Sujet: Je trace les heures qui nous séparent Mer 8 Aoû - 22:11
Liam&Frédéric– Les heures qui nous séparent
Voilà quelques temps maintenant que j'étais...mort. Maudit ? Certainement. Ce que j'avais encore du mal à comprendre, c'est comment pouvait-on être mort et se réveiller, en sentant son cœur battre de nouveau. Parce oui, j'étais mort, ça je le savais parfaitement bien. Je n'avais que trop de souvenirs qui revenaient de cette nuit où je fus enfermé dans ma cabine, regardant l'eau monter et lentement me tuer, de froid et par manque d'air. Quelqu'un ici a-t-il eu une mort plus horrible ? Je n'en sais rien, mais je dois être dans les dix premiers de ceux qui ont eu la mort la plus lente, horrible et douloureuse. Il paraît que la noyade est la mort la plus douloureuse qu'il soit. Car on a ce besoin vital de respirer, mais on se contraint à ne pas ouvrir nos poumons car l'eau glaciale nous entoure. Pourtant, on ne résiste plus, on craque, et on sent ce froid indescriptible nous emplir, nous étouffer. Cela revient un peu à se suicider, d'une certaine manière … En tous les cas, c'est ainsi que je vois la chose. Après, chacun se fera sa propre opinion.
Enfin, tout cela pour dire que maintenant, j'arrivais à me faire à l'idée que j'allais vivre éternellement. Certes, je pense que vivre éternellement sur terre serait plus plaisant que de vivre éternellement sur un bateau. Car sur terre on peut encore voyager, découvrir de nouveaux pays, de nouveaux horizons. Or, sur ce bateau, il n'y a qu'un seul horizon : la mer. A perte de vue. Je dois bien avouer que c'est sublime à voir, car j'adore regarder la mer. Mais je pense qu'un jour, je finirais par m'en lasser, comme tout le monde ici, et quand ce jour viendra, je ne sais pas ce que je ferais pour ne pas devenir fou.. Rester enfermé dans ma cabine ? Non merci, après y être mort déjà une fois, j'ai trop peur que cela recommence, que je me réveille sous les cris de terreur, que l'eau ait déjà commencé à remplir ma petite cabine, que lentement je meurs, de froid et d'asphyxie. J'ai eu beaucoup de mal à me rendormir la première nuit et les quelques nuits qui suivirent. Le matin, j'étais terriblement angoissé. Les premiers jours je restais sur le pont et évitais de me retrouver enfermé.
Aujourd'hui est une journée qui ne fait pas exception. Je fuis ma cabine, j'ai encore peur de m'y retrouver seul. Si encore j'avais quelqu'un avec moi, je pense que je serais bien plus rassuré. Mais seul, j'ai encore beaucoup de mal. J'ai besoin de quelqu'un pour m'aider. Et ce quelqu'un, je pense l'avoir trouvé. Mais ce que j’espère le plus, ce pour quoi je prie le seigneur chaque soir, même si je ne crois pas en lui, c'est pour que Liam ait pu s'enfuir du bateau avant le naufrage, qu'il ait pu prendre un canot de sauvetage et rejoindre la terre ferme, qu'il soit réellement vivant, même si cela signifie pour moi de passer l'éternité seul. Lui au moins aura une véritable vie. Je disais donc qu'aujourd'hui était une nouvelle journée comme j'en vivrais certainement des milliers d'autres. J'avais pris mon grand carnet de dessin et quelques fusains pour aller m'occuper. Je ne savais pas trop où je pourrais bien m'installer, alors je me suis mis sur un des nombreux sièges longs de la promenade autrefois réservée aux 1ères et 2nde classes. Je n'avais plus vraiment d'inspiration depuis ma « mort », je me contentais de tracer des silhouettes sombres, des formes, des corps sans visages, des choses sans vie, sans lumières. Des dessins morts. Il y avait une petite brise qui soufflait aujourd'hui. Aussi je décidais de la retranscrire dans mon dessin par des courbes gracieuses. Mais je ne leur donnait pas de joie, je n'essayais même pas de leur donner un sentiment en particulier. Mes tracés étaient froids, comme l'eau dans mon souvenir... Mais au milieu de toutes ces choses, il y avait quand même une petite forme qui essayait de se faire une place, qui essayait de mettre un peu de lumière. Liam...
J'ai un faible soupire en pensant à lui, et dirigeant mon regard vers l'horizon. Jamais je ne pourrais lui avouer ce que je ressens pour lui. Mon beau télégraphe, je n'ai même pas eu le temps de lui faire un dessin ou un tableau pour le payer des messages qu'il envoyait à ma soeur pour que je puisse la rassurer, ce que je ne pourrais plus jamais faire. Je suppose que le télégraphe ne sert plus à rien, ou sinon un bateau serait déjà venu nous chercher.
B-NET
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Sujet: Re: Je trace les heures qui nous séparent Jeu 9 Aoû - 17:48
Je trace les heures qui nous séparent Ft. Frédéric A. Luciano
L'horizon... il n'y a rien d'autre à perte de vue ce que fichu horizon depuis ma minuscule cabine je regarde cet océan qui a détruit la vie que je tentais je reconstruire de manière pitoyable mais au moins je voulais quitter cette Irlande qui ne m'a jamais réellement accueilli comme un citoyen digne d'avoir des droits mais sincèrement n'aurait-il pas mieux fallu que je crève dans un caniveau à Dublin plutôt que je vivre éternellement sur ce foutu bateau ? Bon quand j'y pense il y a certains avantages à être ainsi cloitré. J'ai retrouvé mon frère que je croyais mort et puis je vais rester jeune et beau pour toujours ! Mais au final la jeunesse éternel ce n'ai pas naturel comme disais ma mère il y a un temps pour tout. l'enfance, la jeunesse, la paternité , la vieillesse et la mort et moi je suis coincé pur toujours entre deux catégories, celle de la jeunesse et de la paternité ce qui fait que je ne sais pas très bien comment réagir je doit bien entendu montrer le bon exemple à Benjamin et donc ne par ramener d'amant dans ma cabine et ne jamais embrasser de garçon si je le sais dans les parages c'est un peu contraignant je l'avoue mais en même temps je ne supporterais pas que sa mère sur de ma soit disante mauvaise influence pour me l'enlever. C'est elle qui l'a abandonné maintenant à elle de le payer pour l'éternité Je ne suis pas un casier de dépôt !
Après plusieurs heure a regarder l'horizon, à somnolé à moitié je décide d'aller faire un tour sur le pont histoire de me dégourdir un peu les jambes mon fils est avec sa nounou toute la journée j'ai donc une journée entière rien qu'a moi voir une soirée suivant comment mon après-midi ce passe Je décide de monter jusque au pont des embarcation, la ou je me suis rendu le jour du naufrage et qu'on m'a annoncé qu'il n'y avais plus un seul canot. Je me souviens encore ce que j'ai ressenti lorsque j'ai sauté dans l'océan alors que Benjamin s'accrochait à mon dos. Il y avais un canot il fallait que je l'atteigne, pour lui il 'était pas loin, vraiment à quelques dizaine de mètres à la nage j'aurais pus y arriver, j'aurais dus y arrivé mais le brui sourd de l'acier qui se plie puis se détache me fit tressaillir. Je me suis retourné à l'instant un l'un des énorme cheminée nous tomba dessus. Je suis l'un des rares passager car même si je travaillait dans le cas présent j'étais un passager, à n'être mort ni de froid ni de noyade. Ma mort était enviable je le conçois bien volontiers cependant je reste tout de même mort alors douloureuse ou pas nous sommes tous dans le même panier.
A mon arrivée sur le pont le plus haut je fronce les sourcils car le soleil m'éblouissait je sors un peu en titubant avant que je ne puisse m'habituer à la lumière du jour. Ce petit vent frais, ce soleil, ce ciel bleu et cet océan si calme. Tous semblait figer. Nous avions eut aucune mauvaise journée depuis notre mort et ce beau temps devenait lassant, moi qui suis plus habitué aux pluies irlandaise. J'adore la pluie qui ruisselle lentement qui s'insinue partout qui nettoie et qui fait disparaitre notre peine lorsque celle-ci n'est pas trop grande. En tout cas pour moi la pluie était un réelle thérapeute. J'avançais toujours d'un pas lent sur le pont inclinant légèrement la tête lorsque je croisais des gentilshommes de première classe avec leurs épouses. C'est alors que mon regard fut attiré par un jeune homme qui dessinait, un jeune homme pour qui j'ai défié l'autorité de mes supérieurs, faisant passé tous ses télégrammes en priorité uniquement car il me plaisait que que j'aimais rendre service aux garçons qui réussissaient à attirer mon regard. J'attends un instant restant à une dizaine de mètre afin de vraiment m'assurer qu'il s'agissait bien de Frédéric. Et c'était le cas. c'est pourquoi je finis par m'approche à pas de loup. Je me racle doucement la gorge afin de ne pas lui faire peur. « Je suis terriblement déçu que tu n'ai pas eus le temps de me dessiner de mon vivant » Dist avc un point d'humour et surtout un sourire en coin des plus séducteur
Sujet: Re: Je trace les heures qui nous séparent Ven 10 Aoû - 13:58
Liam&Frédéric– Les heures qui nous séparent
Peut-on mourir sans souffrir ? Certainement. Alors pourquoi je suis pas mort sans douleur ? Pourquoi n'ai je pas eu le droit à une mort rapide et sans agonie ? Qu'est ce que j'ai bien pu faire au Seigneur pour mériter pareil sort ? D'ailleurs, je me demande pourquoi je me pose la question. Tout le monde a beau être croyant, aller à la messe, prier le soir, l'époque avait beau vouloir que tout le monde devait croire et craindre le bon Dieu, moi je n'y croyais en rien. Pour moi, il n'y avait pas de force supérieure dans les cieux. Le monde était tel qu'il était depuis sa création par je ne sais quel phénomène et c'était tout. Je me fichais d'abord de savoir comment le monde avait été créé, c'était le cadet de mes soucis. Tout ce que je voulais, c'était vivre sans me poser de questions. Qu'est ce que ça pouvait bien me faire si un bonhomme avait décidé de créer le monde il y a des centaines d'années de ça, et qu'il avait décidé de le faire de telle ou telle façon ?
La seule chose qui me préoccupait c'était... Liam... J’espérais honnêtement qu'il soit en vie, qu'il ait pu prendre un canot de sauvetage et continuer à vivre réellement, pas comme tout ces gens et moi-même qui vivions tourmentés de savoir si on était en enfer ou au paradis, bien que je pense personnellement que ces deux mondes n'existent pas et que, lorsque nous mourrons, nous sommes entre deux mondes. En faite, on est certainement vraiment mort pour le commun des mortels, mais nous continuons de vivre comme nous nous sommes arrêtés de vivre... Bref, en faite je m'embrouille moi même et je suis pas sûr que quelqu'un me comprenne de toute façon. Quoiqu'il en soit, la vie est trop précieuse, j'espère qu'il en profite où il est... Je n'avais personne à qui je tenais réellement sur ce bateau, juste lui, lui et son doux regard, sa voix enchanteresse. Il n'y a que pour lui que je m'inquiète. Pour ma sœur et mon frère aussi bien sûr, mais eux vont encore bien, j'arrive à m'en convaincre. Mon frère prendra soin d'elle en mon absence, il sait qu'avec le temps j'ai mis ma jalousie de côté et j'ai appris à aimer cette gamine adorable et douce.
Je m'ennuyais réellement, mon dessin ne m'inspirais quasi pas. C'était si sombre à part ce point blanc au milieu.. Sombre et triste. Un peu comme le sera ma vie désormais je pense, si c'est réellement une vie... « Je suis terriblement déçu que tu n'ai pas eus le temps de me dessiner de mon vivant » J'ai un léger sursaut à ces quelques mots prononcés d'une voix douce et chaude, mon fusain trace une longue ligne brutale au milieu de ma page, sans toucher le cercle blanc. Je relève la tête et mon cœur semble s'arrêter, s'il ne s'est pas encore arrêté quand je me suis noyé. Liam est là, à quelques pas de moi. Alors il...il est mort, comme moi... Cette pensée me tord le cœur de douleur, mais en même temps elle le réchauffe comme jamais, car, et même si cette pensée est horriblement égoïste, je pourrais passer l'éternité en l'ayant à mes côtés. Je m'en veux de penser une telle chose mais dans un moment pareil, je pense que beaucoup de personne peuvent me comprendre. Je laisse mon cahier et mes fusains sur le fauteuil et me lève pour faire face à Liam. Je n'ai toujours pas décroché un mot mais j'ai encore du mal à savoir si je dois être heureux ou malheureux. Je déglutis et inspire un coup pour reprendre mes esprits. Oui il est là, bien vivant ( ou mort ) devant moi. Son sourire me fait rougir légèrement, et la pointe d'humour qu'il y avait dans ses mots me détend. « Je peux toujours te dessiner, même mort. » Proposais je avec un sourire sincère et un regard pétillant. « La mort n'est pas forcément négative pour tout le monde. Il y a des personnes qu'elle rend plus belles. » Je lui fais un clin d'oeil et me mords légèrement la lèvre inférieure. Je ne savais pas trop encore comment je pouvais me comporter avec lui. « Tu vois, je te trouve plus charmant maintenant. Peut-être que la mort t'a donné un petit quelque chose en plus pour te rendre plus séduisant auprès des autres. » Avais je le droit de flirter ainsi avec lui ? Je n'en savais foutrement rien, mais je m'en foutais un peu. Il me plaisait, vraiment, j'avais un véritable coup de foudre pour lui et je voulais le vivre. J'avais l'éternité pour tenter de vivre quelque chose avec lui, alors j'allais en profiter grandement. Je mets mes mains dans mes poches en le regardant avec un sourire. « Tu sais, la mort ne m'a pas reprit mon talent d'artiste, alors si tu veux un dessin, c'est quand tu veux et où tu veux. On va dire que, désormais, j'ai assez de temps devant moi pour t'en faire quelques uns. »
B-NET
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Sujet: Re: Je trace les heures qui nous séparent Ven 10 Aoû - 18:55
Je trace les heures qui nous séparent Ft. Frédéric A. Luciano
Le temps... toujours ce maudit temps qui ne faut rien dire ma mort n'est qu'un eternel et banal recommencement c'est d'un monotone toujours ce même soleil qui se lève et e couche exactement à la même heure tous les jours. ce paquebot navigue hors du temps quelque part entre la vie et la mort ce qui empêchent tous les passagers de trouver le repos qui nous est dus. La mort est censé être le repos éternel les bonne personne sont censées être accueillies au paradis, dans la maison de dieu c'est cela que prêche le prêtre lorsque j'allais à l'église enfin jusqu'à ce que des protestants la débouille de toutes ses richesses puis la brûle comme un vulgaire cabinet d'aisance ! J'ai été tellement choqué tellement meurtri par ce qu'ils ont osé faire que je en suis plus jamais entré dans un église du coup je ne prie plus c'est peut être pour cela que dieu me puni nous sommes tous des pêcheurs. Pourtant je ne cois pas avoir mérité pareil châtiment. Peut être devrais-je me rendre à la chapelle, juste histoire de me confesser et... revenir à mes vieilles habitude mais j'ai eus tellement peur ce fameux jour que maintenant je crains d'entrer dans une église ou dans un chapelle catholique de peur que l'ont me voit. Alors évidemment on ne peut plus me tuer cependant me faire du mal si et je considère avoir assez souffert à cause de ma religion.
