Céleste tournait considérablement dans son lit , elle avait déjà eu peine à s'endormir hier soir après ce qu'il c'était passé, mais là c'était impossible ! Elle décida de se lever et d'enfiler quelque chose pour ne pas avoir froid et d'aller sur sa terrasse privé. Elle s'asseyait pour observer le levé du soleil qu'elle admira avec fascination. Sert c'était juste le soleil qui se levait, mais pour elle c'était bien plus, C'était tout simplement un spectacle magnifique qu'elle adorait. Une fois que le soleil eu fini sa trajectoire pour préciser qu'il était le matin, elle tourna les talons et elle se dirigea vers sa salle de bain légèrement nostalgique de devoir jouer ce rôle infinisable d'épouse parfaite durant une journée encore. Même si Edward était de très bonne compagnie pour la demoiselle, elle s'ennuyait à mourir avec lui, mais elle ne fuirait pas pour autant c'est responsabilités de femme. Elle se devait d'être douce, généreuse, et aimante avec son Mari et même malgré le faite qu'elle ne l'aime pas, elle devait jouer le jeu. Edward est un homme bon et un mari parfait pour n’importe qui, mais certainement pas pour la belle Céleste, cependant elle accomplissait son devoir d'épouse même si dès fois ça la dégoûtait même. Elle se prit un bon bain et elle s'habilla de l'une de ces plus belle robes, puis elle se coiffa et se maquilla pour être magnifique. Céleste avait beaucoup de gout et elle aimait prendre soin d'elle pour être la plus belle. Elle sorti de la salle de bain et Edward se leva du lit au même moment.

Edward : Ma douce, tu ne prend pas un petit déjeuner ?

Il s’approchait d'elle et lui fit un beau sourire, il était même sincère et plein d'amour. Il était vraiment naïf de pensée qu'elle l'aimerait un jour, mais bon il était heureux.

Céleste : Je n'est pas faim pour l'instant, je vais dans le salon de lecture et si l'envie m'en prend j'irais au café pour déguster l'un de ces suculant gâteaux, ne vous inquiétez pas mon chère.

Il ne broncha pas, en même temps il avait l’habitude que sa femme le quitte pour vaquer à ces occupation. Et puis Céleste n'avait guère envie de rester en sa compagnie vu que cette nuit elle a du accomplir l'un des plus important devoir de femme et rien que d'y pensée ça la dégoûtait amplement donc elle préférait s'évader loin de lui pour ne plus avoir à penser qu'il l'avait intimement toucher durant la nuit précédente.

Edward : Très bien, on se retrouve pour le déjeuner ma douce ?

Elle lui répondait d'un simple petit oui et il lui donna un baiser ravi qu'il eu se rapport très rapprocher cette nuit. Elle partait sans même répondre vraiment à son baiser en direction du salon de lecture pour s'évader dans un roman d'aventure s'en nul doute. Perdu d'en ces pensée désagréable pendant tout le long du chemin, elle arriva enfin à bon port et elle s’installa sur l'un des divan de la salle pour lire et ne plus penser.


Andreï : Salut... Euh... Bonjourrr.

Elle redressa la tête en entendant une voix familière et qu'elle aimait tant. Même si l'anglais de Andreï était pas parfait il faisait des efforts pour s'améliorer. Et puis ça ne la dérangeait pas, elle adorait sa façon de parler, ça l'amuser toujours. En sa compagnie elle oublier tout c'est soucis pour vivre l'instant présent, elle se sentait divinement bien et elle était attirer par lui. Elle se leva est d'un pas gracieux elle s'approcha de lui.

Céleste : Bonjour, Lord Dragomir. Comment-allez vous ?

Elle lui gratifia l'un de c'est plus beau sourire et il était des plus sincère. Elle devait sans doute être légèrement rosé au niveau de ces pommettes vu que son coeur accélérait légèrement. Edward était pourtant riche, mais il ne lui arrivait pas à la cheville. Pour elle c'était lui le véritable amour...

