je pourrais les rejoindre non ? Je savais tout ici, vraiment tout, les amourettes des uns, les coups d’un soir des autres. Mes passagers avaient bien changé depuis le naufrage et tous prenaient des évolutions parfois inattendues. Je quittais alors ma cabine pour m’engouffrer dans les nombreux couleurs de mon majestueux paquebot. Ahah, qui aurait pensé qu’un jour, je deviendrais Capitaine du Titanic, moi à la place de ce Smith. Je me sentais puissant et tellement fort et je ne regrettais en rien d’avoir ce pouvoir. J’arrivais très vite près de la cabine du jeune et charmant Frédéric, un plan machiavélique était déjà dans mon esprit. Sans frapper, j’entrai dans la pièce, voyant les deux hommes dans une situation forte suggestive. Miam, j’adorais ça. N’allez pas me prendre pour un pervers, j’aimais ce qui était beau et j’adorais encore plus ennuyer les esprits de mes passagers. Je m’adressais d’abord au télégraphiste de mon navire, tout en ajoutant un regard bien langoureux.
« Mr O-Malley, vous avez de très intrigantes occupations. Excusez-moi pour le dérangement, nous avons quelques problèmes au poste de commande. »
Une excuse bien sûr, mais le temps qu’il arrive à moi, je pourrais bien détraquer le matériel. En fait, je voulais autre chose, mettre le trouble dans cette relation. Je m’approchais alors du dessin de Frédéric.
« Mr Luciano, vous avez fait là un chef d’œuvre, mais en même temps, avec un tel modèle, vous ne pouviez que toucher la perfection. »
Je fis alors un clin d’œil à Liam, soutenant mon regard sur son corps et je partais, laissant les deux hommes et assistant de loin à la scène qui allait suivre. Tout en espérant que mon manège ait bien troublé les deux hommes.
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Sujet: Re: Je trace les heures qui nous séparent Ven 5 Oct - 17:39
Je trace les heures qui nous séparent Ft. Frédéric A. Luciano
« Je veux te découvrir Liam ... Je veux découvrir ton corps, connaître le moindre détail ... Même si visuellement je le connais déjà et pourrais le retracer un millions de fois, je veux..je veux le toucher... Je veux te toucher, te caresser, et goûter ta peau couleur de miel ... Je veux tout connaître de toi, vraiment tout. » Voilà ce que me murmura mon nouvel amant à l'oreille, car oui je le considère désormais comme mon amant, je ne peux pas encore certifier qu'il deviendra plus que cela mais intimement je l'espère car il est pour moi davantage qu'un simple amant, surtout que je ne désir nullement coucher avec lui ce soir. Je préfère le découvrir d'avantage avant de me lancer car comme je l disait il n'est pas n'importe qui. Je l'embrasse avec une passion dévorante posant ma main sur sa nuque qui exerçait une certaine pression. alors que l'autre d'aventure au devant de son corps afin de le débarrasser de son pantalon, Frédéric caresse mon corps tout en allant embrasser mon cou. Je soupire d'aise, ses caresses étaient si douce, mon coeur s'emballait rien qu'à l'idée qu'il puisse continuer...
Nous étions bien, nous étions ensemble, caché, en sécurité. Enfin c'est évidemment ce dont j'étais persuadé qui viendrais me chercher ici, généralement lors qu'on me cherche c'est dans le couloir de l'équipage et encore en fait on me cherche pas vu que je suis toujours à l'heure pour prendre mon service et que je reste souvent plus tard le soir. Cependant c'était évidemment sans compté sur le capitaine du paquebot, je ne connais même pas son nom d'ailleurs, c'est juste "Le Capitaine". Nous sursautons tout les deux en entendant la porte s'ouvre à la volée. Je ne comprenais plus rien à ma vie. Frédéric m'avais assuré que personne ne pourrais venir ici et n'avait-il point fermé la porte de sa cabine à clé ? C'est à n'y rien comprendre. je me redresse sur les coudes et me rends alors compte que l’intrus que je maudissais à l'instant était en fait mon supérieur hiérarchique.
« Mr O'Malley, vous avez de très intrigantes occupations. Excusez-moi pour le dérangement, nous avons quelques problèmes au poste de commande. » Je deviens pâle comme la mort en l'entendant s'adresser à moi. L'idée qu'il m'aie surpris dans une aussi fâcheuse position me donne un grand sentiment d'humiliation. Cependant je ne montre point se mal être. « Je.... m'y rends dès que... je serais habillé Capitaine » Répondis-je d'une voix égale à la sienne.
Cependant, ma réponse ne semble nullement lui suffire. Il parcoure la chambre et attrape le dessin que Frédéric venait de faire de moi. Je détourne de regard s'en est trop pour moi. « Mr Luciano, vous avez fait là un chef d’œuvre, mais en même temps, avec un tel modèle, vous ne pouviez que toucher la perfection. » Pardon ? Je retourne la tête vers les capitaine sans comprendre alors qu'il me fait un clin d'oeil, mais c'est et pourquoi il me regarde aussi longuement,c'est affreusement gênant. Je détourne de nouveau la tête alors que l'homme s'en va aussi spontanément qu'il est arrivé refermant la porte derrière lui. Un instant passe en silence je suis totalement sous le choc mais Frédéric ce lève ce qui me fait réagir.
« Frédéric je... Je sais ce que tu imagines mais c'est faux ! » M'empressais-je de dire en voyant le regard noir du jeune homme que j'aimais tant.