Alors que je me torturais l'esprit à propos de dieu de la chapelle et des mes pêchers j'en vois un poindre à l'horizon. Je sais, je suis un très mauvais chrétien, tellement que je préfère garde ma croix dans ma cabine histoire qu'elle ne soit pas témoins du plus atroce de tout mes pêchers... la luxure et la badinage. Le beau, très beau Frédéric était donc mort lui aussi, cela m'ouvre un avenir meilleur, un éternité plus agréable que je ne l'aurais imaginé... Oui je suis vraiment pas un bon catholique.... Mais au fond.. je m'en fou je vis déjà l'enfer. Sur cet pensée j'en oublie dieu et tout le reste me concentrant sur le bel artiste que j'avais sous les yeux. « Je peux toujours te dessiner, même mort. » C'est bon à savoir ça voir très très bon en fait depuis le temps que j'attends mon dessin avec tous les risque que j'ai pris pour son joli petit minois tellement sexy. Ça mérite tout de même un récompense. « La mort n'est pas forcément négative pour tout le monde. Il y a des personnes qu'elle rend plus belles. » et en plus il semble savoir parler aux homme en plus son petit regard pétillant et son sourire je me frotte la nuque légèrement intimidé tout de même parce c'est un peu du rendre dedans et j'en ai pas vraiment l'habitude. « Ah oui vraiment ? Ces personne-là sont plutôt chanceuses » Dis-je finalement ayant décider de faire mine de ne pas vraiment comprendre le rentre dedans même si, entre nous nous l'avions compris tous les deux. Cependant il continue à être très directe et je m'en mords la lèvre. « Tu vois, je te trouve plus charmant maintenant. Peut-être que la mort t'a donné un petit quelque chose en plus pour te rendre plus séduisant auprès des autres. » Je m'adosse doucement contre le bastingage j'avais un peu chaud là ! « Un petit quelque chose ? Je me demande bien ce que ça peut être le cynisme peut être ? ou alors le courage de venir enfin parler un garçon le plus séduisant du bateau ? »
L'homme le plus séduisant...mais qu'est ce qu'il m'a pris de dire cela ! Suis-je fou ? Certes il l'était à mes yeux mais ce n'ai pas pour autant que je doit le lui dire de cette manière mais ou est passé le tact bon sang ! « Tu sais, la mort ne m'a pas reprit mon talent d'artiste, alors si tu veux un dessin, c'est quand tu veux et où tu veux. On va dire que, désormais, j'ai assez de temps devant moi pour t'en faire quelques uns. » Oh vraiment, ou je veux et quand je veux ? C'est exactement ce qu'il me fallait pour occuper ma journée en plus passer ce moment avec lui c'est... incroyable. « Maintenant ? Tout de suite dans le lieu qui t'inspirera le plus dans ce cas je l'attends depuis trop longtemps ce chef d'oeuvre. » Je sourire de mon petit sourire en coin plutôt séducteur tout en m'asseyant sur le bastingage tout façon même si je tombe je revit alors peu importe
Sujet: Re: Je trace les heures qui nous séparent Sam 11 Aoû - 3:12
Liam&Frédéric– Les heures qui nous séparent
Enfer et paradis .. Deux mondes opposés dit-on. Deux mondes loin l'un de l'autre. L'un sous terre, dans le feu et la braise, envahit par les ténèbres. L'autre perdu dans les cieux, parmi les nuages, au milieu des rayons de l'astre solaire. Les mondes opposés et strictes contraires de l'au delà. Combien de personnes y croient réellement ? Des milliers j'imagine... Moi, pas tellement. Comment faire pour vivre dans un enfer de chaleur ? Comment supporter ce tourment sans jamais pouvoir y échapper, ni au feu ni aux douleurs. Et comment faire pour supporter une vie parfaite, une vie sans soucis, pleine de nuage, de blanc et de bleu pur. Ne devrait-il pas y avoir un juste milieu ? Pour les morts, il semble que non, pour nos pauvres âmes il n'y aura que le tourment éternel ou la paix et le repos à tout jamais. Mais, et nous alors, qui voguons encore sur les flots bleus et interminables de l'océan. Qu'est ce qui nous attend ? L'enfer, ou le paradis ? Pourquoi sommes nous condamnés à errer entre ces deux univers si différents et pourtant si proches ? Qu'avons nous fait de mal ?
Pour ma part, la seule chose de mal que je pense avoir fait c'est de ne pas croire en Dieu comme toute ma famille. Alors il y aurait vraiment quelqu'un là haut qui m'en voudrait autant de ne pas avoir cru en lui durant toute ma vie ? Et m'en veut-il aussi lorsque, dans mes derniers jours, je suis tombé sous le charme d'un homme ? Aimer quelqu'un de même sexe, je crois que c'est interdit dans la Bible. Oh et puis, pourquoi devrais-je m'en préoccuper si désormais je suis mort ? Alors certes je vogue « entre deux eaux », entre deux mondes, mais maintenant je n'ai plus rien à craindre. Nous sommes tous libérés de nos obligations. Alors, pourquoi ne pas profiter de notre éternité et la vivre comme bon nous semble ? Je crois que c'est ce qu'il y a de mieux à faire, et c'est bien ce que je compte faire.
« Un petit quelque chose ? Je me demande bien ce que ça peut être le cynisme peut être ? ou alors le courage de venir enfin parler un garçon le plus séduisant du bateau ? » Je ne peux m'empêcher de rire doucement. Je reste à proximité de lui quand il va s'appuyer contre le bastingage. Je hausse alors les épaules à sa question qui n'attend pas vraiment de réponse. J'allais lui répondre quand je l'entends me complimenter, comme quoi je serais un des plus beaux hommes de ce navire. Je hausse les sourcils de façon intéréssée, et je retrouve alors mon assurance. Et je lui réponds avec mon petit sourire en coin. « Moi, un des hommes les plus séduisants du bateau ? Je t'en remercie, je ne pensais pas que j'en serais, et encore moins que ce soit toi qui me le dise. Et pour répondre à ta question, non je ne pense pas que cela soit ce que la mort t'a donné de plus. » Je m'approche un peu plus avec mon sourire qui se faisait plus charmeur et enjôleur. « Elle t'a donné une aura assez différente .. Plus attirante encore que ce qu'elle était déjà de ton vivant. Et je pense qu'il se passera peu de temps avec que quelqu'un ne succombe à cette attraction. » Bien sûr que je parlais de moi. Mais serait-ce alors raisonnable de tout de suite lui faire comprendre directement, par mes propres mots, qu'il m'attirait plus que ce que la morale voulait pour deux hommes. Je ne veux pas l'effrayer et l'éloigner de moi. Je lui propose alors de le dessiner, de lui laisser le choix du moment et du lieu. Et je ne peux qu'être surpris du sourire séducteur qu'il prend pour me répondre tout en s'asseyant sur le bastingage. Je l'écoute me répondre de choisir moi même ce qui m'inspire le plus, peu importait le lieu et le moment. Il était trop impatient d'avoir ce dessin que je lui ai promis depuis bien longtemps. Je ris doucement tête baissée, avant de relever mon regard vers lui en souriant. Je me rapproche encore de lui encore, jusqu'à poser mes mains sur le bord du bastingage de chaque côté de son corps. Je sens son parfum m'ennivrer grâce à la fine brise qui souffle et fait doucement voler ses courts cheveux. Je le regarde dans les yeux. Il est beau à damner... « Ce que je vais t'avouer va peut-être, et même certainement t'effrayer... Mais il y a un dessin que j'aimerais faire de toi, cela fait déjà quelques temps que j'y pense, depuis que je t'ai vu en faite. Mais ce dessin n'est pas commun et beaucoup de personnes en condamnent le style.. » Même si j'ai beaucoup d'assurance, sur cette demande quelque peu spéciale, j'ai des doutes et prends un peu peur de sa réaction. Sans quitter son regard du mien, je me mords légèrement la lèvre. « Je voudrais te dessiner...nu, Liam. Si tu n'es pas d'accord, je ne t'en voudrais pas que tu me le refuse, je comprendrais même. Mais dessiner quelqu'un nu, c'est représenter de lui sa plus belle nature. Il n'y a rien de pervers là dedans. »
B-NET
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Sujet: Re: Je trace les heures qui nous séparent Sam 11 Aoû - 17:52
Je trace les heures qui nous séparent Ft. Frédéric A. Luciano
Dieu et tout cela en fait je ne sais plus vraiment quoi penser pourquoi nous aurait-il abandonner à airer telles des âmes en peine... pour nous punir certainement mais avons nous réellement fait tant de mal que cela, pour ma part je ne crois pas. Cela dit, je peux me tromper. Enfin de tout façon cela ne sers à rien d'en parler et de m'envahir l'esprit avec étant donné que de toute façon cela nous aidera pas à trouver la paix. Et puis c'est très bien de rester entre deux monde ainsi j'ai tous loisirs de m'adonner aux plaisir de la chair. Et c'est exactement ce que je désir faire avec le beau Frédéric. Alors certes c'est un passager de seconde classe et je ne suis que simple employer mais après tous personne n'en prendra connaissance alors pourquoi ce privé d'une belle aventure ? « Moi, un des hommes les plus séduisants du bateau ? Je t'en remercie, je ne pensais pas que j'en serais, et encore moins que ce soit toi qui me le dise. Et pour répondre à ta question, non je ne pense pas que cela soit ce que la mort t'a donné de plus. » Il prend de l'assurance et il en a tout de suite plus que moi ce qui commence presque à m'intimider un peu. Ce qui le prouve ce que je joue nerveusement du piano sur la rambarde du bastingage comme un enfant stressé. Je baisse le regard observant le pont ciré à la perfection. Elle t'a donné une aura assez différente .. Plus attirante encore que ce qu'elle était déjà de ton vivant. Et je pense qu'il se passera peu de temps avant que quelqu'un ne succombe à cette attraction. » Un rire s'échappe alors de mes lèvres « Penses-tu je me demande vraiment si cela est possible ! » Je n'y croyais pas vraiment, oh bien sûr j'ai assez de confiance en moi pour dire que je ne suis pas au laideron fini c'est plus plutôt bien carrossé mais je ne considère pas non plus être un chien de concours je me considère plus comme un espèce de bâtard. Et soyons honnête les gens préfère les pur race ça pose moins de problème... Cependant Frédéric semble s'accrocher au bâtard que je suis ! Cela me touchais c'est vrai car lui il est bien balancé, un vrai petit chien de concours il s'approche de moi sans la moindre hésitation, posant ses deux main de chaque côté de mes jambes je suis prisonnier. Je me pince la lèvre Il semble perdre cette si belle assurance tout à coup, un bâtard l'intimiderait-il ? « Ce que je vais t'avouer va peut-être, et même certainement t'effrayer... Mais il y a un dessin que j'aimerais faire de toi, cela fait déjà quelques temps que j'y pense, depuis que je t'ai vu en faite. Mais ce dessin n'est pas commun et beaucoup de personnes en condamnent le style.. » Je crois comprendre ce qu'il désir et une boule se forme au fond de ma gorge, non pas que je ne veuille pas mais avouons que c'est un peu enfin comment dire... Certes c'est un artiste mais il me plait c'est pourquoi j'ai un peu gênant de me déshabiller pour lui. « Je voudrais te dessiner...nu, Liam. Si tu n'es pas d'accord, je ne t'en voudrais pas que tu me le refuse, je comprendrais même. Mais dessiner quelqu'un nu, c'est représenter de lui sa plus belle nature. Il n'y a rien de pervers là dedans. » J'avais donc bel est bien compris ce qu'il voulais. Là j'avais un peu peur je détourne le regard pour regarde le pont afin d'évider ses yeux de cocker Roh et puis merde il m'a eus le petit con. « Ça devrait être... possible j'ai rien contre à priorit mais tu veux faire ça où ? » Demandais-je en descendant de mon perchoir je retrouvant nez à nez avec lui le con il est plus grand que moi --' « Il faudrait juste évité que mon supérieur ai vent de cela si tu vois ce que je veux dire » Dis-je encore stressé mais après tout c'était à lui de me mettre à l'aise.
Sujet: Re: Je trace les heures qui nous séparent Sam 11 Aoû - 19:52
Liam&Frédéric– Les heures qui nous séparent
Je commençait sérieusement à en avoir assez de me torturer l'esprit avec toutes ces questions sur pourquoi sommes nous condamnés à rester pour l'éternité sur ce navire. D'ailleurs, qui ici est sûr et certain du fait que cette croisière durera éternellement ? Peut-être s'arrêtera-t-elle un jour, quand nous arriverons au bout du monde, une espèce de chute sans fin pendant laquelle plus personne enfin ne se réveillera. Un jour peut-être nous aurons tous droit au repos éternel. Mais pour le moment, nous devions nous contenter de ce que nous avions, et surtout nous en accommoder. Combien de personnes ont toujours rêvé d'avoir une seconde chance ? Que ce soit pour se faire pardonner, pour revivre un instant, pour déclarer sa flamme. Des centaines de personnes l'ont toujours souhaitée, on prié pour l'avoir. Nous, nous n'en voulions peut-être pas, mais nous l'avion bel et bien, alors autant ne pas la gaspiller et en profiter comme bon nous semblait.
Pour ma part, il y a des milliers de dessins que je n'ai pas encore réalisés, je n'ai même pas encore beaucoup peint, et pourtant j'aime mettre de la couleur. Et puis, il y a surtout Liam … Je ne sais pas encore si entre nous quelque chose de sérieux est possible, peut-être pas, mais je veux vivre un maximum de chose avec lui. Nous sommes tous les deux bloqués sur ce bateau pour une durée indéterminée et certainement très longue, alors j'avais du temps devant moi. Mais prendre mon temps ce n'est pas non plus ce que je préfère, alors je pense qu'attaquer tout de suite serait une bonne idée. Je sens mon cœur s'emballer quand j'entends son rire. Il a un rire doux et grave à la fois, un mélange de tons qui donnent pour résultat un son charmeur et envoûtant. Sans le savoir, Liam me charme totalement... « Penses-tu je me demande vraiment si cela est possible ! » Je ris doucement à mon tour en le regardant dans les yeux. Bon sang ses yeux … Je me damnerais pour les voir chaque jour. Quoique je pense que c'est bien ce qui m'arrive en ce moment d'ailleurs. Je me penche un peu plus vers lui, nos visages vraiment très près l'un de l'autre, une proximité qui ne me gène aucunement. « Et si je te disais que c'est vraiment possible ? Me croirais-tu Liam ? Parce qu'il se pourrait bien que, si tu y regardes de plus prêt, cela soit déjà le cas... » Lui dis je sur un ton emplit de mystère et en ajoutant par dessus ça mon petit clin d'oeil fait exprès pour les petits secrets. Oui, j'ai mes petites méthodes de séduction, et avoir la panoplie complète du mec super mystérieux est un atout à ne pas négliger. En général, ça fait fondre les filles, elles deviennent complètement accro. Mais pour les hommes, je ne sais pas si cela fonctionne de la même façon. Peut-être, après tout pourquoi ne pas tenter là de suite, alors que j'ai l'occasion parfaite juste devant moi ? Et si cela marche, alors je pourrais séduire plus facilement Liam, l'attirer à moi et, avec un peu de chance même, le garder pour la vie... Ou plutôt pour l'éternité. Je perds un peu d'assurance à ma demande, certes, mais en même temps, ce n'est pas tous les jours que je vais demander à quelqu'un qui m'attire physiquement si je peux le dessiner dans son plus simple appareil. Liam semble aussi gêné que moi. Il descend de son perchoir et je le vois se mordre doucement la lèvre. J'ai peur qu'il refuse, mais je ne pourrais que respecter sa décision.[color=seagreen] « Ça devrait être... possible j'ai rien contre à priori mais tu veux faire ça où ? »[/color=seagreen] Ah oui, bonne question de sa part.. Je ne peux m'empêcher de soupirer de soulagement néanmoins quand j'entends qu'il accepte, même si dans la voix je décèle bien plus de gène qu'autre chose. Je réfléchis quelques secondes avant de lui répondre avec un petit sourire. « On pourrait faire ça... peut-être dans ma cabine ? Je ne la partage avec personne pour le moment. Et puis comme ça on sera sûr que personne ne pourra nous déranger et ne nous prendra sur le fait. » Je me retrouve nez à nez avec lui. Il est plus petit que moi, je trouve cela terriblement mignon. « Il faudrait juste éviter que mon supérieur ai vent de cela si tu vois ce que je veux dire » Je souris à sa crainte qui est tout à fait justifiée. Je m'écarte quand même un peu car je pense que la proximité de nos corps le rend un peu nerveux, et je veux qu'il soit détendu et confiant. Poser nu est une expérience qui peut laisser des marques, je veux qu'il soit sûr de lui et qu'il ait confiance en moi. J'aimerais prendre ses mains dans les miennes pour avoir un contact physique avec lui mais je sais que nous sommes en public, et que cela serait nous mettre dans une situation délicate si on nous voyait, et certainement aussi si on reconnaissait le jeune télégraphe en train de tenir la main d'un autre homme. Je prends ma voix la plus sincère pour m'adresser à lui. « Liam, je ne veux pas que tu ai peur. Si tu acceptes vraiment que je te dessine ainsi, crois moi sur parole, je n'en parlerais à personne. Ce sera juste toi, moi et notre secret, rien d'autre. Si tu ne te sens pas la force de poser nu, alors je peux très bien simplement faire un portrait de toi. Si tu es sûr de toi et que tu le fais, crois moi tu ne le regretteras pas. Je veux que ce soit une expérience agréable pour toi, quelque chose que tu n'oublieras jamais. Et si jamais on commence, et qu'à un moment tu veux arrêter, alors tu n'auras qu'à me le dire et on arrêtera tout, je te le promets, je ne te forcerais pas. » Je lui souris de la façon la plus rassurante possible. Ce garçon est juste un ange perdu au milieu de toutes ces âmes en peine, et ça me fait de la peine, car sa place n'est pas ici, mais avec les vivants. « Est ce que tu veux qu'on fasse ça maintenant ? Ou si tu as encore besoin de temps pour réfléchir il n'y a pas de soucis hein, moi je veux vraiment que tu le fasses par plaisir et par envie, pas parce que je te dois un dessin. Mais je vais pas te cacher que je suis prêt à me mettre à genoux devant toi pour que tu acceptes » ajoutais je en riant et me frottant la nuque, un peu gêné.