Céleste Regardait toujours son interlocuteur. Elle l'admirais avec plein de grâce. Pour elle c'était lui le véritable amour, celui dont elle a toujours rêver et celui qu'elle aimerait avoir. Mais malheureusement pour elle elle ne devait pas écouter ces sentiments car elle était marier ! Elle se devait de rester l'épouse d'Edward et non de fleurter avec un autre homme. Mais Céleste était tellement attirer par Andreï qu'elle ne pouvait contrôler le fait d'être irrésistiblement attirer par lui. Elle le sait bien qu’elle n'a pas le droit, mais un jour elle ne pourra peut être plus résister et elle se laissera tenter, mais encore faut-il qu'il est les même pensés qu'elle. Elle ne savait pas s'il ressentait la même chose lorsqu’elle était près de lui. Pour elle le simple fait de le voir, d'entendre sa voix ou encore de sentir son odeur la comblait de joie. Elle le savait, elle était amoureuse de lui et de lui seul. Il serra le seul à la faire chavirer ainsi, mais aussi à la faire rêver et oublier tout ces traqua. Elle se sentait tellement bien en sa présence qu'elle ne voyait jamais le temps passer. Quand elle était avec lui, elle était comme transporter dans un autre univers, dans leurs univers.

Andreï : Bien et vous ?

Elle sentait qu'il la regardait plus en détaille. Elle croisait son regard bleu azur et elle se perdait dedans. Elle était comme hypnotiser. Il lui faisait tourner la tête et elle se laissait complètement envahir par son regard pénétrant. Elle se rendait même pas compte qu'elle se mordait la lèvre inférieur tellement il là perturbait.

Andreï : Je vous en prrie appelez moi Andreï.

A ces deuxième paroles, Céleste détourna le regard pour essayer de ce ressaisir. Il était vrai que Andreï avait déjà demander à Céleste des milliers de fois qu'elle l'appelle par son prénom, mais celle-ci préférait l’appeler Lord Dragomir par simple respect. Ce n'est par parce qu'il est en troisième classe qu'il n'est pas un homme qu'on doit respecter tout de même ! Céleste pensait toujours ça, pour elle tout homme et femme à droit au respect s'il ou elle le mérite car tout être est égale même si il ne sont pas riche, pour elle c'était comme ça.

Céleste : Je vais très bien merci. Comment puis-je ne pas aller bien dans de si agréable compagnie qu'es la votre ? Si je dois vous appelez par votre prénom, je vous laisserais m'appeler par le miens...

Elle remarquait les taches d'encre qu'il avait sur les mains et elle réalisa qu'il était entrain d'écrire. Prise de curiosité, elle s’approche du bureau ou se trouvait Andreï pour regarder ce qu'il écrivait. Elle réussi à lire le mot " Andreï " sur une feuille tacheter d'ancre, mais elle trouvait que son écriture était bien jolie malgré le faite qu'il tache un peu trop sa feuille. Elle fit un petit sourire amuser et elle se tourna vers lui.

Céleste : Vous devriez prendre moins d'ancre et moins appuyer sur votre plume pour écrire, cela vous aidera à ne pas tacher votre feuille. Vous désirez que je vous montre ?

Elle voulait vraiment l'aider à mieux utiliser la plume pour que son écriture soit encore mieux, mais aussi c'était un prétexte pour passer plus de temps avec lui. Elle pourrait rester pour l'éternité en sa présence et ce même si elle était marier à un autre... Elle s'en fichait amplement, ce qu'il comptait c'est qu'elle se sente heureuse, non ?

Céleste avait détournée le regard et elle regardait une femme qui venait d'entrer dans la pièce. Elle regardait d'un air hautin Andreï ce qui ne plaisait guère à Céleste. Elle n'aimait pas ce genre de femme qui passait la plus clair de leurs temps à critiquer les autres et à mépriser les troisième classe. Cela l’agaçait fortement et ça devait ce voir.

La femme : C'est inadmissible de voir des troisième classe ici ! Qu'ils restent à leurs place, c'est chiens galeux ! Et elle que fait-elle avec lui ? C'est vraiment n'importe quoi...

Elle avait entendue les paroles de cette femmes avec son amie et elle ne pue s’empêcher de la regarder. On devait se douter que ça ne lui plaisait pas vu le regard de la belle Céleste. Elle avait envie de dire à cette femme que ça ne la regardait pas et que s'il elle n'était pas contente elle s'en vas ! Mais par respect et son éducation la contraignait de ce taire et de rien dire. Elle reportait son attention sur Andreï et elle ignorait totalement les deux femmes pour écouter ce qu'il lui disait.

Andreï : Trrès bien... Je crrains que ma prrononciation abime votrre doux prrénom.

Elle souriait. Cela ne la dérangeait pas le moins du monde et puis elle adorait sa façons de prononcé. Elle trouvait que ça lui donnait un certain charme et puis elle se disait qu'au moins il se démarquait des autres hommes.

Céleste : Cela ne me dérange pas, et puis j'adore votre façon de parler...

