La journée était belle comme toutes les autres d'ailleurs une belle journée....sans âme. Je me suis, comme à mon habitude réveillée en même temps que mon fiancé quine me parles absolument plus depuis quelques semaines nous sommes devenu de véritables inconnu l'un pour l'autre. J'ai fait venir ma domestique afin qu'elle m'aide à m'habiller j'ai opté pour quelque chose de joyeux et de printanier une robe crème avec des motifs de fleurs de couleur améthyste Je demande un coiffure simple des boucles anglaise suffiront pourquoi ce compliqué la vie il n'y a plus personne à impressionner avec mes coiffures élégantes et mes toilettes hors de prix. Comme à son habitude Suzanne me remonte mes cheveux en chignon laissant quelque mèches retomber ce qui donnait un aspect mon strict et plus agréable.

La suite de ma journée était des plus classique, le petit déjeuner en famille dans la salle à manger des secondes classe puis une promenade sur le pont en compagnie de mon frère c'était une tradition maintenant que de parcourir le pont supérieur afin de digérer. Nous profitions ainsi du grand air et cela nous permettait de discuter rien que tous les deux et de partager nos secrets qui étaient, de mon côté en tout cas des plus nombreux. Généralement il prenait ensuite congé de moi pour retrouver notre père, ou alors une femme et j'étais donc libre de faire ce qu'il me plaisait. Je n'allais pas m'en privé d'ailleurs.
Je décidais de me rendre u jardin exotique pour m'adonner à un petit travail de broderie. cela faisait fort longtemps que je n'avais plus touché à cet ouvrage que je trouvais fort ennuyeux mais finalement lorsque je vois le résultat cet occupation à quelque chose de...passionnant.

Je me suis donc installée sur un chaise en osier contre la fenêtre avec pour seul lumière celle du soleil et comme seule amies de magnifique plantes, en effet j'étais seule dan le jardin exotique mais cela n'était pas un problème pour moi j'étais tout à fait bien installée avec ma solitude cela faisait du bien aussi ne ne pas devoir toujours faire preuve de la meilleure éducation possible pour converser avec un de ses grosses dindes de première classe. Quand je pense qu'il n'y a pas si longtemps j'étais comme elle j'étais l'un de ses femme coincé dans son corset riant la bouche en cul de poule et ne faisant jamais étalage du moindre sentiment. Telle était notre pénitence à nous les riches héritiers. Il est impossible de montrer la moindre parcelle de sentiments, heureux ou malheureux et cela commence à e rendre malade j'ai besoin de m'exprimer et d'exprimer ces sentiments. et je sais que c'est très ressent pour moi je n'était pas comme ça avant j'étais si... superficielle en fin de compte. Cela me fait légèrement sourire d'ailleurs. Je fais une petite pose dans mon ouvrage afin de regarde le paysage, l'océan brillant sous les rayons du soleil. En fait c'était vraiment joli depuis ou j'étais c'est simplement dommage que ce paysage je le vois tous les jours depuis mon décès car on finis par s'en lasser. Cependant des bruit de pas me ramenèrent sur terre et je tournais la tête vers l'entrée reconnaissant aisément monsieur Sawyer. J'avais rencontré le jeune homme à bord, bien avant la catastrophe je me me rappelle avoir été totalement imbuvable avec lui, une vraie peau de vache. Il serais peut être temps de m'excuser.. « Monsieur Sawyer ! » Je me lève et souris gentiment « Voudriez-vous vous joindre à moi ? » Je savais que c'était plutôt culotté de ma part d'agir ainsi mais je me sens un peu mal à l'aise par rapport à ce que j'ai fait et le pauvre était devenu dans l'espace de quelque minute ma tête de turc. Je me dois de lui présenté mes excuses !