B-NET
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Sujet: Re: Je trace les heures qui nous séparent Dim 12 Aoû - 0:09
Je trace les heures qui nous séparent Ft. Frédéric A. Luciano
C'est vrai que c'est idiot de se torturer l'esprit, autant profiter de ce que nous avons après tout peut être vivrons-nous éternellement, peut être pas si ça se trouve nous pouvons mourir demain. le mieux serais de vivre chaque joue comme si c'était le dernier et d'adopté la maxime Carpe Diem afin de ne plus jamais rien manquer ou regretter. Mais c'est si difficile de ne pas penser à ce que nous avons perdu. Certes je n'ai pas perdu grand chose plus rien ne me retenait en Irlande, cependant je sais que j'ai perdu un futur bien plus beau en Amérique car tout es toujours plus beau là-bas, plus grand, il y aurait eut du travail en suffisance Benjamin aurait pus aller à l'école comme un petit garçon normal. Mais je n'aurais peut être pas retrouvé Alex et jamais je n'aurais pus parler à Frédéric. Comme quoi il y a le pour et le contre. Honnêtement c'est plus pour mon fils que je regrette parce que il ne sera jamais grand et ça e fait beaucoup de peine. Moi, en fin de compte j'ai de quoi me... distraire j'ai d'ailleurs un camarade de jeux idéal . « Et si je te disais que c'est vraiment possible ? Me croirais-tu Liam ? Parce qu'il se pourrait bien que, si tu y regardes de plus prêt, cela soit déjà le cas... » Ce côté mystérieux est à croquer je me mords la lèvre inférieur ce clin d'oeil, ce regard veut-il vraiment que je ne me contrôle plus ? Mon coeur s'affole au fond de ma poitrine je le sens palpiter comme un fou.Comment est ce qu'un home aussi attirant peut-il devenir en un claquement de doigt aussi beau et mystérieux ? Je suis totalement envouté par ce tour de magie, ainsi il pourrait tout obtenir de moi même m'embrasser sur le champ devant tout le monde. « Vraiment ? Serais-je donc aveugle à ce point ? » Demandais-je d'un air faussement interrogateur. J'espère que c'est lui, je pense que c'est lui mais un doute subsiste suite à son petit air si mystérieux. Il parvient à faire ce qu'il veut de moi ! Je ne me suis jamais senti aussi, comment dire, démuni face à un jeune homme. Je me sentais déjà totalement mis à nu !
Bon pour être totalement sincère poser nu m'avais déjà effleuré l'esprit lorsque je n'avais plus un sous en poche car malgré tout la société est perverse et puis j'étais très jeune à peine vingt ans et j'aurais pus passé pour bien plus jeune à cette époque, cependant, au même moment mon employeur a accepté d'augmenter ma paye afin que je puisse joindre les deux bout et heureusement je n'ai pas eus à me déshabiller devant un objectif ou devant un peintre mais là c'était différent il ne s'agit plus de gagner ou non de l'argent, il s'agit de poser en faveur de l'art et aussi pour lui pour cet artiste qui fait palpiter mon coeur de mort-vivant je ne saurais dire si cela est réellement un bonne idée mais en même temps on n'a qu'une éternité pas vrai ?! Et puis comme je l'ai dit il m'est terriblement difficile de lui refuser quoi ce que soit même si cela me met quelque peu mal à l'aise vu qu'il me plait énormément. Mais encore une fois, je ne peux rien lui refuser plus maintenant. « On pourrait faire ça... peut-être dans ma cabine ? Je ne la partage avec personne pour le moment. Et puis comme ça on sera sûr que personne ne pourra nous déranger et ne nous prendra sur le fait. » C'est une idée logique et intelligente t puis une cabine de seconde classe, c'est toujours plus grand qu'une cabine d'un membre de l'équipage surtout que dans ma cabine vit un petit garçon de six ans. Je n'ose même pas imaginer la scène s'il nous surprenait je me demande bien ce que je pourrais lui dire, rien que de l'imaginer j'en ai des frissons d'effrois. Pauvre enfant. En plus sa garce de mère se servirait de cela pour me l'enlever et bien que parfois je me dit que c'est ce qu'il y aurait de mieux pour lui et bien je ne peux m'y résoudre parce que ce petit ange je l'aime tellement fort que je ne supporterais pas de le perdre. « Si cela ne t'ennuie pas je trouve l'idée bonne, ainsi nous ne risquons nullement d'être importuner par quoi que ce soit ça évidera les mauvais traits » Dis-je en lui offrant à mon tour un clin d'oeil et un sourire en coin dont j'avais le secret c'était mon arme de séduction par excellence. Personne n'y avais encore jamais résisté c'est assez incroyable je trouve un simple sourire et les femmes tombaient comme des mouches dans du miel et tous les hommes à tendance homosexuel également, du moins jusqu'à maintenant.
Alors que je sautais de mon perchoir je me retrouve presque collé contre le coeur du jeune et beau seconde classe je me sens quelque peu impressionné et légèrement mal à l'aise il semblait avoir tant d'assurance et moi si peu c'est très déstabilisant. Je ressens également une envie folle de l'embrasser ou en tout cas d'avoir un contacte physique avec lui mais ici, c'est impossible trop de monde pourrais nous voir et si c'est le cas je ne parviendrais certainement pas à l'assumer et je m'éloignerais de plus possible de mon cher Frédéric ce qui me ferait vraiment beaucoup de mal. Je préfère donc évité out contacte du moins en public, ce qui se passera dans sa cabine dépendra de lui. Il prends alors un voix douce et des plus sincère,rien à voir avec cette voix mystérieuse et séductrice. « Liam, je ne veux pas que tu ai peur. Si tu acceptes vraiment que je te dessine ainsi, crois moi sur parole, je n'en parlerais à personne. Ce sera juste toi, moi et notre secret, rien d'autre. Si tu ne te sens pas la force de poser nu, alors je peux très bien simplement faire un portrait de toi. Si tu es sûr de toi et que tu le fais, crois moi tu ne le regretteras pas. Je veux que ce soit une expérience agréable pour toi, quelque chose que tu n'oublieras jamais. Et si jamais on commence, et qu'à un moment tu veux arrêter, alors tu n'auras qu'à me le dire et on arrêtera tout, je te le promets, je ne te forcerais pas. » C'est tellement gentil de sa part de me dire cela surtout avec cette voix si rassurante je ne pense pas que je pourrais me sentir vraiment très à l'aise mais ses parole m'aide à me dire que c'est une expérience unique et qu'il en a pleine conscience. « Est ce que tu veux qu'on fasse ça maintenant ? Ou si tu as encore besoin de temps pour réfléchir il n'y a pas de soucis hein, moi je veux vraiment que tu le fasses par plaisir et par envie, pas parce que je te dois un dessin. Mais je vais pas te cacher que je suis prêt à me mettre à genoux devant toi pour que tu acceptes » En en plus il est gêné c'est plutôt agréable à voir. un léger sourire se dessine sur mon visage je remarque qu'il possède le même tic que moi, se frotter la nuque lorsqu'il n'ai pas à l'aise c'est adorable. « Je... J'en ai envie Frédéric. Peut être pourrais-tu me guider jusqu'à ta cabine et m'expliquer comment tu désir me dessiner dans quelle position. Nous y serons plus au calme et... à l'abri des regards indiscrets. » Répondis-je afin de lui redonne un peu d'assurance. Et pour lui prouver que je ne me moquais nullement de lui je fais quelque pas en direction des escaliers. Puis je le suis dans le ventre de ce monstre d'acier jusqu'à son lit, je veux dire sa cabine. J'avoue que l'idée de découvrir sa couette me rendais quelque peu tendu.
Sujet: Re: Je trace les heures qui nous séparent Dim 12 Aoû - 1:29
Liam&Frédéric– Les heures qui nous séparent
Mon idée d'aller dans ma cabine pour faire ce fameux dessin était logique, je n'allais pas non plus lui dire de poser nu contre le bastingage, à la vue de tous. Cela serait tellement indécent … Bon il est vrai que pour moi cela serait quelque chose...d'excitant je dirais, de le voir nu en plein air, avec la mer en fond derrière lui et peut-être, un beau coucher de soleil... Il serait si beau … Je pense que je pourrais le dessiner nu ainsi une fois que je me serais fait une image de son corps entier. Je ne pourrais pas le dessiner nu sans l'avoir vu au moins une fois en tenue d'Adam. Je risquerait de ne pas mettre un grain de beauté qui existerait et dont je n'aurais pas idée, ou alors une petite tâche de naissance quelque part... Je voulais que mes dessins représentent la perfection, se rapprochent au plus possible de la réalité du modèle que je dessinais. Aussi je n'aurais jamais pris le risque de dessiner quelqu'un de vivant nu sans l'avoir vu avant. Le fait que Liam accepte que je le dessine ainsi me faisait réellement plaisir. J'avais vraiment très envie de le dessiner de la plus belle des façons. Le nu est pour certains, de l'art pervers. Pour moi, le nu est juste la plus belle et la plus noble façon de représenter quelqu'un. Car c'est le montrer aux autres sans défense, sans artifices, sans carapace, c'est le dévoiler au monde tel qu'il est et pas comme il chercher à paraître dans la société.
Bien évidemment, pour Liam, je ne montrerais jamais les dessins que je ferais de lui à qui que ce soit. Je les garderais précieusement, et je lui offrirais celui que je ferais de lui tout à l'heure... Car nous sommes en chemin pour ma cabine, il a tenu à ce qu'on y aille tout de suite. Quand il m'a avoué avoir vraiment envie de poser nu pour moi, j'ai sentit mon cœur se gonfler de fierté et de joie. J'attendais depuis des jours entiers que l'occasion se présente. Et nous voilà donc devant ma cabine.. Mon cœur accélère sous le trac quand j'ouvre la porte de ma petite chambre. J'entre en premier et laisse Liam me suivre à l'intérieur. Il y fait deux pas, quasi timidement, et reste sur le côté. Je regarde alors l'état de ma chambre. Mon lit n'est pas fait, mon chevalet est posé en plein milieu avec un draps par dessus tâché de fusain noir et de peinture colorée, des tubes de peintures traînent au sol, ainsi que des crayons, des pinceaux et d'autres outils pour mes œuvres. Je rougis légèrement devant ce petit bordel qui m'appartient. Je vois même un sous vêtement traîner en dehors de ma valise. Je me précipite dessus pour le ranger avant de me redresser. Je rougis en regardant Liam et me frotte légèrement la nuque. « Voilà... Désolé, c'est vraiment pas rangé mais la vie d'artiste est pas très organisée non plus …. Et on va dire que je suis pas le plus ordonné des peintres... Donc voilà, je m'excuse encore, j'ai jamais rien rangé … » Je me déplace alors vers moi lit, écarte les couvertures et enlève toutes les petites choses que j'ai en pagaille dessus, des brouillons de dessins, des feuilles chiffonnées, des petits crayons et carnets, et je pose le tout sur mon bureau, toujours en pagaille. Mais j'aime ce désordre qui règne toujours là où je vis. Ca me fait me sentir bien, un peu comme chez moi. Et puis quand tout est bien rangé à sa place, je ne retrouve jamais mes affaires. Il faut que tout soit éparpillé autour de moi pour que je m'y retrouve. Je suis comme ça. De toute façon, je n'ai jamais été comme les autres, j'ai toujours été différent. Et je suis fier de cet différence de comportement. Car tout le monde se ressemble, et ça c'est pas une vie. Je me tourne alors de nouveau vers Liam qui n'a pas bougé. Je m'approche et lui souris pour le mettre en confiance. « Tu peux avancer, je ne vais pas te manger … Pour une première fois, je pense que tu seras mieux sur le lit, couché, que debout ou assit. Un dessin est long à réaliser alors je pense que tu devrais adopter une pose confortable pour toi et j'ai pensé que couché sur le lit cela ne serait pas mal du tout... Après bien sûr, c'est comme toi tu le sens » Il a l'air tout intimidé, je trouve ça terriblement mignon, personnellement. Je lui souris avant de tendre les bras pour lui retirer avec douceur son petit gilet et ainsi donc le faire sortir de ses pensées. Je prends le gilet et le fait glisser le long de ses bras. Quand ma peau effleure la sienne, mon cœur s’affole et un énorme frisson parcourt mon échine. C'est la première fois que je ressens une telle sensation. C'est vraiment étrange de frissonner ainsi, surtout au simple contact léger et éphémère de quelqu'un, mais c'est aussi terriblement plaisant et agréable. A tel point que j'ai envie de recommencer et de voir ce que cela donnerait si mes lèvres se posaient sur les siennes … En rêve, j'ai déjà embrassé Liam des dizaines de fois, plus ou moins chastement. Mais jamais en me réveillant je n'avais le souvenir de ses lèvres contre les miennes. Étaient-elles chaudes et douces ou tout autrement ? Je n'en avait aucun idée, malheureusement pour moi, mais j’espérais de tout mon cœur le découvrir un jour prochain et pas trop éloigné dans le temps. Je prends donc ce gilet et le pose avec précautions sur une chaise inutilisée dans le coin de la chambre. « Tu hum... tu peux te mettre à l'aise, je vais installer mon matériel et prendre ce dont j'ai besoin. »
B-NET
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Sujet: Re: Je trace les heures qui nous séparent Dim 12 Aoû - 12:16
Je trace les heures qui nous séparent Ft. Frédéric A. Luciano
Je le suis avec une certaine peur au fond du ventre je l'admets ça reste quelque chose qu'on ne fait pas tous les jours et comme toutes choses inconnu je stresse avant de les faire. Mais en même temps je dois dire que j'étais impatient car la façon dont il a souri lorsque j'ai accepté m'a totalement retourné j'avais jamais vu un aussi joli sourire et puis en acceptant j'espérais le revoir car pour moi il n'y a pas de plus belle chose au monde qu'un sourire sincère et là je viens d'en voir un magnifique. je me pince la lèvre en le suivant des les couloirs du paquebot et je ne peu m'empêcher de détailler son corps de dos. sa nuque longue et fine, son dos légèrement cambré et son....postérieur une vraie merveille de la nature ! Si un jour je rencontre ses parents il faudra que je les félicite je n'en ai jamais vu d'aussi.... parfait et j'avoue que vu mon parcours amoureux j'en ai vu quelques uns mais jamais aussi... charmant.