Elle lui offrit un sourire pour qu'il voit qu'elle était bel et bien. Pour elle c'est petit imperfections devenaient des points positif et elle l'aimait comme cela. Céleste avait regarder ce qu'il avait écrit et elle avait commenter pour qu'il s'améliore.

Andreï : Qu... Que. Quoi ? Je...

Apparemment il avait perdu tout ces moyens. Et elle se demandait s'il était perturbée par elle. Il détourna le regard pour regarder en direction du hublot et il reculant. Il manquait de trébucher et elle le rattrapait en lui tenant la main. Lorque le contacte entre leurs deux mains ce fit, elle fu toute chamboulée, et son coeur s’accéléra. L'instant d'après elle réalisa qu'elle avait osée le toucher. Elle retira sa main très vite et elle rougissait lorsqu’il plongea son regard bleu azur dans le sien. Son regard était vraiment intense et elle risquait de s'y perdre littéralement. Il passa sa main derrière sa nuque légèrement gêné.

Andreï : Désolé je...

Céleste remarqua qu'il était gêné de pas savoir écrire. Elle comprenait, mais elle lui avait proposer son aide pour qu'il s'améliore et elle ne le critiquerait pas, elle voulait juste l'aider. Et puis elle trouvait qu'il s'en sortait pas mal du tout !

Andreï : Euh... Oui. Montrrez moi si vous le souhaitez madame.

Elle lui fit un grand sourire et d'un geste gracieux elle prenait la plume ainsi qu'une feuille pour écrire le prénom de celui qu'elle aimait. Elle essayait de pas aller vite et de sa magnifique écriture elle écrivit " Andreï ". Elle le laissait prendre place sur la chaise et elle lui donna la plume.

Céleste : Allez-s'y. Réessayez. Surtout n'oubliez pas qu'il ne faut pas trop prendre d'ancre et ne pas trop appuyer sur votre plume...

Elle l'admirait s’appliquer à la tâche et il réussissait à faire quelque chose de bien mieux. Pour Céleste c'était déjà très bien, mais pour la société il devrait faire encore de nombreux efforts.

Céleste : C'est pas mal du tout pour une personne qui écrit jamais...

Elle lui gratifia d'un très beau sourire. Elle était contente de pouvoir lui apporter cela. Lui apprendre à écrire était un privilège pour elle, mais c'était aussi un honneur de pourvoir l'aider. Et puis elle adorait aider les personnes qu'elle aime...

Céleste regardait toujours Andreï avec son éternel sourire. En faite en sa compagnie elle n'arrêtais presque jamais de sourire tellement sa compagnie la comblait de joie.

Andreï : Merrci... Je crrois que ce n’est vrraiment pas trrès beau tout de même...

Elle le regardait tout en essayant de pas tomber dans son regard qui la faisait plus que chavirer. Elle commençait à avoir les mains moite à être aussi près de lui. Elle prit un légère inspiration tout en restant discrète.

Céleste : Vous y arriverez mieux avec le temps, ne vous inquiétez pas... Avec le temps on apprends à beaucoup de chose, vous savez...

Elle le regardait toujours. Elle ne pouvait pas détourner le regard sur Andreï et ce n'est pas parce qu'il est très beau, mais surtout parce qu'elle était envoûter par lui. Enfin envoûter, elle est surtout amoureuse de lui. Et donc personne d'autre en comptait autant que lui, ou peut être James, son frère qu'elle aime tant, mais ce n'était tout de même pas la même chose ! L'amour qu'elle porte à James est un amour fraternel, mais celui qu'elle porte à Andreï n'est pas comparable...

Andreï : Vous avez un trrès joli soulier...

C'est paroles là fit sortir de ces pensé. Elle n'avait même pas remarquer le blanc qui c'était produit quelques secondes avant. Elle regardait ou Andreï pointait son doigt et elle remarqua il parlait de son pendentif. Un sourire amusé se dessina sur ces lèvres. En même temps les deux femmes qui les observaient toujours s’esclaffaient. Il passa sa main derrière sa nuque d'un air gêné.

Andreï : Je crrois, que ça ne se dit pas vrraiment comme ça.

Le sourire de Céleste s’effaça en entendant les femmes insulté Andreï et elle se tourna vers les femmes en question pour les regarder d'un regard noir. Les femmes en questions baisèrent le regard voyant que Céleste e rigolait pas le moins du monde. Il ne fallait surtout pas dire du mal sur les personnes qu'elle aime, alors il fallait mieux pour c'est dames de partir de suite et c'est ce qu'elles fient. Elle se retourna vers Andreï et elle prenait son pendentif entre ces doigts tout en regardant.