Je relève immédiatement le regard lorsque je le vois s'arrêter devant une petite porte. Sa cabine sans doute. Il ouvre la petite porte avec sa clé puis me laisse entrer à sa suite et remarquer l'incroyable bordel qui règne dans ma pièce. « Voilà... Désolé, c'est vraiment pas rangé mais la vie d'artiste est pas très organisée non plus …. Et on va dire que je suis pas le plus ordonné des peintres... Donc voilà, je m'excuse encore, j'ai jamais rien rangé … » On aurait dit moi dans ma garçonnière avant que je n'ai dut prendre en charge Benjamin Je ne peux donc rien dire et puis ça prouve que lui aussi à des choses plus importante à faire que ranger sa cabine. Je le vois se précipiter su son lit afin de ramasser des tonnes de papiers, carnets, crayons ou fusain. Je me penche afin de ramasser des tubes de peinture qui trainais et j'en rebouche un correctement avant de les lui tendre gentiment « Ça évitera les accidents je n'aimerais pas repeindre les mure de ta cabine avec mes grands pieds maladroits et puis ne t'inquiète pas je ne suis pas très rangement moi non plus » Dis-je en souriant. Bien que malgré tout je ne me sente pas très à l'aise mon coeur bat très très vite et j'ai un peu le trac c'est si exigüe nous serons si proche. Cela m'impressionne et j'ai un peu peur. je reste donc dans le point pendant que la tornade Frédéric finit de sévir dans la petit pièce afin de faire un peu d'ordre. Je ne dis plus un mot je regardant simplement faire. Posant négligemment ses affaires sur un petit bureau don on ne voit même plus la couleur. C'est une jolie cabine cela dit, ce avec des esquisses accrochées au mur simplement mais très accueillant ça me faisait penser à ma propre cabine mais au lieu de dessins c'est plus des photographies. Quoi que c'est vrai que Benjamin commence à m'offrir des dessins du coup je les affiche aussi.
« Tu peux avancer, je ne vais pas te manger … Pour une première fois, je pense que tu seras mieux sur le lit, couché, que debout ou assit. Un dessin est long à réaliser alors je pense que tu devrais adopter une pose confortable pour toi et j'ai pensé que couché sur le lit cela ne serait pas mal du tout... Après bien sûr, c'est comme toi tu le sens » J'ai un très léger sursaut à peine perceptible et lui sourire en retour en faisant un pas vers lui. Il s'avance lui aussi en déboutonnant mon gilet mon coeur s'affole je le regarde faire il y va lentement c'est... agréable il le retire tout en douceur et c'est à que nos mains s'effleurent et c'est comme si j'avais reçu un décharge droit dans le coeur je mords la langue c'était agréable il semblait avoir la peau douce de ce que j'ai senti « Oui c'est une bonne idée je préfère aussi » Répondis-je doucement en regardant le lit, au moins il n'aura cas me sauté dessus je serais déjà sur un lit... Oui bon ok je me tais. Je détache mon noeud papillon et enlève mes bretelle mon coeur ne cesse de battre comme jamais. Je sors ma chemise de mon pantalon et la déboutonne avant de la retirer j'avais plus que mon dessous de chemise et mon pantalon. Je dépose la chemise sur la chaise retire mes chaussures ainsi que mes chausse qui sot accrochée à un porte chaussettes je le retire d'ailleurs avant d'enlever mon pantalon et de finir en sous-vêtement devant Frédéric.
Je me gratte nerveusement la nuque avant de retirer mon dernier vêtement d'en haut puis de laisser tomber mon caleçon. Voila j'suis tout nu c'est affreusement gênant sur le moment mais je prends sur moi car j'ai accepté. Je m'installe sur le lit doucement. J'essaye quelque positions mais ne fin de compte je ne sais absolument pas laquelle est la plus appropriée elle son tout confortable mais je ne sais pas laquelle donne le mieux. « Dis-moi quand la pose et bonne » Demandais-je en essayant encore une ou deux jusqu' à ce qu'il me stoppe et là je bouge plus. Mon coeur bat la chamade j'ai très chaud et finalement j'ai agréable...
Sujet: Re: Je trace les heures qui nous séparent Dim 12 Aoû - 16:09
Liam&Frédéric– Les heures qui nous séparent
Le savoir derrière moi durant le trajet faisait se former une boule de chaleur agréable dans mon ventre. Je sentais son regard sur moi, me détaillant, ses yeux sur ma nuque me faisaient frissonner, sur mon dos me donnaient chaud, et j'ai même eu l'impression de sentir son regard plus bas sur moi. J'ai pensé au départ que je me faisais des idées, qu'il ne regardait certainement pas mes fesses. Mais je sentais pourtant cette sensation qui me faisait dire qu'il y avait jeté au moins un coup d'oeil. J'ai été flatté sur le coup. Mais un peu gêné aussi. Ce n'est pas tous les jours que quelqu'un observe cette partie de mon corps, alors je suis loin d'être habitué. Mais je dois avouer que j'ai aimé ça, qu'il me regarde, m'observe, me détaille. C'était des plus plaisant... Nous rentrons dans ma cabine et je me presse de mettre un peu d'ordre, surtout à ranger ce qui ne dois pas être vu et débarrasser aussi le lit. Il fallait quand même que je range un minimum ma cabine. Je trouvais cela terriblement impoli de le mener dans une pièce si peu ordonnée. Alors je m'affairais à remettre de l'ordre dans la petite chambre. Bon elle n'était pas petite, c'était quand même une cabine de seconde classe, donc assez spacieuse et confortable, décorée avec goût. Mais elle n'avait pas tout le luxe des cabines de première classe. Je me retourne alors et tombe face à Liam qui me tends quelques tubes de peintures qui traînaient. « Ça évitera les accidents je n'aimerais pas repeindre les mure de ta cabine avec mes grands pieds maladroits et puis ne t'inquiète pas je ne suis pas très rangement moi non plus » J'ai un petit rire gêné et prends les tubes de peintures que je pose dans une petite mallette près du chevalet. Je les range à leur place, en respectant une certaine harmonie des couleurs. « Tout de même, ce n'est pas très correct de t'emmener ici et de ne rien avoir préparer la cabine à l'avance … Mais je dois avouer que je suis très bien avec mon petit bazar. Je me sens moins seul si tu n'es pas très rangement alors, les gens ici sont tellement...minutieux que ça me donne mal à la tête. » Je finis d'arranger un peu l'espace, préparant le lit et expliquant donc à Liam que cela serait plus agréable pour lui d'être allongé. Un dessin ne se fait pas en deux minutes. Il faut du temps à l'artiste pour saisir la nature de son modèle, pour retracer chacune de ses courbes, retranscrire sur le papier toute la beauté du modèle, chaque détail, chaque étincelle dans ses yeux. Il faut être patient et appliqué pour le corps, méticuleux pour la courbe de chacun des cheveux. Il ne faut pas avoir honte de dessiner chaque partie du corps, même intime. Les femmes ont un corps long et fin, élégant, tout est fait dans la grâce et la finesse. Il faut donner à chaque courbe une certaine délicatesse, et rendre la peau douce sur papier, donner l'impression qu'elle serait plus envoûtante au toucher que n'importe quel tissu. Les hommes ont un corps plus fort, mince aussi, mais musclé, dans la force et la virilité.
Je donne alors à Liam la « permission » de se déshabiller, en lui retirant son gilet. Sa peau est si douce quand je l'effleure... Et ce n'est que la peau de ses mains et ses bras, je me demande comme est la peau de son corps entier, son torse, son dos, ses jambes... Je pourrais la voir, mais pourrais-je la toucher ? Je ne demande que ça, la parcourir, la caresser de mes mains. Peut-être s'endormira-t-il sur le lit et pourrais-je ainsi en profiter pour l'effleurer quelques fois sans l'éveiller... Ce n'est pas correct comme agissement, mais qui parviendrait à résister à une vue si tentante ? Moi le premier je succombe sans hésiter. Je lui souris de façon à le rassurer encore un peu alors que je le vois défaire son nœud de papillon. Je me tourne pour le laisser se déshabiller sans avoir à sentir mon regard et vais préparer mes affaires. Je prends un fauteuil et approche une petite table d'appoint sur laquelle je dispose mes fusains, mes crayons et de quoi les appointer, c'est à dire un petit couteau suisse que m'a offert mon frère. Je prends, dans un tiroir de mon bureau, mon carnet de dessin avec une couverture de cuir. C'est un cadeau de ma sœur avant mon départ. Je me suis promis de ne l'utiliser que pour des dessins spéciaux, et aujourd'hui était l'occasion idéale pour bien le commencer. Je me retourne et voit Liam s'installer sur le lit. Je reste littéralement paralysé par la vue de son corps qui est tout simplement parfait... Finement musclé, la peau claire, des muscles parfaitement dessinés, le « V » plongeant de son aine, ses jambes tout simplement parfaites... J'ai une bouffée de chaleur avant de m'asseoir face au lit, le laissant trouver une position dans laquelle il se sente bien. « Dis-moi quand la pose est bonne » J'acquiesce simplement par un signe de tête. Je rougis en le regardant bouger, observant ses muscles bouger avec une certaine grâce et douceur. Il est juste... affolant, cet homme est affolant de sensualité, son regard ses gestes, tout incite au pêché de la chair et de la luxure. Je tends alors doucement la main. « Ne bouge plus... Voilà comme ça et..ta main replace la sur ton ventre, voilà et l'autre plus près du visage... » En même temps que je lui donne des directives, je fais quelques gestes pour lui faire comprendre. Il est couché sur le dos, une jambe repliée plus haut que l'autre. La main face à moi repose sur son ventre, et son autre bras est replié sur l'oreiller au dessus de sa tête. « Bien maintenant tourne un peu la tête vers moi, regarde moi... Parfait.. Détends ton visage.» Je prends une grande inspiration pour essayer de chasser la rougeur de mon visage et me penche un peu en arrière dans le petit fauteuil. Je prends mon carnet sur mes genoux et attrape un fusain correctement appointé. Je ne dois pas hésiter au premier coup sur la feuille, sinon je n'arriverais à rien. Je le regarde entièrement avant de donner les premiers coups sur la feuille blanche, commençant par tracer les premiers traits de son visage, la carrure de son épaule, sa main au dessus de sa tête sur l'oreiller. J'ai les joues encore rougies, mais je suis concentré.
B-NET
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Sujet: Re: Je trace les heures qui nous séparent Dim 12 Aoû - 18:00
Je trace les heures qui nous séparent Ft. Frédéric A. Luciano
Le voir ainsi tournoyer dans cette cabine afin de plus ou moins ranger la pièce j'ai l'impression qu'il n'est pas très à l'aise le pauvre mais je ne pourrais rien dire moi avec Ben c'est pareil la cabine est un vrai bordel et pourtant j'essaye de maintenir un certain ordre, c'est moi le père et pourtant je fait tout autant de bordel et c'est souvent lui qui viens se plaindre qu'il ne retrouve plus ses jouets. Du coupe je ne peux qu'aider le seconde classe à mettre un peu d'ordre dans cette pièce ou il vivais et puis je n'ai pas fait grand chose c'est simplement vissé correctement le bouchon d'un tube de peinture ce n'ai pas très impressionnant. « Tout de même, ce n'est pas très correct de t'emmener ici et de ne rien avoir préparer la cabine à l'avance … Mais je dois avouer que je suis très bien avec mon petit bazar. Je me sens moins seul si tu n'es pas très rangement alors, les gens ici sont tellement...minutieux que ça me donne mal à la tête. » J'ai un sourire attendri afin de le rassurer il n'a pas à s'inquiéter ce n'ai vraiment pas grave, si nous avions été un peu plus proche j'aurais sans doute caresse sa joue puis sa main et je l'aurais tendrement embrasser. Rien qu'a l'idée mon coeur s'emballe de manière très inconvenante. « Ne te formalise pas, ce n'était pas prévu tout ça et puis un un peu de désordre n'a jamais fait de mal à personne » Dis-je doucement avec toujours un sourire bienveillant. Il prend alors les tubes qu'il range vers son chevalet puis revint vers moi, m'incitant à me dévêtir en retirant simplement mon gilet. Pour la suite je me débrouille seul retirant un à un chaque vêtement que je porte pour finir entièrement dénuder dans la moindre protection.
Je frissonnais je me sentais tellement mal à l'aise debout dans cette cabine et tout nu que j'étais tout rouge je me sentais tellement ridicule d'ailleurs que je prends l'initiative d'aller m'allonger sur son lit avec des draps blanc immaculés, un peu froissés certes mais d'une blancheur parfaite. Pour le moment en tout cas. Je respire plus calmement une fois allonger il ne me regarde pas encore. Mais lorsqu'il se retourne un frisson parcoure mon échine son regard sur mon corps nu il me détaille je le sais il m'observe et il regarde toute les partie de mon corps y comprit mon fameux service trois pièces et je le laisse totalement fait. je me surprends à aimer son regard sur moi et l'imagine en train de caresser chaque parcelle de ce corps je m'en mords la langue pour évité de trop "imaginer" Son regard ne cessait pas c'était comme si il s'était gelé sur place mais je suis prêt à parier que à l'intérieur ça bouillonne car ses joue sont écarlates. Et afin de l'aider à ce sortir de cette sorte de trans je lui demande simplement quand la pose que je prendrais serait bonne. Cela le sors d sa petite rêverie. Je pose alors ma main sur mon ventre que je remonte sur mon torse et là il fait un geste pour m'arrêter, je ne bouge plus. « Ne bouge plus... Voilà comme ça et..ta main replace la sur ton ventre, voilà et l'autre plus près du visage... » je lui obéis remontant ma main près de mon visage et descendant l'autre sur mon ventre... aïe mon ventre c'est un des endroit les plus sensible de mon anatomie cependant je pense au froid glacial de l'océan sur lequel nous voguons ainsi rien ne peu se voir cependant je ne peux m'empêcher d'avoir des idée plutôt osée quand à la situation. je l'imagine faire tomber son dessin et venir sur moi comme un prédateur ou alors une idée plus sauvage il arrache sa propre chemise avant de me sauter dessus comme un bête.... Ou alors... C'est la plus sensuelle des trois. je m'endors et il vient me toucher dans mon sommeil c'est une idée très... excitant et réalisable ne plus... « Bien maintenant tourne un peu la tête vers moi, regarde moi... Parfait.. Détends ton visage.» Sa voix me fait sortir de mes perverses pensée et je tourne la tête ers lui le regardant dans les yeux. Il semble si mal à l'aise. Il ne faut pas, vraiment. ça devrais plutôt être moi qui devrais être mal à l'aise mais je ne le suis plus mais ce rouge sur ces joues lui va à ravir. « Le... rouge aux joues te vas très bien » Je lui souris de manière séductrice avant de reprendre mon sérieux afin qu'il ne rate pas mon visage et que je ne le déconcentre pas.
J'avoue que c'est très long pas mal de temps à passé depuis que je suis couché, offert à lui et j'avoue que mon cerveau bouillonne d'idée plus ou moins "correctes" j'ai d'ailleurs décidé de me jouer de lui car j'ai envie de savoir de quoi il est capable c'est pourquoi depuis quelques minute je joue la comédie, mimant un certaine fatigue. Du coup le fait que je ferme les yeux finalement ne le surprend pas mais évidemment je dors absolument pas
Sujet: Re: Je trace les heures qui nous séparent Dim 12 Aoû - 22:37
Liam&Frédéric– Les heures qui nous séparent
Je m'appliquais comme jamais je ne l'avais fait dans mes précédents dessins. Je voulais que celui ci soit absolument parfait. Je réfléchissais à chaque trait avant de poser mon fusain, je calculais au millimètre près. Il fallait qu'il soit parfait. Je levais de temps en temps le regard de ma feuille pour me remémorer un trait de son visage, la courbe de ses lèvres ou de ses muscles. En reproduisant son visage, je me suis beaucoup attardé sur les yeux que je voulais pleins de vie, et sur les lèvres que j'avais une folle envie d'embrasser. Elles étaient parfaites, je m'en rendais compte en les dessinant. Elles avaient des courbes complètement féminines, gracieuses et harmonieuses. Jamais je n'ai croisé un homme avec une bouche si attirante. Une bouche qui est un véritable appel aux baisers longs et fougueux, passionnés, peut-être même amoureux. Des lèvres qui ne demandent que tendresse et passion. Des lèvres que j'aimerais plus que tout satisfaire. J'entends alors le compliment de Liam, quand il me dit que le rouge aux joues me va très bien. Il est vrai que j'ai encore les joues rougies car mon regard erre sur son corps nu. J'ai un petit sourire gêné et me mords la lèvre inférieure en finissant la courbe de ses doigts sur l'oreiller. « C'est la concentration et la passion que je mets dans mon dessin qui me font rougir.. Détends ton visage, reste calme, ne sourit pas. » Lui dis je en lui souriant pour le rassurer. Je continue de retracer chacun de ses traits, de ses courbes. Je prends un vrai plaisir à représenter son corps parfait.
Chacun de mes traits est une vengeance sur le temps. Le temps que nous avons mis à nous recroiser après le naufrage. Le temps que nous mettrons à nous rapprocher. Chacun de mes traits de fusain sur le papier est fait pour raccourcir le temps qui nous sépare encore. Car j'ai bien l'impression que ma présence le rend timide, mal à l'aise, et j'ai envie de croire que c'est parce que je l'attire, qu'il ressent quelque chose pour moi. Ses regards sur moi dans le couloir me le confirmeraient presque. J'ai toujours cette once de doute qui subsiste en moi. Au moindre faux pas, il peut partir en courant loin de moi et tout faire pour m'éviter toute l'éternité, et je ne veux pas que cela arrive. Je ressens des choses bien trop fortes pour lui. Avec la majorité de la population croyant en un Dieu tout puissant, le fait d'aimer une personne du même sexe est considérer comme un pêché capital. Aimer un homme alors que j'en suis un me condamne, aux yeux de tous, aux tourments de l'enfer, à la douleur de l'éternel, aux flammes ardentes des ténèbres. Mais je n'en ai que faire. Je vogue sur un bateau en étant déjà mort, alors c'est certainement que je suis déjà bien maudit, comme toutes les personnes présentes ici. Alors, si je suis maudit, un peu plus ou un peu moins, qu'est ce que cela pourra bien changer à ma vie actuelle ? Autant tomber dans le pêché et en profiter. Qui pourra me maudire ? Qui osera le faire ? Si une personne ose me condamner à l'enfer, je lui répondrais bien haut et fort que nous sommes tous ici maudits à voguer pour l'éternité sur ce bateau, et je lui ferais bien remarquer qu'il ou elle aussi est maudit(e), au même titre que moi.
Alors que le temps passe, que les heures défilent, mon dessin avance. Déjà, la silhouette légère de Liam est entièrement visible. J'ai terminé le décor, son visage, son torse, ses bras et ses mains. J'en suis rendu à dessiner une partie plus intime... Je n'ai pas le choix, mes yeux doivent s'attarder sur son anatomie et je me demande bien si il n'est pas mieux monté que moi... Aurait-il été aussi gâté par dame nature que je l'ai été ? Je n'aurais jamais pensé ça de lui, à voir son visage on ne dirait pas. Comme quoi, on ne peut pas dessiner entièrement nue une personne si on ne connaît que son visage. Je surprend aussi un petit grain de beauté sur son bassin. Un petit point que j'ai envie de retracer du bout de mes lèvres et de ma langue... Mes pensées m'emportent vers des images très peu catholiques au fur et à mesure que je dessine. Heureusement que personne ne peut voir ce à quoi je pense, car je nous vois, Liam et moi, dans des positions si obscènes qu'elles en feraient rougir toutes les bonnes sœurs et convertiraient toutes les personnes croyantes aux délices de la luxure. Peut-être même que des prêtres en deviendraient homosexuels...
Alors que je lève une nouvelle fois les yeux vers Liam, je le vois peu à peu succomber à la fatigue. Je souris, attendrit par son visage si angélique quand ses paupières s'abaissent pour ne plus s'ouvrir. Sa bouche est légèrement entre-ouverte pour laisser passer un souffle régulier que je devine aussi chaud et doux. J'aimerais le sentir sur ma peau... Je finis enfin mon chef d'oeuvre. Le dessin est juste..parfait... Je le termine en étalant un peu le fusain pour créer quelques ombres qui le rendent encore plus réaliste. Puis je le signe de mon prénom. J'aimerais écrire une date, mais je ne sais pas si le temps passe réellement désormais. Alors je marque simplement « en ce jour », en dessous de ma signature. Je rabats la pochette de cuir pour laisser le fusain bien sécher et pose mon carnet sur la table d'appoint. Je regarde Liam qui semble dormir du sommeil du juste. Il est tellement beau... Mon cœur s'emballe d'une douce manière. Je me lève et vient m'asseoir sur le bord du lit. Plus par politesse, je rabats un drap fin et léger sur le bas de son corps. Mais son torse me reste encore totalement découvert. J'ai tellement envie de le caresser … Il dort, dois-je oser ? Je ne résiste pas et ma main vient effleurer la courbe de son visage, passant d'abord dans ses cheveux doux. Je caresse sa joue. Sa peau est douce comme la soie et doucement chauffée par les faibles rayons de soleil de cette fin de journée. Mes doigts survolent ses lèvres, je sens son souffle doux et chaud, exactement comme je l'avais imaginé... Puis doucement ma main effleure son torse et vient se poser juste au dessus de son cœur que je sens battre à un rythme régulier. Le mien s'emballe et une douce chaleur l'irradie. Pris dans le feu de l'action, par l'ambiance devenue douce et presque amoureuse, je me penche sur lui pour déposer un baiser léger sur son front, puis un autre encore plus léger qu'un alizé au coin de ses lèvres...
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Sujet: Re: Je trace les heures qui nous séparent Lun 13 Aoû - 0:54
Je trace les heures qui nous séparent Ft. Frédéric A. Luciano
Son application faisait plaisir à voir il semblait si concentré et si absorbé par son travail, cela me flattait en fait de me dire que ce beau jeune homme était ne train de mettre tous son art à mon service. J'en était touché. Jamais personne n'a fait autant ne s'est autant investi juste pour moi, sauf ma maman quand elle m'a mis au monde mais bon ça compte pas vu qu'il y avais aussi mon frère. Me me pince la lèvre il était vraiment très séduisant et le rouge sur ses joues c'était comme la cerise su un cadeau car je suis ainsi quasiment certain que je ne le laisse pas indifférent cela dit je dois bien avouer que ça réponse m'angoisse un peu « C'est la concentration et la passion que je mets dans mon dessin qui me font rougir.. Détends ton visage, reste calme, ne sourit pas. » J'avoue que cette phrase m'inquiète c'est peut être dus à cela qu'il rougit et non pas à moi tout nu sous son regard d'artiste peut être ne me regarde-t-il comme un modèle, comme n'importe lequel de ses modèles cela me rendrais fort triste il faut bien que je l'avoue car pour moi il est loin d'être un artiste comme les autre je suis intimement convaincu que ce jeune homme est.. fait pour me plaire. Mais l'avouer maintenant serait un sorte de suicide des sentiments et je ne veux pas souffrir pour l'éternité. « Oui, excuse moi » Répondis-je en reprenant mon sérieux pour le dessin
Les heures passaient, le soleil déclinait doucement et dans ma tête passent de nombreuse idée que le père O'Brian qualifierait de pêcher envers dieu. Le père O'Brian était le prêtre qui prêchait dans l'église ou nous allions lorsque j'étais encore enfant c'est lui qui m'a appris à dire mes premières prière. Je me demande ce qui penserais de notre situation sur le Titanic il m'aurait sans doute aider à accepter ma situation mieux que personne. C'était un véritable père pour moi et bien qu'il soit prête c'était un homme bon et c'est lui qui m'a fait aimé la religion mais j'avoue que maintenant tout cela me semble être ridicule car jamais la bible n'a parlé de voyage entre deux monde du coup de la remet en question mes croyances. Et du coup maintenant je me demande bien que croire je suis une âme égare dans les méandre de l'obscurité et j'aurais bien besoin d'une lumière... Frédéric serait la plus belle j'en suis sûr mais ne précipitons pas les choses. Il me plait cela ne veux pas forcément dire que je l'aime... disons que je l'apprécie beaucoup pour le moment, le verbe aimer me fait peur je l'avoue.
Pourtant j'ai besoin de savoir ce qu'il ressent si l'idée de m'approcher de l'effraye pas et pour cela j'ai trouvé une astuce pour le moins inventive et original. Je vais simuler une fatiguer et faire semblant de m'endormir afin de voir quelle sera sa réaction face à un homme endormi dans son propre lit. Je commence doucement bien sûr pour que cela paraisse plus vrai et bouge beaucoup plus les paupières pour simuler leur lourdeur ma tête tombe parfois contre l'oreiller oui je la relève rapidement réussissant ainsi à faire ressentir un certaine somnolance. Et finalement pouf, je ferme les yeux laissant ma tête tomber contre mon épaule. Je n'ai plus qu'à attendre et pour être tout à fait sincère je n'attends pas longtemps je bel artiste ce lève et vient s'assoir sur le bord du lit je le sens. Il me couvre le bas de mon corps. c'est gentil et classe de faire cela. Cependant la suite l'ai moins, il profite de moi il effleure ma peau découverte passant une main dans mes cheveux ces caresses étaient douces et légères Cependant il profite tout de même mais c'est agréable alors je le laisse faire sans bouger pour ne pas l'effrayer il embrasse même mon front c'était si tendre je dois e retenir de soupirer de bien être. Cela dit lorsqu'il embrasse le coin de mes lèvre mon coeur s'affole et je ne me contrôle plus. je tourne la tête assez rapidement pour que nos lèvres se collent vraiment ensemble ce qui l'a vraiment surpris. Mais ses lèvres ont un goût délicieux je me croirais au paradis. Alors il est là ce fameux paradis... accroché au lèvres de ce jeune homme... si on me l'avait dit plus tôt.
Sujet: Re: Je trace les heures qui nous séparent Lun 13 Aoû - 14:34
Liam&Frédéric– Les heures qui nous séparent
Ce n'était vraiment pas dans mon genre de faire les choses en cachette. Je suis plutôt quelqu'un de franc, droit et honnête, je n'ai jamais trahi la confiance de quelqu'un, et je ne le ferais jamais, c'est un de mes principes. Obtenir la confiance d'une personne que l'on apprécie, c'est très long, parfois cela peut prendre une vie entière. Alors quand je l'obtiens enfin, croyez moi sur parole, cela devient un de mes biens les plus précieux et je ne le mettrais en danger pour rien au monde. Moi même j'avais du mal à accorder ma confiance aux personnes que je ne connaissaient que peu. Il me fallait du temps pour les connaître, juger leurs intentions, savoir si je pouvais croire en eux. Pour Liam, c'est bien différent de tout cela... Même en ne connaissant quasiment rien de lui, je lui confierais ma vie sans hésiter. Ne me demandez pas pourquoi, je n'en sais rien, c'est comme ça. Déjà, je pense que c'est grâce aux risques qu'il prenait pour me rendre service. Quel autre charmant jeune homme aurait accepté de faire passer en priorité mes messages pour n'avoir en remerciement qu'un portrait ou deux de lui ? Personne je pense. Cela m'a permis de croire en lui, en sa générosité et sa gentillesse. Je ne pense pas que ce soit quelqu'un du genre à faire du chantage, à venir me voir un jour en me disant qu'il avait fait ça pour moi alors que je pourrais bien lui rendre la pareille en lui faisant telle ou telle chose. Non, ça se voit à son visage qu'il n'est pas comme ça. Il a juste l'air... terriblement gentil, adorable, et il est vraiment beau.
Mon dessin est terminé, j'en suis vraiment fier. Il est réaliste, reflète le visage angélique de Liam et met en valeur sa beauté. Et il est vrai que je me suis un peu plus attardé sur le visage, je voulais vraiment qu'il est l'air vivant et pas comme nous sommes tous actuellement, des morts vivants. Ce n'était peut-être pas grand chose, mais je voulais au moins faire ça pour lui. Après tout, toute étincelle de vie quelle qu'elle soit est bonne à prendre. J'avais envie qu'en voyant ce portrait de lui il ai simplement envie de sourire, de se dire que la vie même entre enfer et paradis, peut être vraiment belle et douce. Sa bouche sur le dessin m'attire de façon irrésistible, c'est certainement pour cela qu'en allant près de lui, je n'ai pas pu m'empêcher de me pencher pour l'embrasser au coin des lèvres, il m'était impossible de résister, alors j'ai céder. Après tout, le meilleur moyen pour résister à la tentation, c'est de lui céder. C'est ce que je fais. Je résiste, en cédant … Seulement je ne m'attendais pas à ce qu'il tourne son visage juste à ce moment là. Mon cœur semble s'arrêter de battre quand je me rends compte que nos lèvres sont scellées les uns aux autres. Même si c'est ce dont je rêvais depuis si longtemps, je ne peux m'empêcher d'avoir un léger sursaut et d'écarter mon visage du sien. Ma respiration devient plus rapide alors que mes yeux fixent les siens qui s'ouvrent doucement. Pas possible .. il ne dormait donc pas ? Faisait-il semblant ? Etait-ce un test où j'ai échoué ou réussi ? Mon cœur s'affole, mais pourtant la seule réaction que j'ai est de l'embrasser de nouveau, collant avec douceur ma bouche sur la sienne.
Ses lèvres sont si douces... Je n'avais jamais encore sentit pareille sensation, mon cœur bat comme jamais auparavant il n'a battu. En étant mort, je ressens des choses bien plus fortes que de mon vivant. Doucement, ma main sur son torse glisse rejoindre la sienne sur son ventre, et j'emmêle nos doigts ensemble alors que le baiser devient plus doux, mes lèvres bougent doucement contre les siennes, je le sens répondre avec prudence au baiser. Mais bien vite, je reviens à moi et toujours avec douceur je détache mes lèvres des siennes. Mon regard se perd dans le sien, je lui souris de manière rassurante. « Excuse moi... Mais... j'en avais envie depuis tellement longtemps, je n'ai pas pu résister... Quand je dessinais tes lèvres, je n'avais qu'une obsession, c'était de connaître à quel point elles avaient l'air douce... »
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Sujet: Re: Je trace les heures qui nous séparent Lun 13 Aoû - 18:53
Je trace les heures qui nous séparent Ft. Frédéric A. Luciano
La confiance était la chose la plus précieuse qu'un personne pouvais m'offrir c'est un cadeau inestimable et je sais parfaitement en reconnaitre la valeur. Jamais je n'aurais le culot de malmener quelqu'un qui m'a offert sa confiance car il faut souvent plusieurs année voir un vie entière pour obtenir la confiance d'une personne c'est toujours difficile. Moi-même je sais qu'il est très dur d'obtenir ma confiance car celle-ci à déjà été trahie en plus par la personne à qui j'avais donné mon coeur pour la première fois. Il est donc évident que désormais je me protège de ce genre de chose. Pourtant je dois dire que mon mur de protection s'effondre totalement lorsqu'il s'agit de Frédéric ce jeune homme était différent. Dès la seconde ou je l'ai vu entré dans la cabine télégraphique j'ai su qu'avec lui j'aurais une relation étrange, basée sur la confiance. C'est bizarre j'ai pensé cela avant même de lui avoir parlé, comme quoi y a des gens qui nous font un sacrée impression des le début. C'est tout de même bizarre je trouve mais c'est plus fort que moi j'ai su dès le premier regard qu'entre lui et moi se serait particulier. Car j'ai senti dès le premier instant que ce jeune homme, bien que plus riche que moi était comme moi il croyait aux même valeurs morale que moi. Je l'ai senti c'était une évidence !