Céleste : Ne les écoutez pas, leurs avis m'importe peu vous savez. Et pour répondre à votre question ceci est un pendentif, Andreï... Il m'a été offert par mon frère James avant qu'il parte pour un moment...

Elle baissait légèrement la tête en repensant à tout ça. En repensant à l’absence de son frère et le manque de sa personne à ces cotés. A ces moments où il ne pouvait pas être là pour elle, en autre celui de son mariage où elle aurait tant aimer qu'il soit là pour là rassurer et l'encourager. Mais elle a du affronter tout cela seule, sans la personne qui comptait le plus à ces yeux. Une l'arme s’échappa et elle s'empressa de l'essuyer.

Céleste : Excusez-moi...

Elle redressa la tête et elle croisa le regard d'Andreï. Elle ne pouvait plus en décrocher et au même moment toute cette peine s’effaça. Son regard la rassurait et elle se sentait mieux d'un coup. Elle se sentait en sécurité avec lui.

Céleste : Je... je...

Maintenant c'était elle qui ne savait plus quoi dire. Elle bredouillait. Elle était déstabilisé par son regard si intense et elle se perdit littéralement dedans sans même s'en rendre compte...

Céleste était complètement perdu dans le regard bleu azur d'Andreï, mais aussi dans ces pensées. Elle ne savais que faire. Se laisser envahir par cette amour et cet passion qui grandissait en elle pour ce beau et ténébreux Andreï ou devait-elle rester la femme aimante et dévouée à son mari qu'elle n'aimait guère. Devait-elle repousser cette envie si forte de se laisser aller dans les bras de l'homme qu'elle aime ou devait-elle refouler cet amour pour son mari ? Elle ne savait pas le moins du monde. Elle s'avait que céder à son envie était mal car elle était marier, mais elle aimait Andreï... Après tout elle sera sans doute pardonné ? Les caresses d'Andreï sur la joue de Céleste la fit sortir de ces pensés.

Andreï : Pleurrer c’est pas si grrave Madame. James est quelqu’un de bien. Il aide moi souvent. C’est quelqu’un de bien. Comme vous.

Elle se laissait faire tout en remarquant qu'il était bien proche d'elle. Son coeur commençait à accélérer et elle sentais qu'elle allait céder à la tentation qui était bien trop grande pour elle. Il éflleura ces lèvres douce de son pouce et elle sentit qu'elle devenait toute chose. Son coeur battait à vive allure tellement il était proche et sa respiration était légèrement saccader. EN cet instant elle le désirait plus que tout et elle oublia qu'elle était marier. Elle s'en fichait pertinemment. Elle en avait marre de jouer les femmes parfaite et les jeune femme modèle. Elle le laissa approcher et passer sa main sur le cou délicat de Céleste. Elle approcha son visage du sien et tout en plongeant son regard dans le sien.

Céleste : Croyez-vous que je suis quelqu'un de bien si je fait ça ?

Elle déposa un délicat et doux baiser sur ces lèvres tout en gardant sa sensualité habituel. En cet instant plus rien ne comptait à par eux d'eux. Elle ne voyait que lui et lui que elle. Comme si il était dans un autre monde et surtout comme s'il étaient seuls au monde. Le temps ne comptait plus, les autres ne comptait plus, il n'y avait que eux deux et rien d'autre ne comptait à présent. Quand les lèvres de Céleste toucha celle d'Andreï elle fut éprit d'une force envie de jamais les lâcher et elle avait l'impression de sentir des papillons dans son ventre. Elle rompit le baiser et elle ouvrit les yeux pour plonger son regard dans le sien.

Céleste : Andreï...

Elle avait souffler son prénom d'une sensualité sans pareil. Elle était si proches de lui et lui si proche d'elle. Ils étaient si proche qu'ils se frôlaient presque et elle semblait toute frêle dans les bras d'Andreï.

Céleste : Embrasser-moi Andreï...

Elle avait murmurer c'est parole. Le désire l'envahissait de toute part et elle sentais son coeur battre à une allure très vive dans sa poitrine. Elle se rapprocha encore plus d'Andreï jusqu'à le toucher. Elle posa sa douce main sur sa joue pour lui caresser avec tendresse. Il étaient si proche qu'elle sentait sole coeur d'Andreï battre à vive allure et il devait sentir celui de Céleste aussi... Elle n'attendait plus qu'une chose qu'il l'embrasse avec ardeur et envie... Mais elle désirait plus que tout que ce baiser dure l'éternité...