Cependant, le jeune Frédéric semble lâcher quelques peu ses valeurs morales en s'approchant de mon corps faussement endormis il fait exactement ce que j'espérais qu'il fasse il s'approche, s'assoit tout doucement afin de ne pas me réveiller, cela me ferais presque sourire, mais si je souris, je serais automatiquement démasqué c'est pour cela que je ne réagis pas. Il m'effleure avec douceur, que c'est agréable mon corps frissonne, cela ne ne peu l'empêcher. Cependant comme toujours je reste stoïque et ne bouge pas un cil. mais je dois reconnaitre, que lorsqu'il m'embrasse sur le coin des lèvre je ne peux m'empêcher de tourner doucement mais rapidement là tête afin que nos lèvre se rencontrent pour la première fois et lé je cois qu'il comprend que c'était un mascarade, que je ne dormais absolument pas que c'était juste pour le tester et il l'avait réussit cette évaluation avec brio et les félicitations du jury. Il était tout bonnement parfait. Lorsqu'il se rend compte que nos lèvres sont scellées il panique et s'éloigne les joues écarlates.
Nous nous regardons pendant un instant les yeux dans les yeux les mots sont inutiles de plus il prend l'initiative de m'embrasser à nouveau de façon tendre et délicates. Je ferme doucement les yeux alors que sa main cherche la mienne descendant e long de mon torse pour l'attendre au niveau de mon ventre. Il entremêle nos doigt avec aisance. Je prolonge le baiser avec une certaine passion sans pour autant approfondir l'étreinte. Chaque chose en son temps. « Excuse moi... Mais... j'en avais envie depuis tellement longtemps, je n'ai pas pu résister... Quand je dessinais tes lèvres, je n'avais qu'une obsession, c'était de connaître à quel point elles avaient l'air douce... » De légères rougeurs apparaissent sur mes joues. J'ai un petit sourire gêné alors que nos main étaient toujours accrochées l'une à l'autre. Je ne sais que dire sur le moment je suis flatté vraiment très flatté un instant passe en silence. « J'espère qu'elles étaient à la hauteur de tes attentes cela m'ennuierait de te décevoir » Dis-je finalement en souriant doucement tout en restant allongé et lui assit au dessus de moi. « Cela peut paraitre très enfantin comme je me suis joué de toi mais je... enfin je ne savais vraiment pas comment savoir si je t'intéressais sans te le demander de vive voix et le faire ainsi ce n'ai pas trop ma tasse de thé je suis plutôt timide » Avouais-je en baissant le regard me sentant assez mal à l'aise de ce que j'ai fait c'était terriblement immature même si cela avait fonctionné cela restait très enfantin comme réaction.
Sujet: Re: Je trace les heures qui nous séparent Lun 13 Aoû - 22:50
Liam&Frédéric– Les heures qui nous séparent
Pour moi, l'embrasser pendant son sommeil ne veut pas dire que je trahis mes valeurs morales, non pas vraiment. Déjà c'était pas vraiment un baiser, puisque je ne l'ai pas volontairement embrassé sur les lèvres la première fois. Ces baisers inoffensifs au coin des lèvres et sur le front étaient juste de la tendresse pure et simple. J'ai trop d'amour à donner, il faut que je le donne à ceux que j'apprécie et qui semblent en avoir grandement besoin. J'étais certes quelqu'un de tactile et tendre, mais je savais quand même me maîtriser, dans la mesure du possible. Il y a des fois où on a beau essayer de se contrôler, notre envie prend quand même le dessus et l'on n'y peut rien. On a beau résister, bâtir des murs, l'envie, les sentiments et même l'amour fendent les armures et balayent tout sur leur passage. Néanmoins, je ne peux me cacher que ce petit test imposé par Liam me plaît bien. Il était difficile certes car je me faisais quand même fureur pour ne pas céder et rester sage, mais l'instinct est parfois plus fort que nous. Et quand il prend le dessus, il n'y a plus rien d'autre à faire que de se laisser aller et suivre cet instinct, quoiqu'il nous dise de faire. Aller à son encontre cela serait comme dire à un homme d'arrêter de fuir une meute de loup enragés et affamés.
Ses baisers sont tellement doux … Je fonds littéralement d'affection pour lui, j'ai envie de lui donner tout l'amour que j'ai, toute ma tendresse, tout ce que j'ai pour le rendre heureux. Je veux..l'aimer ? C'est tellement étrange de se dire ça, moi qui n'ait jamais aimé personne d'un véritable amour, moi qui ne connais rien de ces sentiments que l'on dit plus forts que la mort. Et ça me fait un peu peur quelque part, parce que je ne veux pas confondre ces sentiments avec autre chose et faire du mal à Liam. Alors comment est-ce que je peux savoir si c'est de l'amour ou juste une très forte amitié, une affection quasi fraternelle pour lui ? Je ne veux pas me tromper, lui donner peut-être de faux espoirs. Je veux être juste et honnête avec lui. Alors quand ces baisers sages me font me sentir si bien en moi, je me pose quand même quelques questions. Quand je le vois rougir à mes mots, je ne peux que sourire et passer ma main libre sur son visage. « J'espère qu'elles étaient à la hauteur de tes attentes cela m'ennuierait de te décevoir. Cela peut paraitre très enfantin comme je me suis joué de toi mais je... enfin je ne savais vraiment pas comment savoir si je t'intéressais sans te le demander de vive voix et le faire ainsi ce n'ai pas trop ma tasse de thé je suis plutôt timide » Je souris d'une façon très tendre en approchant un peu plus mon visage du sien, osant m'installer un peu plus sur le lit, en restant au dessus de lui. Mon nez frôle le sien et je trouve ce geste plutôt mignon, mais il baisse la tête, très gêné, les joues rouges. J'ai un petit rire et lui relève le visage face au mien en lui souriant et parlant doucement, comme si c'était un secret. « Tes lèvres ne m'ont pas déçues. J'ai même été très surpris car je les ai trouvées plus douces et chaudes que ce que je pensais. Et j'ai aimé t'embrasser Liam. J'ai aussi trouvé ce petit test très mignon. Et tu n'as pas à avoir honte, car chacun d'entre nous a sa propre manière d'aborder les choses... C'est très enfantin comme tour, certes, mais si c'est ta façon de faire alors n'en est pas honte... » Je souris et ma main caresse l'ovale de son visage avant d'aller caresser ses doux cheveux et prendre son autre main, emmêlant là aussi nos doigts. Les miens câlinent alors avec douceur les siens, dans des mouvements lents de aériens. « Et puis tu sais, je crois que comparé à moi, tu n'as rien à envier à ma façon de faire... Car je suis un peu plus direct, dirais je. Et parfois cela ne plaît pas vraiment. Mais j'aime être honnête et ne rien cacher. Voilà un peu ce que cela donne pour moi. » Soufflais je tout doucement avant de l'embrasser sur le nez, puis fermant les yeux pour l'embrasser encore une fois. Je ne peux décidément plus me passer de sa bouche, j'ai l'impression de retrouver mon souffle quand je l'embrasse. Pourquoi est-ce si bon ? Pourquoi est-ce meilleur qu'avec tant d'autres filles que j'ai pu embrasser et serrer dans mes bras ? Pourquoi il y a ce petit plus qui fait chauffer mon ventre et battre mon cœur de la plus agréable des façons ? Je n'en sais rien, je me le demande, mais je profite aussi de tout ce que cela m'apporte. Ma main sur son ventre, dont mes doigts sont emmêlés aux siens, se détache doucement de la sienne et lentement je la glisse dans son cou, puis dans sa nuque que je caresse toujours avec cette même douceur. Je cherche à lentement rendre le baiser plus profond, plus intense. J'ose glisser timidement le bout de ma langue contre ses lèvres chaudes, testant la réaction de mon beau modèle.
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Sujet: Re: Je trace les heures qui nous séparent Mar 14 Aoû - 0:54
Je trace les heures qui nous séparent Ft. Frédéric A. Luciano
Ah la tentation fléau ultime Adam a succombé à la pomme d'Eve et il paraît que c'est de la que nous viens tous les malheurs, personnellement je n'y crois pas cependant la tentation reste un fléau elle prends plusieurs forme d'ailleurs l'envie... la jalousie ce sont des formes de tentations. Mais la tentation à laquelle personne ne résiste c'est le désir de l'autre et j'en sais quelque chose car je ne peux résister aux avance de Frédéric bien que la bible m'interdise cela je serais condamné au purgatoire selon l'évangile mais sincèrement dieu... qu'il aille se faire voir parce que putain l'amour je sais ce que c'est et là je tombe droit dans la marmite remplie de passion, de tendresse, de fougue, d'embrassade et de caresses Eh oui l'amour c'est ça je suis en train de tomber amoureux d'un homme et vus savez quoi ça me conviens bien parce que Frédéric il à tout ce que je recherche.
Cela dit je m'emballe peut être un pu car il est tout a fait possible que je mélange mes sentiment maintenant que j'ai retrouvé Alexander et que je fuis mon ex j'avoue que j'ai parfois de la peine à dicerner avec exactitude les sentiments que je ressens ce qui est certain c'est que les sentiments que j'éprouve pour le jeune franco-italien sont terriblement forts. Ses baisers, désormais je ne pourrais plus jamais m'en passé comme s'ils devenait un drogue, mon opium c'est ses lèvres je ne saurais plus vivre sans elle sans leur goût unique et leur douceur enivrante. Nos doigts entremêlés cette proximité soudaine c'est si nouveau mais c'est si bon en même temps mon coeur bat très vite et un douce chaleur envahis mon corps entier. Il approche doucement sa tête de la mienne et murmure alors, tel un secret quelques phrase qui firent bondir mon cœur de bonheur. « Tes lèvres ne m'ont pas déçues. J'ai même été très surpris car je les ai trouvées plus douces et chaudes que ce que je pensais. Et j'ai aimé t'embrasser Liam. J'ai aussi trouvé ce petit test très mignon. Et tu n'as pas à avoir honte, car chacun d'entre nous a sa propre manière d'aborder les choses... C'est très enfantin comme tour, certes, mais si c'est ta façon de faire alors n'en est pas honte... » Mon sourire s’agrandis en étendant ses parole si sincères. Je le regarde avec tendresse alors qu’il caresse mon visage j’aime tant cette douce sensation de chaleur lorsqu’il me touche c’est si agréable. Je ferme d’ailleurs les yeux pou mieux profiter de cet instant que je sais éphémère. Puis doucement, lâchât mon visage le jeune homme prends à nouveau mes main pour entremêler nos doigts avec douceur il caresse alors mes articulations cela peut sembler ridicule mais ses petits mouvement sont des plu apaisant. Là encore je savais que ses caresse ne durerait pas c’est pourquoi j’essayais de dégusté chaque millième de secondes de cet instant qui se trouve être magique pour moi.
. « Et puis tu sais, je crois que comparé à moi, tu n'as rien à envier à ma façon de faire... Car je suis un peu plus direct, dirais je. Et parfois cela ne plaît pas vraiment. Mais j'aime être honnête et ne rien cacher. Voilà un peu ce que cela donne pour moi. » Je suis impatient de découvrir la méthode que le beau jeune homme aurait utilisé pour me séduire et je l’avoue c’est beaucoup plus directe que ce que je n’ai fait. Il embrasse mon nez, je frissonne doucement et ai un très léger sursaut en sentant ses lèvre se coller sur le mienne j’émet un faible gémissement montrant mon contentement. Le baiser était plus appuyé et plus profond que les précédent c’est agréable j’adore cela. Doucement il lâche mes mains pour les glisser dans mon cou. J’enroule alors tendrement mes bras autours du sien pour le rapprocher de moi. Et je le sens alors timidement tenter de franchir la barrière de mes lèvres avec sa langue encore toute craintive. Je souris alors contre sa bouche et entre ouvre doucement le portail permettant é son muscle buccal de pénétrer avec rapidité dans ma bouche c’est si passionné comme échange. Je descends mes main dans le bas de son dos pour tiré sa chemise de son pantalon afin de caresser sa chut de rein. J’avoue que ses bretelle s sont un peu gênant mais peu importe tant que je peux toucher sa peau ça va.
Le baiser dur, dur c’est si bon je suis totalement enivrer et tous mes sens sont en éveille. Lorsque finalement ses lèvres s’arrachent aux miennes je souris « J’adore ta manière aussi… directe et tout aussi efficace » dis-je avec un petit sourire, retirant mes main de sa chut de rein pour les faire revenir devant afin de détacher deux trois boutons pour qu’il soit plus à l’aise .
Sujet: Re: Je trace les heures qui nous séparent Mer 15 Aoû - 3:25
Liam&Frédéric– Les heures qui nous séparent
Je pourrais parler des heures durant de toutes les sensations que je ressens en embrassant Liam comme je le fais à cet instant même. Les baisers restes sages, chastes, prudents, mais ils sont intenses. Si nous restons si sages et prudents dans ces premiers baisers, c'est certainement parce que, ni lui ni moi, nous ne savons où cela pourrait nous mener, et je ne veux pas faire de faux pas avec lui, je veux que tout se passe au mieux pour avoir une chance de conquérir plus que ses lèvres. Je veux son corps, son cœur, son âme, je veux tout de lui, absolument tout. Aucune exception ne sera faite, car je suis quelqu'un de très capricieux par moment, alors quand je veux quelque chose je finis par l'avoir. Bon je ne vais pas non plus me mettre à faire comme les enfants, c'est à dire pleurer en tapant des pieds sur le sol et en criant que je veux à tout prix que Liam devienne mon amant. Premièrement cela serait complètement ridicule venant de ma part. Et deuxièmement … Je ne veux pas que Liam soit mon amant, j'aimerais, au fond de moi, qu'il devienne bien plus que cela. Si seulement je pouvais passer l'éternité dans ses bras, le serrant contre moi... Mais seul l'avenir nous le dira.
Cet instant est unique pour moi, j'ai l'impression de vivre un rêve, mon plus beau rêve, c'est à dire embrasser, câliner et peut-être plus, mon cher télégraphe qui a su m'envoûter dès le premier regard, quand nos yeux se sont croisés pour la toute première fois quand je suis entré dans cette foutue cabine de transmission... Si je n'y avais jamais mis les pieds, aurais je rencontré cet être beau à damner ? Nos chemins se seraient-ils, par la suite, croisés d'une autre façon toute aussi envoûtante ? Je n'ai hélas pas de réponse à mes questions. Mais à quoi bon me les poser ? Puisque je le tiens là, dans mes bras, tout contre moi, tous deux allongés sur le lit de ma chambre de seconde classe. Le Titanic peut bien être en ce moment le pire cauchemar de tous les autres passagers et membres d'équipage, pour moi il est, à cet instant précis, le plus beau et doux des paradis. Et je ne peux retenir un soupire de plaisir, confirmant ce que je pense lorsque, durant un nouveau baiser plus appuyé de ma part, j'entends Liam gémir légèrement contre mes lèvres. Et bon dieu c'est un gémissement de plaisir. Je frissonne dans mon corps tout entier à ce son si délicieux à entendre. Et je ne suis pas au bout de mes surprises...
M'enhardissant, je glisse lentement ma langue, de façon timide aussi, contre ses lèvres qui me sont encore closes. Je veux prolonger notre étreinte buccale, mais quel sera son avis ? Ses bras autour de mon cou me font me sentir plus à l'aise. Et je sens que lui aussi est plus détendu. A ma grande surprise, oui, il me laisse approfondir le baiser. C'est à mon tour de gémir doucement de plaisir quand je sens l'air chaud de sa bouche butter contre mes lèvres. Je gagne un peu plus d'assurance encore, le baiser devient passionné et langoureux, c'est encore plus délicieux. Jamais je n'aurais pensé qu'une telle chose arriverait un jour et maintenant, j'ai du mal à y croire. Aussi j'en profite à chaque seconde qui passe. L'atmosphère de la chambre devient plus chaud, plus sensuel, plus intime encore lorsque je sens ses mains descendre le long de mon dos. Et je les sens passer sous ma chemise et caresser le creux de mon dos. Ce n'est pas mon point le plus sensible, mais c'est l'un de ceux que je préfère qu'on me caresse, j'y suis un peu plus sensible. Ce qui explique mes longs soupirs de bien-être et le fait que je presse un peu plus mon corps contre le sien, finissant de m'allonger presque complètement sur lui. J'ai ce besoin vital de le sentir sous moi... Ses mains font des caresses douces sur ma peau, j'aime ça... Puis ses mains quittent le creux de mon dos, m'arrachant un dernier faible gémissement, un peu déçu. « J’adore ta manière aussi… directe et tout aussi efficace »
Je ris doucement à son aveu en le regardant défaire les premiers boutons de ma chemise. Mon cœur s'emballe alors un peu plus et l'ambiance devient décidément plus intime et chaude, ce qui est loin de me déplaire. Je lève alors mon regard vers Liam et l'embrasse sur le bout du nez, j'adore faire ça car quand je le fais, il ferme les yeux d'une façon que je trouve absolument adorable. Puis je me redresse pour pouvoir retirer mes chaussures, car sur un lit ce n'est ni très pratique, ni confortable, et c'est vraiment pas propre. Je suis peut-être désordonné, mais mon petit bazar reste toujours propre, j'aime quand c'est propre, même si ce n'est pas forcément rangé. Puis, une fois débarrassé de ceci, je détache mes bretelles attachées à mon pantalon, celui ci étant légèrement trop grand pour moi. Mon père avait beau dire que l'homme qui me l'avait fabriqué était le meilleur tailleur de la ville, il avait tout de même trouvé le moyen de me faire un pantalon trop grand et je n'avais hélas pas eu le temps d'aller faire de nouveau prendre mes mesures pour en refaire faire un autre. Quand je me rallonge sur Liam, son regard se voile légèrement d'inquiétude. Je souris et l'embrasse une nouvelle fois ( j'avais bien dit que je ne pouvais plus m'en passer ! ) avant de lui murmurer avec toujours mon sourire le plus rassurant possible.
« Ne te fais pas de soucis, j'enlève juste mes bretelles pour le moment, je pense les avoir trop resserrées ce matin.. Donc pour l'instant je me débarrasse juste de ça. » Je finis ma phrase sur un petit clin d'oeil. Je voudrais tant qu'il se sente à l'aise et détendu avec moi... Je ne veux que son bien. Et puis après tout, peut-être que plus tard il voudra me retirer ma chemise ? Puis mon pantalon ? Oh dieu et pourquoi pas mon... Non, je dois m'arrêter là, je ne dois pas me faire trop d'illusions tout de même, sinon je tomberais de haut et je risquerais d'avoir du mal à m'en remettre totalement. Ayant pris un peu plus d'assurance, je décide de tenter quelque chose d'autre avec lui. Ma main retourne s'emmêler à la sienne, l'autre caresse son flanc dans de lentes et douces caresses. Puis, de ma bouche, je viens déposer quelques baisers légers et aériens dans son cou, effleurant sa peau chaude du bout des lèvres. Je veux tester jusque où il semble prêt à aller avec moi maintenant. Je saurais me retenir et faire preuve de patience s'il le faut.
B-NET
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Sujet: Re: Je trace les heures qui nous séparent Mer 15 Aoû - 20:47
Je trace les heures qui nous séparent Ft. Frédéric A. Luciano
Sa langue était si timide au début il avait peur le pauvre je le ressentait il angoissais comme un fou mais pourtant il n'as pas à me craindre je rêve de ce baiser. Je suis sien pour le moment il pouvais me faire ce qu'il voulait je suis tant une espèce de transe obsessionnelle et quoi qu'il fasse je serais en quelque sorte comblé tant qu'il veille sur moi et uniquement sur moi. Ah, oui j'avais omis de vous dire que j'étais très posséssif s'en était presque une malade chez moi. Bon je ne le connait pas vraiment mais si ça va plus loin il ne va pas falloir qu'il s'intéresse même avec les yeux à d'autres individus, féminins ou masculins car je pense que sinon je le passerais pas dessus bord sans ménagement. De toute façon il revivra se sera juste une sorte de punition pour m'avoir blessé dans mon orgueil, car je suis terriblement orgueilleux également. J'avoue que j'ai un énorme égo malheureusement et mon orgueil est à la taille de mon égo ! Mais son baiser, était des plus parfait mon ex n'a qu'a aller se rhabiller car maintenant que j'ai goûté à la perfection plus jamais je ne me contenterais d'un baiser de moindre qualité !
Le lien qui nous unissais désormais était des plus forts et des plus précieux Lorsqu'il se détache de moi je retire lentement mes main d'ou elles étaient nichées c'est à dire dans sa chut de rein et ne peux m'empêcher de remonter mes caresses sur son torse afin de déboutonner les trois premier bouton de sa chemise de coton histoire de le mettre lui aussi plus à son aise. Il viens alors me faire un bisou sur le nez et je fais un petit moue d'enfant en fermant fort les yeux et en retroussant mon nez. Cependant il décide d'enlever ses chaussure es balançant au fond de sa cabine toujours en désordre et de retirer ses bretelles et je ne me rends pas vraiment compte de la têt que je fais à cet instant mais il semblerais que j'ai eus l'air un peu paniqué vu le sourire qu'il me fait, comme pour me rassurer, revenant sur moi et s'allongeant carrément sur moi. J'adorais l'avoir sur moi c'était la meilleure des couvertures. « Ne te fais pas de soucis, j'enlève juste mes bretelles pour le moment, je pense les avoir trop resserrées ce matin.. Donc pour l'instant je me débarrasse juste de ça. » Un sourire détendu nait alors sur mon visage et j'embrasse doucement son front « Je ne m'inquiète pas et puis au moins comme ça je peux retourner câliner ton dos » Répondis-je avec un sourire alors que mes mains retournaient doucement cajoler ta chute de rein.
Il va alors niche sa tête dans ma nuque commençant a me faire des baisers aériens dans le cou je ferme les yeux, soufflant un peu pus fort et plus vite. Dieu que c'est bon mes caresse s'accentue dans son dos mes mains remontent sous sa chemise puis redescendent effleurant son sous-vêtement, son pantalon semble un peu trop large on dirait ça me facilite pas tache cela dit. ça me permet d'aller découvre son corps plus facilement. « J'aime être avec toi » Chuchottais-je contre son oreille avant d'embrasser sa tempe avec tendresse. Il me rend totalement fou !
Sujet: Re: Je trace les heures qui nous séparent Ven 17 Aoû - 1:37
Liam&Frédéric– Les heures qui nous séparent
Sa petite moue d'enfant, quand je lui embrasse le nez, est terriblement craquante, je ne résiste pas. J'aimerais pouvoir lui faire ce genre de bisous toute ma vie durant, des centaines de fois par jour, juste pour voir ses yeux se fermer de cette façon et son nez qui se retrousse légèrement. Cela me fait doucement rire et battre mon cœur plus vite devant cet être tout simplement à croquer. J'aimerais tellement le faire sourire pour le reste de nos existences, être celui qui lui procure ses plus belles joies, ses plus grands fou rire, ses plus doux sourires. Je veux le rendre heureux... Bon dieu c'est ça aimer ? C'est vouloir le meilleur pour l'autre ? Sentir son cœur faire des bons immenses dans sa poitrine au moindre sourire de l'autre ? Oh mon Dieu, c'est tellement bon tout ça.. Chaud et doux. Comme sa peau sous mes doigts et sous mes lèvres. Alors, quand après avoir retiré mes bretelles et mes chaussures, je vois son regard se voiler de crainte, mon cœur se serre de façon douloureuse. Je veux tout mais pas l'effrayer. Je m'empresse de le rassurer d'un sourire et d'un baiser, en ajoutant quelques mots pour l'apaiser un peu plus. Et je ne peux m'empêcher de rire doucement quand il me répond simplement qu'il pourra caresser un peu plus facilement mon dos. Et bien sûr, quand ses mains retournent caresser ma peau sous ma chemise, je ne peux que le laisser faire. Il a des doigts de fée, c'est tout ce que j'ai à dire.
Les quelques baisers que je dépose avec douceur dans son cou semblent lui faire plus d'effet que ce que je ne pensais. Jamais je n'aurais même osé imaginer que je pourrais lui plaire ne serait-ce qu'un petit peu. Les réactions que je lui provoque par mes baisers et mes caresses sont au delà de toutes mes espérances, et je n'en suis que plus heureux. C'est donc avec plaisir que je continue de lui « infiger » ces caresses et baisers. Je sentais doucement que quelque chose était en tain de naître entre nous, de se créer. Un lien ? Oh oui. Un lien fort, du moins il serait fort, je le sentais. Mais un lien d'une forte amitié ? D'une forte tendresse ? Ou d'un amour invincible ? Je ne saurais pas trop laquelle de ces trois options je dois choisir. Peut-être que cela sera simplement une forte complicité qui nous liera simplement. Du genre quelques regards au détour des couloirs, des sourires amusés... Non, je ne pourrais pas m'en satisfaire. J'ai besoin de sentir la chaleur de son corps contre moi, j'ai besoin de le serrer dans mes bras, de sentir son parfum si envoûtant, de sentir son regard sur moi, de pouvoir embrasser ses lèvres avec tendresse, et fougue j'éspère un jour. Maintenant que je sais comment je me sens quand je suis près de lui, je ne pense pas pouvoir m'en passer. J'en ai besoin c'est comme ça et pas autrement.
Alors que je sens ses mains effleurer le haut de mon sous-vêtement, il vient me murmurer d'une voix douce à l'oreille qu'il aime être avec moi. Douce confidence suivie d'un baiser léger sur ma tempe. Je ne peux m'empêcher de sourire contre sa peau, y laissant quelques baisers plus appuyés. Je lève alors la tête et le regarde en souriant, lui volant une chaste et court baiser. « J'ai souvent rêvé de ce moment … Je me demande encore si je ne suis pas en train de faire le plus beau des rêves. Mais c'est bien trop réel et j'ai envie de croire que tu es bien là contre moi. Je donnerais n'importe quoi pour passer encore des heures entières ici avec toi... » Je l'embrasse alors avec tendresse et douceur, ma main allant caresser sa nuque et ma langue n'hésitant pas cette fois à aller à la rencontre de la sienne. J'ai pris en assurance.
Je sens que lui aussi prend un peu plus d'assurance, et de ce fait de plus en plus confiance en lui et peut-être même en moi. Car ses mains s'amusent avec le bord de mon sous-vêtement. Cela me fait doucement sourire et légèrement rire dans le baiser. Je le regarde et lui fait un petit clin d'oeil coquin. « Dis moi Liam, tes mains ne seraient-elles pas en train de se faire baladeuses par pur hasard ? » Je soulève légèrement mes fesses pour les appuyer contre ses mains et je ris doucement de voir ses joues prendre une teinte carmine. Il est adorable dans sa gêne. Mais je ne peux m'empêcher de me mordre la lèvre en pensant à un détail. Je remarque que nos bassins sont l'un au dessus de l'autre, et que si je me recouche sur lui, mon bassin sera totalement contre le sien, dans un alignement quasi parfait. Et si cela arrive, je risque d'avoir un petit problème d'excitation. Et si j'ai ce problème, Liam ne va-t-il pas s'enfuir en courant ? Oh dieu, je le comprendrais si il me fuyait en me sentant particulièrement réveillé à cet endroit... Actuellement, je ne suis pas encore excité, du moins j'arrive à me maîtriser. Mais comme je ne pourrais pas rester indéfiniement les fesses légèrement relevées comme ça, faudra bien que mon bassin entre en contact avec le sien et là je ne donne pas cher de ma peau...
B-NET
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Sujet: Re: Je trace les heures qui nous séparent Sam 18 Aoû - 17:14
Je trace les heures qui nous séparent Ft. Frédéric A. Luciano
Ses baisers sont si tendres, si légers si... aériens je ne saurais réellement les décrire tant ils sont agréables. je souhaite qu'il m'en fasse durant toute mon éternité je me sens tellement à l'aise contre lui la chaleur se son coeur se mélange à la mienne c'est si... sensuelle cela pourrais presque m'exciter. Pour être honnête j'avoue que s'il continue à embrasser ainsi mon cou et ma clavicule ne ne tarderais pas à grimper au rideau car il réchauffe mon corps et je me sens tout chose il est si.... Mon dieu ce n'ai pas explicable je ne parviens pas à décrire avec précision ce que je ressens c'est tellement unique. Alors certes il me chauffe et mon bas ventre et doucement en train de s'enflammer mais c'était encore... plus agréable qu'avec une femme car je ressent un truc au fond du coeur qui le fait battre plus vite quelque chose que je n'ai encore jamais ressenti. Enfin ne jamais l'avoir ressenti serait mentir car cette petit flamme je l'ai déjà ressenti mais là j'ai l'impression que c'est carrément un feu de joie. « J'ai souvent rêvé de ce moment … Je me demande encore si je ne suis pas en train de faire le plus beau des rêves. Mais c'est bien trop réel et j'ai envie de croire que tu es bien là contre moi. Je donnerais n'importe quoi pour passer encore des heures entières ici avec toi... » Je souris alors bêtement et caresse sa joue tendrement comme pour le rassurer, nous nous rassurions mutuellement c'était des plus charmant. « Je n'ai pas l'intention de quitter cette chambre tu risque de devoir me mettre dehors lorsque tu en auras marre » Répondis-je avec douceur, effleurant ses lèvres des miennes.
Je continue de doucement caresser sa chut de rein du bout de mes doigts sa peau était si douce j'en était fou. Mes main finissent pas lentement s'aventurer au niveau de son sou vêtement, passant ainsi sous son pantalon qui était trop large. Quel imbécile de tailleur à oser lui proposer cela pour un seconde classe en plus non mais il y a vraiment des incapable sur cette terre. Comme ceux qu'on on fabriqué ce paquebot d'ailleurs, de véritables imbéciles incapable d'utilisé des rivets et des écrous de bonne qualité et nous voilà, errant pour l'éternité sur un paquebot fantôme que personne ne voit. Il m'arrive souvent de me demander que qu'aurait été ma vie sir le Titanic était arrivé à New York comme prévu. Je n'aurais sans doute jamais pus parler à Frédéric et mon frère ne m'aurait peut être a retrouvé donc en fin de compte le fait que nous soyons coincé ici ne m'as pas encore réellement porté préjudice alors pourquoi est-ce que je me plein ?!
Le geste de Frédéric me sort immédiatement de mes pensées en effet il venait de se cambrer de telle manière à ce que mes main se retrouve coincée entre son postérieur et le tissu de son pantalon. Et je me rend compte alors à quel point je suis descendu bas ! Le rouge me monte alors aux joues, je ne sais plus du tout ou me mettre! « Dis moi Liam, tes mains ne seraient-elles pas en train de se faire baladeuses par pur hasard ? » Je le regarde alors qu'il me fait un clin d'oeil plutôt coquin, je frissonne légèrement sentant quelque chose se réveiller en moi, très légèrement évidemment mais je le sentais. C'était ce clin d'oeil il m'a fait perdre la tête ! « Je dirais plutôt exploratrices et non baladeuses car tu sais en Ecosse, quand était enfant j'adorais explorer les collines désertes je crois que ça m'est rester. Et je dois dire que le point de u depuis les "jumelles" est incroyable » Les "jumelles" étant bien entendu ses fesses qu'il gardais sur élevée et je crois comprendre pourquoi. J'avoue que cela me va pour l'instant car lorsqu'il redescendra je crains de ne plus savoir ou me mettre.
Mais évidemment cela ne dure pas et lorsqu'il abaisse à nouveau son bassin j'ai vraiment peur sauf que je me rends petit à petit peu compte qu'il est aussi gêner que moi.
Sujet: Re: Je trace les heures qui nous séparent Lun 20 Aoû - 22:43
Liam&Frédéric– Les heures qui nous séparent
Le virer de ma chambre quand j'en aurais marre ? Est-ce qu'une telle chose pourrait arriver ? Oh non, loin de moi l'idée de lui demander de quitter les lieux ! Si je pouvais, je pense bien que je le retiendrais prisonnier ici pour l'éternité qu'il nous reste à vivre. Je ne veux pas être seul sans lui, je veux le garder près de moi toujours. « Je n'ai pas l'intention de quitter cette chambre tu risque de devoir me mettre dehors lorsque tu en auras marre » Je frissonne sous la caresse de sa main sur ma joue, et je tourne la tête pour embrasser la paume de sa main. « Si c'est moi qui dois te mettre dehors, alors tu risques de ne jamais sortir de cette chambre... Et de rester rien qu'avec moi. » Et là je me demande... A-t-il de la famille ? Des gens qui l'auraient accompagné sur ce maudit rafiot ? Et si...je n'étais pas le seul dans sa vie ? Et si il avait quelqu'un d'autre qui l'attendait ? Une femme peut-être, après tout de nos jours les hommes n'ont le droit d'épouser et d'avoir des relations qu'avec des femmes. L'homosexualité est condamnée par l'Eglise. Et Dieu seul sait que tout le monde ici croit en ce bonhomme caché dans les nuages. Mais moi je préfère encore dire « qui est-il pour se permettre de dire ce qui est le bien et ce qui est le mal », car pour moi, aimer un homme n'a rien de satanique ou que sais-je encore. Et une femme peut tout aussi bien aimer une autre femme ! Après tout, c'est de l'amour non ? N'est-ce pas le principal ?
Tout ça pour dire que je me sentirais extrêmement jaloux si Liam avait déjà quelqu'un dans son cœur. Certainement qu'au fond, je l'aime plus que bien et que je veux qu'il m'appartienne ? C'est tellement égoïste et si..si amoureux ? Non, j'ai jamais été amoureux, pourquoi le serais je maintenant ? Ma vie est foutue, je ne vis plus, je suis mort et condamné à errer sur un bateau pour le restant de...de quoi en faite ? De l'éternité. Pourquoi l'amour me tomberait dessus comme ça ? Bon dieu ce gars, là, sous moi, a le don de me rendre totalement fou. D'ailleurs fou, mon corps l'est totalement si j'en crois l'érection plus que naissante dont je suis victime. J'ai les joues rouges quand il s'amuse en disant que ses mains apprécient l'exploration de mes « jumelles ». Bon sang, je ne vais pas tenir encore longtemps avec ses petits sous entendus, certes prononcés d'une voix quasi innocente, mais tellement coquins... Evidemment, je n'ai pas des abdos de bétons, et je ne tiens pas plus longtemps en ayant le bassin relevé. J'essaie de me coucher de sorte à ce qu'il ne sente pas le problème dans mon pantalon, mais visiblement c'est loupé. Nous sommes tous les deux rouges au possible. Il est gêné, moi aussi, nous sommes tous les deux dans la même situation. Je sens que physiquement, il a le même problème que moi. Bon j'avoue que le sien est moins réveillé que le mien, mais tout de même, ça reste le même problème. L'envie. Le désir. C'est exactement ce qui coule dans mes veines par litres. Mais je n'ose rien faire de peur de le voir fuir. Alors, que dois-je faire ? Me lever, m'excuser et lui dire de se rhabiller ? Non...je ne veux pas qu'il s'en aille déjà. C'est comme si sa présence était devenue mon oxygène.
Je finis par rire de façon très gênée et passant une main dans ma nuque. Je baisse les yeux ou plutôt les tourne dans une autre direction. « Je...désolé c'est la première fois que j'ai ce genre de réaction avec un modèle... Je t'assure ça m'est jamais arrivé auparavant, je n'ai même jamais eu d'aventure avec les gens que je dessine... Mais avec toi c'est juste... différent ? Enfin je veux c'est que... il y a des trucs en plus et … et j'arrive pas à contrôler ça c'est tellement étrange... Mais je dois avouer que c'est loin d'être désagréable. » Avouais je finalement les joues rouges et osant de nouveau regarder Liam avec un petit sourire pour le rassurer un peu quand même. Je voulais vraiment pas l'effrayer, je voulais pas faire de faux pas, je voulais qu'il reste, même si nous étions tous les deux dans des situations délicates.
Finalement, je reprends encore un peu d'assurance et le regarde avec un sourire, appuyant chacune de mes mains de chaque côté de son visage. Je rapproche mon visage du sien, mélangeant nos souffles et frôlant nos lèvres. « Pour être honnête... Je crois que je te désire Liam... Je crois que j'ai envie de toi... »
B-NET
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Sujet: Re: Je trace les heures qui nous séparent Mer 22 Aoû - 22:47
Je trace les heures qui nous séparent Ft. Frédéric A. Luciano
C'était tellement bien tout nu dans son lit , soyons honnête c'est agréable et je n'ai pas du tout envie de partir. Cela dis mon devoir parental va bientôt m'y forcer il ne faut pas trop que je tarde avant d'aller récupérer Benji chez sa nounou. Déjà qu'elle le fait gratuitement je ne vais pas en plus venir le chercher en retard. J'adore mon fils, c'est certain mais là j'ai envie que d'une chose, ne pas être papa ou en tout cas ne pas en avoir la garde complète car mine de rien c'est astreignant et le plus frustrant c'est que ça le sera pour toujours vu que ce petit monsieur ne va pas grandir « Si c'est moi qui dois te mettre dehors, alors tu risques de ne jamais sortir de cette chambre... Et de rester rien qu'avec moi. » J'ai un petit sourire ça me faisais mal au coeur j'avais pas envie de le quitter mais je n'ai pas le choix malheureusement. « Crois moi si je pouvais j'élirais domicile dans ce lit » Répondis-je avec un petit clin d'oeil. Et mes lèvres viennent embrasser sa tempe
Lorsqu'il remonte ses jolies fesse je rougis vu que mes mains étaient en plein dessus mais putain ce que j'aime les toucher. Même à travers un sous-vêtements, pour être honnête je ne l'ai jamais vraiment fait. J'ai toujours été très ouvert d'esprit et une relation avec un homme ne m'effrayais pas mais cela dit je n'en ai eus qu'une sur le paquebot et la première relation homosexuelle date de mes quatorze ans Autant dire que je ne suis pas réellement habitué et il n'y a jamais eus autant de caresse et de tendresse c'est pourquoi je me sens tout de même un peu mal à l'aise mais en même temps c'est si agréable. Je... je crois que je l'aime de plus en plus fort et, oui ça aussi ça fait peur de tels sentiments si rapides ! Je ne sais que penser et.. Alex lui qui est si protecteur avec moi depuis que Anastasia m'a laisser tombé. Je me demande bien ce qu'il pensera de tout ça. Peut- être ne devrais-je pas lui en parler, en tout cas pas tout de suite. Car sinon je pense qu'il serait capable de foutre cette magnifique créature par dessus bord juste pour me protéger. Mais je sors à nouveau brutalement de mes pensées e sentant quelque j'ose de dur contre ma cuisse. Bon dieu lui aussi. Mon coeur accélère et je ne sais pas pourquoi exactement mais mes main se pressent sur ses fesse afin qu'il se colle contre moi en me mordant la lèvre inférieur. J'étais aussi gêné mais cette gêne se mêlait au désir.
« Je...désolé c'est la première fois que j'ai ce genre de réaction avec un modèle... Je t'assure ça m'est jamais arrivé auparavant, je n'ai même jamais eu d'aventure avec les gens que je dessine... Mais avec toi c'est juste... différent ? Enfin je veux c'est que... il y a des trucs en plus et … et j'arrive pas à contrôler ça c'est tellement étrange... Mais je dois avouer que c'est loin d'être désagréable. » Je ris alors de bon coeur, évidemment je ne me moquais nullement mais disons que sa gêne était des plus touchante. Mais ce qu'il ne comprend pas c'est que pour moi son excitation était la plus douce preuve de son attachement et de son désir. « Shtt, shtt calme toi c'est... pas grave je suis touché d'être quelqu'un à part pour toi parce que tu... es tellement différent pour moi... je ne saurais ou alors n'oserais dire exactement ce que je ressens mais c'est si doux Frédéric. J'aime cette chaleur » Murmurais-je à son oreille avant de remonter mes main dans son dos pour l'embrasser avec la plus grande tendresse.
Doucement main doigts habiles passent sur son torse et je défait sa chemise entièrement, la faisant alors glisser le long de ses bras fins. Je profite pour embrasse sa clavicule et son épaule avec délicatesse. Mais je le sens à nouveau reprendre le dessus sur ses sentiments de peur. Car il se détend. « Pour être honnête... Je crois que je te désire Liam... Je crois que j'ai envie de toi... » Mes baisers remontent alors dans son coup et ma main caresse sa nuque dégagée. « J'ai envie de toi Frédéric, cependant et bien que cela ne me pause aucun problème de m'offrir à toi nous ne devrions pas brusquer trop les choses mais rien ne nous empêche de nous découvrir....» Chuchotais-je alors que mes main descendaient afin de défaire son pantalon.
Sujet: Re: Je trace les heures qui nous séparent Dim 16 Sep - 22:12
Liam&Frédéric– Les heures qui nous séparent
Sentir son corps sous le mien était quelque chose de terriblement bon. Ca faisait doucement chauffer mon ventre, de la façon la plus délicieuse et agréable qu'il soit. Je n'avais jamais ressentit quelque chose d'aussi fort avec d'autres partenaires. En parlant de ça justement, j'ai eu très peu d'homme dans ma vie. Vraiment très peu. Alors évidemment, j'étais vraiment gêné d'avoir une telle réaction. C'était vraiment pas ... Professionnel. Bon d'accord, je dois avouer qu'être nu dans mon propre lit avec mon modèle, c'est pas non plus très professionnel. C'est même très loin de l'être. Encore plus si c'est un homme. Bon passons, je n'ai pas envie de redevenir totalement froid. Alors là, je pense que ce serait vraiment ... la catastrophe. J'ai peur d'effrayer Liam, et Dieu seul sait à quel point je voudrais garder ce beau jeune homme tout contre moi pour toute mon éternité, dormir en le tenant dans mes bras, me réveiller et l'observer finir sa nuit contre moi paisiblement. Est-ce que cela pourrait se réaliser un jour ? Est-ce que j'ai le droit d'éspérer de pouvoir vivre à ses côtés ? Oh je l'éspère de tout mon coeur. Et je me donne ce droit d'éspérer, de croire en cette chance. Parce qu'il est le seul à me rendre ainsi, à me faire me sentir étrange à l'intérieur. Alors il était hors de question que je le laisse me glisser entre les doigts. Et il était donc évident que, lorsqu'il sentit mon envie se presser contre sa jambe, j'ai eu vraiment très peur qu'il ne s'en aille, ne veuille plus jamais me voir, me parler. J'ai un peu paniqué on va dire. En faite, j'étais totalement paralysé de peur à l'intérieur, mais je ne voulais pas laisser paraître tout ça, de peur de l'effrayer encore plus. Mais sa voix a résonné de façon tendre à mon oreille. Son souffle chaud a parcouru ma peau, me faisant frissonner jusqu'au plus profond de moi même. Et pendant qu'il parlait, j'ai fermé les yeux. Pour laisser le son de sa voix m'envoûter, me faire basculer dans un autre monde totalement différent. Un monde de chaleur, de douceur, de touchers câjoleurs, de paroles tendres et envoûtantes, où des couleurs chaleureuses s'entremêlent, comme nos jambes le font déjà un peu. Un monde où nous ne serions que tous les deux. « Shtt, shtt calme toi c'est... pas grave je suis touché d'être quelqu'un à part pour toi parce que tu... es tellement différent pour moi... je ne saurais ou alors n'oserais dire exactement ce que je ressens mais c'est si doux Frédéric. J'aime cette chaleur »
Le baiser qui a suivi ces quelques mots a finit de me détendre et de faire taire les démons dans mon coeur qui me hurlaient que si je continuais, je perdrais Liam. Je n'arrive pas à croire ce que je ressens. J'ai déjà tellement peur de le perdre à cause de mes gestes, mes sentiments si forts pour lui. C'est étrange de sentir à quel point le coeur développe des sentiments pour une personne, et c'est encore plus troublant quand tout va si vite. Mais cela procure une délicieuse sensation de sécurité, d'amour. Je réponds à son baiser avec une certaine passion, mes lèvres jouant contre les siennes, ma langue caressant la sienne de la plus tendre des manières. Ses mains dans ma nuque m'apaisent. Je trouve le courage qu'il me manquait pour lui avouer mon désir, et surtout pour oser glisser mes mains le long de son corps que j'ai admiré durant des heures, un corps que je connais maintenant dans les moindres détails. Ma chemise quitte mon corps, et je ne peux m'empêcher de soupirer de soulagement. Elle était devenue d'un coup bien gênante, et sentir enfin le tissu glisser le long de mes bras pour finir par terre me fait beaucoup de bien. Je me suis bien plus à l'aise, si ce n'est le pantalon qu'il me reste qui m'étouffe encore un peu.
« J'ai envie de toi Frédéric, cependant et bien que cela ne me pause aucun problème de m'offrir à toi nous ne devrions pas brusquer trop les choses mais rien ne nous empêche de nous découvrir....» Et sur ces mots, je sens sa main à la peau douce et chaude, descendre dans ce fameux pantalon qui ne me laisse pas trop à mon aise. Ma respiration accélère et devient plus saccadée quand sa main se rapproche de ce qui fait de moi un homme. Bon dieu je crois que jamais je n'ai ressenti du plaisir à un effleurement si minime. Car, il faut dire les choses comme elles sont, sa main ne touche pas ma virilité, encore emprisonnée dans mon sous-vêtement, et je suis déjà dans un état de transe avancé. Je pense bien que ce sont les sentiments que je ressens pour lui qui décuplent chaque sensation. Je me cambre alors sous sa caresse, allant cacher mon visage dans son cou, respirant son odeur ennivrante. Je parviens alors à lever mon regard vers le sien, bien que mes yeux soient déjà à moitié clos par ce doux plaisir qui brûle dans mes veines. « Je veux te découvrir Liam ... Je veux découvrir ton corps, connaître le moindre détail ... Même si visuellement je le connais déjà et pourrais le retracer un millions de fois, je veux..je veux le toucher... Je veux te toucher, te caresser, et goûter ta peau couleur de miel ... Je veux tout connaître de toi, vraiment tout. » Soufflais je avant de capturer ses lèvres de nouveau entre les miennes. Mais je n'ai pas le temps de m'attarder dessus, car je dois les lâcher pour reprendre mon souffle quand la main coquine de Liam s'aventure entre un peu plus bas, touchant du bout des doigts la partie la plus sensible et la plus réceptive de mon corps à ce moment même. Je penche la tête en arrière, lâchant un très faible gémissement à son attouchement qui m'a bien pris au dépourvu. J'ouvre les yeux et le regarde avant de sourire de façon tout aussi coquine. Sans un mot, je plonge sur son cou que je mordille avec douceur. Mes mains s'activent sur sa peau douce comme la soie la plus précieuse et glissent le long de son torse. J'aime sentir la légère sueur sur sa peau, ça le rend plus désirable encore à mes yeux. J'arrête mes mains sur ses hanches, l'enfonçant un peu plus dans le matelas, et descendant ma bouche sur son torse que je câjole de baisers aventureux. Je n'ai jamais fait ça à un homme, c'est la première fois, et je me sens fier que ce soit avec lui et pas un autre.